Georges B. Tremblay

J'entérine à 100% ce que vous énoncez dans votre texte. Ce débat aurait l'avantage, en plus, d'éveiller le vrai sens national du Québec chez les citoyens québécois qui, présentement, fait défaut à cause ce cette confusion identitaire causée par ce bordel fédéraliste et multiculturaliste canadien. Bon texte!

André Gignac le 24 mars 2010

L'humain n'hérite pas que des gènes, Nicodème. Il n'est pas qu'un animal.

Ce qui nous fait Québécois, ou Chinois, ou Japonais, ou Inuit, c'est l'héritage de notre histoire. Elle est inscrite dans le peuple et en nous. Elle s'éveille par la culture (par le récit , les livres, la famille).

Vous pouvez habiter toute votre vie à Inkaluit, Nicodème, ce fera pas de vous un Inuit.

Il est évident, par son nom, que l'héritage de M. Mohamed Lotfi n'a rien de québécois. Je doute fort qu'il ne respecte la charge historique que son nom porte.

Ne me demandez pas de renier le mien.

Obtenues par Radio-Canada et La Presse canadienne en vertu de la Loi d'accès à l'information, deux lettres datées du 28 juillet et du 29 septembre 2009 font état de rencontres ayant réuni les deux parties au cours de l'été. Signées par les directions de sept écoles juives orthodoxes, qui offrent des cours illégalement depuis plusieurs années, elles sont adressées à la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne.

Les documents suggèrent que la réforme a été taillée sur mesure pour répondre à leurs revendications. Les comptes rendus des entretiens font largement état des « exigences » religieuses des écoles juives, reliées au calendrier scolaire.

Exrtait d'une des lettres envoyées par les directions des écoles juives

« Compte tenu des exigences imposées par la religion des personnes fréquentant nos établissements », les matières obligatoires seront enseignées le dimanche ou au cours de l'été « tel que discuté » lors de notre rencontre, écrivent les directeurs d'écoles.

Lorsque le calendrier scolaire sera modifié en tenant compte du fait que « les fêtes juives ne correspondent pas aux fêtes séculières », il ne constituera plus un obstacle au respect du régime pédagogique, poursuivent-ils.

Ils se disent également prêts à respecter le « cadre légal » s'appliquant aux écoles privées « dans un délai maximum de deux ans ».

Rappelons que le nouveau règlement autorisera l'enseignement le week-end, les jours fériés et l'été. La réforme viendra donc légaliser les ententes conclues avec ces écoles, qui, à l'époque de leur signature, étaient interdites par le Régime pédagogique en vigueur.

Radio-Canada n'a cependant pas pu obtenir les réponses de la ministre Courchesne, ni les ententes conclues.»]

Nous nous sommes faits laver le cerveau par la propagande libérale de John James Charest, ce qui lui a permis de faire une autre belle diversion avec cette vaccination massive pour faire oublier aux Québécois, l'urgence d'une commission d'enquête sur la corruption de son gouvernement pourri. Qu'attendons-nous pour nous en débarrasser? La patience a des limites!

André Gignac le 24 mars 2010

C'est une définition que je demande. Inutile de défendre ce que vous ne pouvez même définir.

« Il y a une langue officielle au Québec : le français et l’anglais. Il y a deux langues officielles au Canada : l’anglais. » par Caroline Moreno

Je ne fais pas que passer dans les corridors. Je vais dans les écoles. J'y ai travaillé plus de 35 ans. La Suisse est à l'orgine de la réforme scolaire que le Québec a adoptée. Après quelques années d'essai, elle l'a rejetée par voie référendaire et elle est revenue à la transmission des connaissances, des bulletins chiffrés, des examens traditonnels.

Les initiateurs de cette maudite réforme ont compris que le «constructivisme radical »produisait des illétrés et des incompétents. J'ai des amis qui oeuvrent, bien fatigués, dans le réseau scolaire, particulièrement au niveau collégial. C'est la catastrophe. Je vais dans mon ancien collège, tous les jours, constater les méfaits de cette forme d'enseignement où le maître ne transmet plus....mais accompagne l'élève qui construit son savoir.

Je reçois contamment des copies de jeunes qui étudient au Cégep et qui me demandent de corriger leur(s) travaux. Souvent, je ne peux le faire. Les phrases sont mal construites, incohérentes, sans début ni fin que je me décourage. La logique grammaticale est absente.

Quant à l'orthographe, c'est la tragédie. Dans une copie de 800 mots, je peux trouver, aisément, 80 fautes. Jadis, on apprenait ces mots de vocabulaire au niveau primaire. Si vous voulez en savoir plus sur la réforme, je vous suggère, de toute urgence, de lire le très beau livre de Normand Baillargeon, CONTRE LA RÉFORME (24.95) - Nestor Turcotte

Le premier reportage à Québec était fait par MARTINE Biron. Il était question d'écoles juives. LA ministre MICHELLE Courchesne était dans l'eau chaude.

Deuxième reportage on est à Ottawa. LA chef de bureau c'est la belle EMMANUELLE Latraverse.

Troisième reportage, on descend à Washington voir la réforme de la santé. LA chef de bureau c'est JOYCE Napier

Et c'est pas fini: 60% des étudiants à l'université sont des filles.
Micheline Dumont est en retard de 30 ans sur la réalité québécoise....