Les Acadiens moins frileux que les Québécois
7 septembre 2010
M.Duchesne, tout ce que j’ai voulu souligner est le fait que les Acadiens ne semblent pas avoir de problèmes à commémorer, par une reconstitution, leur déportation pendant que les nationalistes québécois ne voulaient pas, en général, que la défaite des Plaines soit commémorée d’une façon semblable, parce qu’ils se sentaient humiliés par ce qu’ils pensaient être une fête d’une défaite, d’une conquête.
Deux peuples, deux façons de voir les évènements historiques, tragiques. Les Acadiens profitent de l’occasion pour souligner qu’ils y ont survécus et qu’ils sont encore largement francophones. Un genre de fête à la résistance.