Un moratoire s'impose en immigration
26 septembre 2013
Je me suis fait traité de xénophobe, de nazi, de fasciste.
Je l'ai déjà proposé ce moratoire ici.
En fait, l'immigration engendre une grande déception au niveau des immigrés quand leurs attentes sont déçus. Ils pensent contribuer beaucoup, mais les chiffres disent le contraire. Pour des immigrants comme ceux d'Haïti, les gains qu'ils peuvent envoyer à leurs familles surpassent de beaucoup l'aide internationale. Et l'immigration devient pour eux comme une loterie coloniale: Elle reste injuste. On aiderait beaucoup plus de gens à rester chez eux vu que les coûts de la vie y sont moindres si on y consacrait ces sommes.
Et faire venir des immigrants qui ont des compétences recherchées, est une façon de saper les pays en voie de développement. Ce qui augmente la pression migratoire.
Accueillir des réfugiés politiques ?
C'est un peu comme choisir un camp. Ou bien on importe les conflits d'ailleurs. En stricte neutralité, on peut bâtir des camps d'accueil sur l'île d'Anticosti, les laisser s'autogérer, leur fournir des outils d'éducation pour développer des compétences propices à leur retour. Mais leur établissement doit être découragé.
Laisser passer Tamouls et Somaliens comme on a fait devrait être inacceptable.
Tout comme un grand nombre d'Italiens avant la Guerre furent des Mafiosi fuyant Mussolini, beaucoup de pays sous-développés chassent leur racaille interne qui viennent chercher le statut de réfugiés politiques. Une pensée pour ces Chinois fortunés des Triades qui cherchent à éviter la peine de mort en achetant des propriétés au Canada sans même les occuper. Un problème amusant pour Vancouver.
Dois-je signaler qu'avec le déplacement des structures industrielles vers l'Asie, l'Occident est en déclin ?
Nous ne pouvons plus permettre l'immigration puisque nous générons de moins en moins de vrai richesse. Les pays doivent s'autonomiser.
Être charitable est une chose. Se faire abuser comme un "fat cat" est une autre.
Être Canadien sur papier est une chose. Mais les immigrants et leurs enfants ne se trompent pas sur leur identité. Il suffit de voir les drapeaux qu'ils aiment agiter.