L'islamisation de la civilisation occidentale sous le couvert d'euphémismes
13 juillet 2012
À M. Didier,
Le problème que vous soulevez mérite d'être débattu. La population ne semble pas en être consciente encore.
Réjean Labrie
Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.
Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème gén&ea...
Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.
Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.
Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.
L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.
Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.
Les Québécois désirent se perpétuer.
13 juillet 2012
À M. Didier,
Le problème que vous soulevez mérite d'être débattu. La population ne semble pas en être consciente encore.
Réjean Labrie
23 juin 2012
Cher monsieur Noël,
Vos observations concrètes sont très pertinentes.
À propos de la dame birmane: on voit très bien le fonctionnement du mécanisme de loterie universelle dont le prix est: "Gagnez une place au Canada (ou tout autre pays occidental) et soyez "sauvé" à vie!" Votre nouveau pays prendra soin de vous jusqu'à la fin de vos jours. Pas surprenant que les demandes affluent par millions...
Réjean Labrie
29 mai 2012
Je proposais récemment une possibilité d'orientation du cours d'histoire:
Sous quel angle aborder l’enseignement de l’histoire du Québec ? Sur celui du désir de survivance de notre identité culturelle en terre d’Amérique.
Pour lire l'article complet:
http://www.vigile.net/Sous-quel-angle-aborder-l
10 mars 2012
M. Warren ne semble pas avoir lu la réponse à M. Cloutier.
Lorsqu'il est question de l'affirmation identitaire à travers le nationalisme ou de faire avancer la cause de l'indépendance, tout le monde est ami, qu'on soit partisan de la gauche, du centre ou de la droite.
Tous ceux qui promouvoient ces 2 choses sont du même bord. Il faudrait mettre de côté son penchant à vouloir classifier les gens dans des catégories fourre-tout qui ne veulent plus rien dire.
Rappelez-vous que les votes pour le Oui s'additionnent, peu importe l'allégeance politique.
Réjean Labrie
9 mars 2012
@ M. Cloutier,
On dit que l'idée indépendantiste et le nationalisme ne sont l'apanage ni d'un seul parti, ni d'une seule idéologie (le continuum de la droite jusqu'à la gauche), et c'est fort bien ainsi. Cela nous permet de regrouper beaucoup plus de gens autour de la cause souverainiste sans verser dans la vaine politicaillerie.
C'est pourquoi la diversité des diverses positions suscite tant de réactions sur les sites de débats.
Allons au-delà de nos visées politiques partisanes personnelles pour laisser fleurir l'idée de l'indépendance qui rejoindra une majorité d'entre nous. Ainsi se gagnera le prochain référendum.
Réjean Labrie
3 mars 2012
@ M. Beaulac,
Lorsque je parle de l’adhésion volontaire à l’identité culturelle qui est la nôtre, force est de constater que les anglophones et les allophones ne sont pas près de vouloir se joindre à nous, statistiques à l'appui.
On peut se référer au travail monumental et reconnu du sociologue M. Pierre Drouilly que je cite :
Sur le référendum de 1980 :“Les non-francophones et le référendum ; pratiquement 100% au NON” ; Le Devoir, 18 Septembre, 1980, p. 19. “…sur les 500,000 électeurs anglophones environ qui ont voté le 20 mai dernier, il n’y en pas 1% (il n’y en a pas 5,000) qui ont dit OUI.” “Nous étions, pour notre part, arrivés dans nos calculs à environ 4% de votes néo-québécois pour le OUI : cela représente une moyenne.”
Sur le référendum de 1995 : “Partant d’un vote non francophone presque unanimement reporté sur le NON…”
Et ceci maintenant :“Évidemment, l’ensemble des électeurs amérindiens a fortement appuyé le NON (90,4%), mais on notera cependant qu’avec un appui de presque 10% pour le OUI, les Amérindiens se démarquent considérablement des autres électeurs non francophones. En fait, si les anglophones et les allophones du Québec avaient appuyé le OUI dans les mêmes proportions que les Amérindiens, le OUI aurait remporté le référendum avec 52% des voix environ.”
Source de toutes les citations précédentes, disponible dans toutes les bonnes bibliothèques :
Auteur : Pierre Drouilly
Titre : Le référendum du 30 octobre 1995 : une analyse des résultats
Éditeur : Université du Québec à Montréal
L’année politique au Québec 1995-1996
M. Drouilly est professeur au Département de sociologie, à l’Université du Québec de Montréal.
Réjean Labrie
3 mars 2012
Je salue M. Georges Paquet, le truculent fédéraliste de service sur Vigile, membre du service diplomatique canadien de 1967 à 2002, qui semblait s'être retiré de nos débats, mais que je vois commenter un certain nombre d'articles récents. Il a longtemps servi la formule affirmation/opposition du site en s'opposant systématiquement à tout ce qui est nationaliste, nous permettant de démonter un à un les rouages rouillés du fédéralisme.
Je constate que M. Paquet n'a pas encore lu les autres articles de la série qui expliquent la valeur de l'identité culturelle québécoise comme définition de notre peuple. Je l'invite à faire ce rattrapage pour améliorer sa compréhension des choses.
Longue vie à votre participation cher monsieur Paquet.
Réjean Labrie
1 mars 2012
La réponse est simplement que toutes les tentatives faites depuis 30 se sont avérées un échec, statistiques à l'appui (voir plus bas). Alors pourquoi faudrait-il courtiser hypocritement des gens qui toujours de l'autre bord?
Le message transmis est un triste constat: "nous vous avons invités autant comme autant à vous joindre à nous pendant 30 ans, mais vous vous y êtes opposés comme un seul homme, alors on le fera pour nous seul ce pays". Je trouve ça honnête, lucide et courageux.
Pour les férus de statistiques, on peut se référer au travail monumental et reconnu du sociologue M. Pierre Drouilly que je cite:
Sur le référendum de 1980:“Les non-francophones et le référendum; pratiquement 100% au NON”; Le Devoir, 18 Septembre, 1980, p. 19. “…sur les 500,000 électeurs anglophones environ qui ont voté le 20 mai dernier, il n’y en pas 1% (il n’y en a pas 5,000) qui ont dit OUI.” “Nous étions, pour notre part, arrivés dans nos calculs à environ 4% de votes néo-québécois pour le OUI: cela représente une moyenne.”
Sur le référendum de 1995: “Partant d'un vote non francophone presque unanimement reporté sur le NON…”
Et ceci maintenant:“Évidemment, l'ensemble des électeurs amérindiens a fortement appuyé le NON (90,4%), mais on notera cependant qu'avec un appui de presque 10% pour le OUI, les Amérindiens se démarquent considérablement des autres électeurs non francophones. En fait, si les anglophones et les allophones du Québec avaient appuyé le OUI dans les mêmes proportions que les Amérindiens, le OUI aurait remporté le référendum avec 52% des voix environ.”
Source de toutes les citations précédentes, disponible dans toutes les bonnes bibliothèques:
Auteur: Pierre Drouilly
Titre: Le référendum du 30 octobre 1995 : une analyse des résultats
Éditeur: Université du Québec à Montréal
L'année politique au Québec 1995-1996
M. Drouilly est professeur au Département de sociologie, à l'Université du Québec de Montréal.
RL
28 février 2012
Voici les paroles de la chanson de Robert Charlebois citée plus haut, écrites par l'auteur Réjean Ducharme. À ce qu'on dit, tous ces beaux patronymes bien de chez nous seraient les noms de patriotes emprisonnés sans motif valable lors de la loi des mesures de guerre en 1970...
Manche de Pelle
Michel Joly
Jean Sansregret
Pierre-Paul Soucy
Vincent Forget
Hubert Lepage
Gilbert Valois
Guy Durivage
René Marois
Jean St-Martin
Marcel Cantin
Colette Martel
Fait frette on gèle
Jacqueline Lalonde
Alexis Roux
Joseph .. ?
Abraham Groulx
Fernand Montdor
Henri Poupart
Pierrette Sicard
Encore encore
Louis Chevrefils
Tel père tel fils
Thérèse Lanoie
Faut faire de quoi
Fredy Fafard
Suzelle Richard
Jean-Guy Picard
Louis Robillard
Stéphane Aubin
Ginette Arnois
Albert Brillant
On n’a pas peur
Homère Giroux
Denise Héroux
Julot Sirois ?
Noé Gadois
Étienne Asselin
J’en ai tout plein
Bernie Bédard
Maurice Trouillard
Francine Lamy
François Courcy
Claudette Rémy
J’vous averti, c’est pas fini !
Terminons par les 2 patronymes des auteurs:
Réjean Ducharme, Robert Charlebois
Tiré de l'album "Charlebois" de 1974
Pour entendre la chanson au complet:
http://www.youtube.com/watch?v=CfiJ5t-RX4U
Réjean Labrie
26 février 2012
Dans Recours aux sources, le livre passionnant qu’il a fait paraître récemment chez Boréal, Éric Bédard nous montre que loin d’être obscur, notre passé est au contraire lumineux.
Il écrit:
« La seule façon d’éviter de devenir étrangers à nous-mêmes est d’assumer plus sereinement notre passé », dit-il.
Au lieu de se déraciner de notre passé, il faut au contraire s’enraciner, plaide Bédard.
Et célébrer « la ténacité, les sacrifices, les rêves et les ambitions de nos ancêtres sans lesquels nous ne serions rien ou si peu »…
Réjean Labrie
26 février 2012
Avez-vous vu au réseau TVA la série de magnifiques capsules portant sur les patronymes bien de chez nous qui s'appelle "Le Québec, une histoire de famille"?
C'est tellement beau que les larmes me montent aux yeux lorsque j'en vois une. Que nous sommes donc un beau peuple, oui, du bien beau monde. Merci, mon Dieu, que je sois né ici!
Ça me rappelle la chanson de Robert Charlebois qui était composée uniquement de noms de famille québécois, un poème sonore d'une grande résonnance en nous.
Pour visionner toutes les capsules: http://lequebecunehistoiredefamille.com/liste-familles
Réjean Labrie
11 février 2012
Je constate avec satisfaction que la plupart des lecteurs comprennent le message de base, c'est-à-dire l'importance cruciale de préserver l'identité culturelle québécoise de la lente dissolution assimilatrice.
Lorsque j'énumère les principales caractéristiques de notre identité, je ne veux pas dire qu'il faut les posséder toutes pour se considérer québécois, mais que plus on en possède, mieux c'est. À titre d'exemple, l'animatrice Alexandra Diaz, née au Chili, est tout à fait québécoise, même si elle n'est pas née ici ou n'est pas de la 10è génération comme moi. Mais sur tous les autre plans, elle est parfaitement intégrée au fonctionnement à la québécoise de notre société.
Les politiques d'immigration devraient tenir compte de ces critères de compatibilité avec notre culture afin de protéger l'essence culturelle, le noyau vital de notre nation. Il faut se résoudre à l'évidence que la capacité d'intégration varie beaucoup d'une ethnie à l'autre, d'un pays à l'autre. C'est se tirer dans le pied d'accepter ceux qui contribueront à la perte de notre nation par indifférence à notre sort ou par refus d'intégration.
Pouvons-nous imaginer une Écosse indépendante qui au fil du temps serait formée de 40% de sikhs, de 40$ d'islamistes et de 20% d'Écossais?
Réjean Labrie