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Robert Bertrand

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Commentaires de Robert Bertrand

  • Bientôt, la Wallonie sera libre

    1 décembre 2007


    Mon cher José,

    Je viens de prendre connaissance avec un article qui paraît sur Vigile que ta mère vient de passer une autre étape.

    Oui, il faut bien parler de condoléances mais à un ami je dois dire encore plus. Mon affection et ma présence en ces jours qui font que les choses changent.

    La Wallonie, le Québec et tout le reste prennent une autre dimension.

    Le temps arrange ce qui ne semble pas toujours aller dans le sens de la baguette du chef d'orchestre.

    Mon amitié et une chaude accolade à toi et à tous les tiens qui t'entourent.

    Bien amicalement,

    Robert Bertrand

  • Quelques leçons de la crise d'octobre

    20 octobre 2007


    C'est avec grand plaisir que l'on vous lit tous les uns et les unes comme les autres.

    Ne faut-il pas aller au fond des choses pour solidifier nos argumentaires et pour comprendre les points de vue des uns, des unes, et des autres ? Ne faut-il pas s'écouter pour mieux cerner ce qui nous rassemble ? Pour s'écouter, faut laisser parler, laisser écrire. Vidons-nous le coeur pour ensuite trouver le moyen de bâtir sur du solide ?

    L'essentiel, n'est-ce pas de se dire que les seuls responsables de ce qui nous arrive personnellement et collectivement comme société québécoise, c'est un peu, également, de notre faute ? "Une maison divisée contre elle-même... " ça nous mène nulle part excepté que cela fait l'affaire de nos adversaires.

    On n'arrive pas à créer un mouvement d'ensemble pour réaliser l'objectif : le Pays formalisé dans les faits et gestes de nos éluEs.

    Nos gouvernements du Québec ont mis en place des lois, des programmes, des sociétés. D'autres qui nous voient progresser trop vite viennent démolir ce que nous réalisons avec succès : la Loi 101 déchiquetée, la Caisse de Dépôt et de Placements que l'on démobilise pour servir les intérêts de qui ?

    Notre réalité fondamentale est québécoise et française. C'est notre assise sur le sol des Amériques. On est là depuis 400 ans et on a bâti sur ce qui est nôtre, sur ce qui fait notre différence avec les autres pays qui nous entourent.

    "Égalité ou Indépendance" disait Daniel Johnson, père. Il s'est fait élire. Qu'est-ce qui est arrivé, qu'est-ce qui l'a bousculé ? "La souveraineté culturelle" disait Robert Bourassa pour se faire élire. Qu'est-ce qui est arrivé pour arrêté cette démarche ? "Maîtres chez nous" avait dit Jean Lesage pour se faire élire. Pourquoi nous ne le sommes pas encore ?

    Monsieur Deshaies propose "Une Chaire de l’indépendance du Québec" dans son texte ci-haut. Il faut des ressources qui doivent accompagner nos Premiers ministres du Québec.

    "On ne peut courir deux lièvres..." On ne le sait que trop bien! Le temps de s'assumer, de se prendre en mains, de se démarquer pour finaliser ce qui nous appartient est présent, c'est là, ici et maintenant.

    Bien sûr l'Histoire est importante, bien sûr la littérature est importante. Tout ça et toute notre réalité québécoise doit nous faire cheminer vers l'objectif qui nous rassemble : le Pays du Québec.

    Que présentent nos vis-à-vis? Des programmes échelonnés sur dix ans, sur vingt ans, sur trente ans ? Des milliards pleuvent ou pourront pleuvoir tout au long de ces décennies qui vont suivre.

    Le programme du Pays du Québec, personne le présente parmi nos éluEs ? Que sera le Québec au cours des décennies qui vont suivre ? Ne pourrait-on pas, à juste titre, mettre les choses en parallèle ?

    Le Pays du Québec assumera les routes, les autoroutes, les ponts, les aéroports, les hôpitaux, les universités, les cégeps, les écoles polyvalentes, les musées, les affaires courantes nationales et internationales, les chemins de fer, la voie navigable, les forêts, les affaires humaines, la famille, l'immigration et nous vivrons ensemble, sur l'ensemble du territoire du Québec avec l'identité québécoise qui est nôtre depuis 400 ans et pour les siècles à venir.

    Travaillons ensemble. Si des cellules se créent pour assumer une certaine voix, il faut les voir, les accepter, les comprendre. Une voix majeure doit se faire entendre pour regrouper toutes les classes de la société québécoise, toutes les cultures, toutes les personnes qui sont sur le sol du Québec.

    C'est ensemble que l'on forme la société québécoise. C'est ensemble qu'on sera du Pays du Québec.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/

  • Briser les forces de l'immobilisme, dit Mario Dumont

    1 octobre 2007


    Votre exposé, Monsieur René-Marcel Sauvé, doit nous inciter à nous instruire.

    Le Québec et son avenir repose sur des données géopolitiques qui nous commandent une action concertée pour notre propre développement dans tous les domaines : économiques, politiques, sociaux, culturels et autres.

    Toute notre élite politique, socio-culturel devrait pouvoir consulter des textes comme vous savez les présenter.

    Il faudrait monter des petits vidéos d'une part et des cassettes, d'autre part, pour pouvoir diffuser un tel savoir.

    Les solutions reposent sur notre degré de connaissance, sur une action concertée reposant sur des critères reposant sur des valeurs sûres inscrites dans notre géographie et dans notre réalité particulière du Québec.

    Je nous sollicite tous à lire et relire votre texte et d'autres que vous avez produit.

    Un prochain livre doit voir le jour au cours des prochaines semaines.

    Prendre le temps de s'instruire pour mieux s'assumer et mieux comprendre notre cheminement qui est inscrit dans la géographie.

    Robert Bertrand, rédacteur
    Québec un Pays

  • Lettre à un ami juif

    26 septembre 2007


    Il y a un bon moment, avec André Laurendeau, un invité venait régulièrement. Naïm Kattan. Pour bien voir de qui je parle, il y a une page à visiter :

    http://www.litterature.org/notice.asp?numero=266

    Ce Monsieur, j'ai eu l'occasion de lui parler lors d'un Salon du Livre, ici, à Québec.

    C'était intéressant de l'entendre nous parler à la TV.

    J'ai osé lui demander quelque chose comme : "Pourquoi ne défendez-vous pas la Société Québécoise, à laquelle vous appartenez, avec autant d'intérêt que vous défendez la société Israëlienne ?"

    Cela me semblait une question d'un citoyen qui a aimé entendre parler de la société juive et de son Pays et qui est Québécois.

    Il a pratiquement détourné la tête pour éviter tout dialogue. Ce qui m'a resté dans la gorge.

    Des hommes qui sont invités pour parler aux Québécois et qui en retour ne veulent pas réaliser de dialogue.

    Comment se fait-il que cette société juive n'entretient pas des relations majeures avec la société dans laquelle ils sont des vivants ?

    Monsieur Bouthillier, votre ami juif avec lequel vous avez envoyé une intervention, vous a-t-il répondu ? Comment voit il la société Québécoise ? Qu'est-ce que fait votre ami juif pour améliorer la qualité de la vie Québécoise ?

    Il me semble que ce serait intéressant de savoir s'ils se sentent d'abord, Québécois à part entière ?

    S'ils vivent comme une société à part, hors du Québec, voilà que cela pourrait nous donner une juste connaissance d'une réalité autre.

    Est Québécois tout citoyen vivant au Québec.

    Sont-ils Québécois ? Défendent-ils le Québec ? Comment le font-ils ?

    De telles réponses, il me semble, devraient nous permettre de mieux nous comprendre et de mieux vivre.

    Les Québécois acceptent tous ses citoyens qui vivent et se disent Québécois.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays

  • La dette publique du Québec : une combinaison d'immoralité, de trahison...

    7 septembre 2007


    Si oui, pourquoi le Québec ne pourrait-il pas créer une réserve d'or ?

    Serait-il intéressant d'en créer une telle réserve ?

    Merci de votre opinion.

  • Pourquoi le Québec doit devenir un pays ?

    16 août 2007


    Le Québec a su créer la Société Générale de Financement, il a su créer la Caisse de Dépôts et de Placements pour un certain contrôle de nos finances.

    Ce que les administrateurs font avec ces sommes sont, entre autres, du vouloir et des décisions que pourraient prendre un gouvernement du Québec. En plus, les Caisses populaires sont du Québec.

    Tous ces avoirs financiers pourraient-ils mieux servir les intérêts des Québécois ?

    Tout dépend de la servilité que les administrateurs ont à l'égard des engagements envers la haute finance internationale et la haute finance étrangère au Québec.

    Une orientation peut être donné vers des objectifs majeurs du Québec qui doivent être définis par notre État du Québec et le Gouvernement du Québec.

    Nos adversaires, les banques à charte du Canada dont les sièges sociaux sont tous à Toronto et dont les administrateurs ont des objectifs précis : servir les intérêts du Canada pour le développement du Canada, vont-ils investir dans le Québec qui veut se réaliser comme Pays ?

    Vous le comprenez immédiatement. Les intérêts ne les sollicitent pas à investir au Québec pour quelque motif que ce soit.

    85% des avoirs des banques à charte du Canada sont investis hors le Québec pour le développement du Canada ou dans les "paradis fiscaux". 15% seulement de ce qui provient du Québec se fait réinvestir au Québec. Nous avons un déficit d'investissements de la part des banques à charte du Canada.

    Et, qu'est-ce qui crée de bons emplois sinon la qualité des investissements ?

    Ottawa préfère nous retourner quelques milliards en péréquation. Il est important de comprendre que ce qui est important dans les investissements, c'est la qualité de ces investissements.

    Les banques à charte investissent ailleurs qu'au Québec pour servir la qualité des bons emplois ailleurs qu'au Québec.

    Les seuls qui seraient des "leviers" possibles pour nos investissements de haute qualité, c'est la Société Générale de Financement(SGF)ou la Caisse de Dépôt et placements et les Caisses populaires.

    Notre intérêt personnel et collectif c'est de voir ce que font ces grands centres de la finance du Québec pour le développement du Québec. Le Québec donne-t-il des directives ? Est-ce le "laisser-faire"?

    Ces décisions et ces objectifs appartiennent aux éluEs du Québec par le Parlement de l'État du Québec. Le font-ils ?

    La finance a toujours été l'affaire des autres pour les autres. Notre devoir collectif c'est d'assumer son avenir par ses propres moyens qui sont sur notre propre sol et que l'on pourrait contrôler ou, disons mieux, que l'on pourrait orienter, diriger, solliciter d'aller dans un certain sens avec des objectifs à déterminer.

    Nos besoins sont NORD-SUD ? Alors, il faut leur dire et exiger que ces organismes en tiennent compte.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays
    PS: pour les besoins de ceux qui nous lisent, je me permets de dire que nous n'avons aucun lien de parenté que je connaisse avec Luc Bertrand

  • Pourquoi le Québec doit devenir un pays ?

    15 août 2007


    Nos chefs d'État du Québec ne pensent pas au développement du Québec pour le Québec. Jusqu'à présent, en lisant l'article présenté par Monsieur Claude Bariteau, on le comprendra mieux, nos Chefs d'État du Québec ont servi les intérêts du Canada en tout premier lieu.

    Le serment que prêtent nos élus ne sont-ils pas de servir les intérêts des Québécois et du Québec ?

    Il y a un manque flagrant en regard de leurs responsabilités personnelles et collectives de la part de tous les éluEs du Québec de devoir servir les intérêts du Québec.

    Monsieur Claude Bariteau en fait une démonstration éloquente.
    Nos intérêts du Québec sont NORD-SUD et on ne développe rien qui favoriserait notre développement économique. On laisse le soin au Canada de favoriser l'Ontario d'abord et avant tout.
    Quand donc nos éluEs assumeront-ils leurs responsabilités à l'égard des Québécois ?

    Le Québec réagit aux décisions du Canada plutôt que d'être l'artisan de son propre développement.

    Les Chefs des partis politiques du Québec doivent agir en conséquence.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/message/28880

  • De la souveraineté à l'indépendance du Québec, un juste retour des choses

    1 août 2007


    Parfois, quand c'est dit par quelqu'un d'autre, on peut y croire davantage.

    Je ne connais pas cet intervenant. Je partage bien des éléments qui sont présentés ici.

    On a peur des mots, de certains mots : l'Indépendance, le Pays du Québec. Mais on parle ad nauséam de référendum. Allez donc comprendre pourquoi ?

    Yves Chartrand souligne l'importance de la "confiance". Se faire confiance et avoir confiance en nos représentants. Quand nos chefs, nos élus ne parlent pas de ce pourquoi ils ont une raison d'exister, à tous les jours, sur toutes les scènes, pourquoi aurions-nous confiance en eux ?

    Ils se trichent eux-mêmes tout en trichant leur électorat. ON EN EST LÀ.

    On parle du Pays du Québec en parlant d'éducation, d'environnement, d'économie, de santé, de bien-être, de services divers, de représentations officielles sur diverses scènes nationales et internationales. On parle de son Pays et on est fier de son Pays du Québec. Qui donc nous donne cette fierté d'être avec lui ou elle parmi les éluEs du Parti Québécois ou de tout autre parti politique confondu.

    Il y a, de toute évidence, nécessité de savoir pourquoi on veut faire un Pays et qu'est-ce que cela va nous donner d'en avoir eu pour soi, pour notre population du Québec.

    Je reprends une partie du texte ci-dessous : " Renouveler le discours. Reprendre l’abc de l’éducation politique sur la souveraineté, travail qui n’a pas été fait au cours des dernières décennies. Parler du pourquoi de l’indépendance. Parler d’identité, de langue, de fierté, d’histoire. "

    Un moment donné, ne faut-il pas comprendre que nous avons intérêt à se concentrer sur l'essentiel ? Faire l'analyse correcte de la situation pour agir ensemble.

    Comme le dit monsieur Yves chartrand : "Chaque jour nous, et surtout nos leaders, devons dénoncer vigoureusement tous les gestes du gouvernement canadien allant à l’encontre des valeurs, des intérêts et des aspirations du peuple québécois, et ce, sur tous les terrains. Nous devons attaquer sans arrêt sur tous les fronts, identitaire, constitutionnel, politique, économique, linguistique, etc."

    Je suis bien content de voir que d'autres arrivent à la même évaluation de la situation et tire dans la même direction.

    Parfaitement d'accord.

    Il faut finir par travailler ENSEMBLE dans la même direction. Ne pas compter sur les médias, sur un parti ou un autre, ne pas faire un nouveau parti ou quoi que ce soit. Se concentrer pour parler du PAYS et les objectifs pour lesquels nous voulons ce PAYS.

    Tous les partis politiques répondront aux besoins voulus et réclamés par la population lorsque nous saurons parler d'une seule voix.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays.
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/message/28747

  • Moment historique

    30 juillet 2007


    L'essentiel dans la démarche POUR LE PAYS, c'est de parler du PAYS.

    Qu'est-ce qu'il sera dans la réalité de tous les jours.

    La 15e, 16e ou 17e puissance économique mondiale.

    D'une "province pauvre" qui dépend de la péréquation (les miettes qui tombent de la table) on est un PAYS RICHE.

    Fini aux autres d'administrer notre "butin".

    Toute l'énergie qui est dépensée pour créer d'autres organisations politiques devrait s'orienter vers un travail pédagigique.

    Un groupe de représentants férus de données sur le Québec devrait parcourir le Québec. Montrer un certain degré d'unanimité dans nos présentations.

    Jacques Parizeau a parcouru les CÉGEPS. Bernard Landry a fait un travail en parallèle. La dernière campagne électorale s'est faite en parlant d'un processus : LE RÉFÉRENDUM. C'était à nous "écoeurer".

    Qu'est-ce que cela va nous donner de plus d'avoir un PAYS ?

    Est-il besoin d'ajouter ?

    Quand on travaillera "ENSEMBLE" pour faire le travail pédagogique essentiel, les politiciens de tous les partis politiques répondront aux nécessités ainsi présentées et comprises par la population du Québec.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays

  • Le Canada n'a pas 140 ans, mais 400 ans

    20 juillet 2007


    Tous les historiens ne voient pas les choses de la même manière.

    Monsieur Henri Laberge, historien, a présenté une intervention lors de la commémoration de la "Bataille de Sainte-Foy" le 29 avril dernier.

    J'extraie quelques passages :

    Sur Jacques Cartier :

    ... le découvreur du Québec au même titre que Christophe Colomb a découvert l'Amérique.

    Jacques Cartier nous appartient, il est le découvreur du Québec et nous devons en être fiers.

    Sur Samuel de Champlain :

    ...il est l’ancêtre civique de tous ceux et celles qui ont choisi d’habiter ce pays québécois dont il est le Père fondateur.

    Il est venu fonder un pays français dont les Québécoises et Québécois de toutes origines sont les héritiers de plein droit, quel que soit l’arbre généalogique auquel ils appartiennent.

    Sur la Victoire de la Bataille de Sainte-Foy :

    ... c’est le peuple québécois lui-même. Il avait, lui, à défendre l’héritage d’un siècle et demi de travail acharné, de courage et d’avoir investi dans la construction de ce pays français qui est encore le nôtre.

    C’est l’intégrité de leur projet collectif que les Québécois de l’époque défendaient avec opiniâtreté beaucoup plus que le rattachement à l’empire français.

    Les Québécois, eux, défendaient leur territoire national, leur héritage juridique, linguistique et culturel. Ce sont eux et eux seuls qui auraient à subir, avec l’humiliation de la défaite, la déstructuration juridique, politique et linguistique de leur pays.

    Sur le traité de Versailles :

    La Proclamation royale de 1763 faisait bel et bien de la «Province of Quebec» une colonie britannique fonctionnant en anglais, avec des institutions juridiques anglaises et avec l’anglicanisme comme religion officielle.

    De par la seule volonté du Roi, la Coutume de Paris qui avait été la loi fondamentale en matière de droit civil était remplacée illico par la loi d’Angleterre. Toute personne qui acceptait d’occuper quelque fonction officielle devait prêter le Serment du Test. Ce qui interdisait l’accès à ces fonctions aux sujets catholiques.

    Sur la Nouvelle-France et tout son héritage étaient abolis.

    Les habitants du pays conquis devenaient les nouveaux sujets de Sa Majesté britannique et ils auraient un statut d’infériorité par rapport aux anciens sujets débarqués dans les fourgons de l’armée conquérante.

    Sur la Loi sur le Québec : (la Quebec Act de 1774)

    (...) première victoire politique après la conquête britannique = la première reconnaissance par les autorités de l’empire britannique de ce que le Québec constitue une société vraiment distincte des autres colonies britannique.

    La Quebec Act de 1774 ce n’est pas un acte juridique quelconque, c’est bel et bien une loi du Parlement britannique au même titre que le Canada Act de 1982 que l’on traduit fort bien par Loi sur le Canada. Ayons l’audace d’appeler les choses par leur nom et traduisons «Quebec Act» par «Loi sur le Québec».

    La Coutume de Paris, qui sera à l’origine de notre Code civil québécois, n’est pas rétablie uniquement pour les francophones ou pour les anciens habitants de la Nouvelle-France ; elle est rétablie comme loi fondamentale du pays québécois, donc pour tous les habitants du Québec, quelle que soit leur origine. En ce sens la Loi sur le Québec reconnaît effectivement le Québec tout entier, avec toute sa population, comme une société distincte.

    =====

    Il nous reste à la diffuser sur l'ensemble de notre territoire.

    Nous avons publié son intervention intégrale à la page mentionnée.

    Le texte original (corrigé et revisé) de Monsieur Henri Laberge, historien, peut vous être transmis. Il nous fera plaisir de vous le transmettre.

    Robert Bertrand

  • Il faut le faire

    28 juin 2007


    Le Pays du Québec est porteur d'un objectif.

    Il faut le faire avec ou sans le PQ.

    Qui donc peut assumer cet objectif sinon le peuple lui-même ?

    Il faut le dire le Pays.

    Il faut que l'État assume les pleins pouvoirs.

    Il faut parler de l'État du Québec. La Loi 99 a été votée et ne faut-il pas l'assumer ?

    Ce devoir d'utiliser les bons mots appartient également à tous les éluEs de quelque parti politique que ce soit.

    Robert Bertrand

  • L’Omertà fédéraliste

    30 mai 2007


    Pour certains, les murs sont très proches d'eux. Pour d'autres, les murs sont tellement éloignés qu'ils peuvent se permettre de franchir toutes les frontières de la bienséance, de la loi, de la lettre et des remontrances.

    En plus, les conséquences de franchir ces murs sont-elles chiffrées ? sont-elles évaluées en temps de prison ? Juste une petite tape sur un cheveu ?

    Quels sont les précédents évalués dans l'ensemble de notre monde d'aujourd'hui ?

    N'y a-t-il pas une Commission de Parlement Européen qui s'intéresse à cela ? Également "Human rights watch" ?

    Les Amérindiens n'hésitent pas à porter leurs dossiers sur la scène internationale. Le Canada est entaché au plan démocratique et il faut que ce soit connu. Une enquête par le Canada n'est-ce pas placer le Canada dans la situation de juge et partie ?

    Au plaisir de vous lire.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/

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  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
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  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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