Les immigrés criminels doivent être expulsés
13 février 2020
Cette fois-ci, c'est au tour d'un émigré entraîneur de soccer, un dénommé Yassir Boutakkala, de s'attaquer physiquement à un jeune joueur mineur québécois de l'équipe adverse.
L'altercation a été entièrement captée sur vidéo.
Visiblement fâché et hors de ses gonds, l’entraîneur Yassir Boutakkala s’avance sur le terrain en criant et en désignant du doigt l’adolescent du Royal, l’accusant d’avoir frappé son joueur.
Appelé à partir de la surface de jeu, M. Boutakkala s’avance plutôt davantage sur le terrain jusqu’à être collé sur le jeune joueur pour lui crier au visage. Le joueur tente de le repousser, mais l’entraîneur le bouscule violemment à son tour alors que l’arbitre en chef l’expulse de la rencontre.
Un autre entraîneur du Kodiak vient alors s’interposer, mais Yassir Boutakkala se dirige ensuite vers le banc adverse pour aborder agressivement l’entraîneur du Royal Beauport. Encore une fois, l’adjoint du Kodiak vient se placer devant son collègue en furie.
Fidèle à leur malheureuse habitude de dissimuler à tout prix les origines étrangères des coupables de méfaits contre des Québécois, les médias relatant la nouvelle n'ont pas montré de photo de l'entraîneur Yassir Boutakkala, ni révélé sa nationalité, son ethnie et sa religion.
Il est pourtant crucial de le souligner à chaque fois de façon claire et nette, si cela nous permet de comprendre le tempérament, la mentalité et le type de comportements découlant d'une appartenance bien précise.
Le lien suivant révèle qu'il serait marocain, donc arabe, donc musulman: YASSIR BOUTAKKALA
Sur un site d'émigrés marocains, on apprend ceci:
Âge : 44
Résidence : Québec
Emploi : Analyste en informatique, Gouv Québec
Le dénommé Yassir Boutakkala a réagi de manière violente et impulsive propre à beaucoup de membres de sa communauté. C'est un cas de plus qui s'ajoute à tous les autres cas semblables rapportés de semaine en semaine et qui démontre le choc frontal de 2 cultures incompatibles (lire les 20 commentaires suivants pour le constater).
Peut-on laisser un étranger de cet acabit libre de se comporter ainsi, alors qu'il représente un danger réel pour la sécurité de nos jeunes athlètes québécois?
Peut-on croire que c'est avec de tels individus en nombre grandissant que le Québec deviendra une société plus pacifique et harmonieuse? Qu'il soit permis d'en douter.