Vous avez dit : «Des funérailles nationales»?
9 septembre 2010
Mme Vallée,
Voici les réponses à votre question, sur Internet :
http://www.mri.gouv.qc.ca/fr/informer/protocole/ceremonial_etat.asp
PRÉSIDENTIELLE FRANÇAISE
9 septembre 2010
Mme Vallée,
Voici les réponses à votre question, sur Internet :
http://www.mri.gouv.qc.ca/fr/informer/protocole/ceremonial_etat.asp
9 septembre 2010
Une suite dramatique à mon texte sur Rouyn-Noranda.
Nous avons pris la route vers Ville-Marie au sud.Là,nous avons tourné à gauche ,vers l'est pour aller voir la maison de la première infirmière,médecin non diplômée, au Témiscamingue, dans un petit village forestier,la mère de mon épouse,jeune femme encore célibataire à cette époque.Ses chums étaient un ours noir et un gros Berger,qui vivaient avec elle.
Puis nous somme allés ,tout près dans le village d'une petite communauté amérindienne pauvre, construit collé sur une centrale d'Hydro-Québec.
Le drame;La centrale refuse de fournir l'électricité.Le conseil de bande n'a pas l'argent pour payer un bureau d'avocats.Il a été obligé d'acheter deux génératrices au diésel pour alimenter la communauté.Pas 24h/24,ni 7j/7.
Aucun loup libéral,ni péquiste,niQS,ni Vert,ni ADQ pour crier «Au secour».L'histoire est bien connue dans la région Abitibi-Témiscamingue.On se garde de pas la raconter à personne.
9 septembre 2010
On veut le retour des nordiques !!! Je payerais plus cher de taxes tout simplement , je desire revoir nos Nordiques !!!!
La vie est de courte durée donc j'aime mieux en profiter et me divertir que de mourir avec mon $$$$
9 septembre 2010
Vous soulevez plusieurs bons points sauf un : Le monde de Québec est derrière M. Labeaume, son Colisée et les Nordiques qui pourraient y jouer. Le bonheur est dans le sport au Québec, pas dans la recherche...il semble bien.
Un conseil en passant.
Les adversaires au projet, s'ils veulent vivre encore longtemps, sont mieux de ne pas se présenter à la marche bleue de Québec du samedi 2 octobre avec leurs pancartes : « Pas de Colisée avec l'argent public ». Les sportifs n'ont pas tous l'esprit...sportif, quand il s'agit de les priver des Nordiques.
Pour montrer l’échelle de valeur capitaliste, nos chercheurs qui gagnent 3 à 5 millions de beaux dollars canadiens par année comme des joueurs de hockey, qui n’ont pas toujours complété leur secondaire, sont plus que…rares. Du pain et des jeux et le ciel à la fin de nos jours, voilà les priorités modernes.
Le fanion du CH et des Norniques avant "le fly du Québec sur le hood du char" comme le disait M. Chrétien.
9 septembre 2010
Tout cela est déplorable, surtout lorsqu’on veut bien se rappeler que pour l’essentiel, c’est nous qui les avons condamnés en reniant notre nationalité commune et en refusant de faire du Québec l’État national des Canadiens-Français. Nous en avons ainsi fait nos pires ennemis alors que nous aurions pu les conserver comme frères et en faire nos meilleurs ambassadeurs. Non pas que nous aurions pu enrayer leur anglicisation, mais nous aurions pu limiter leur assimilation. Voyez les Italo-Américains qui pour la plupart ne parlent sans doute plus que l’anglais, ils restent attachés à leurs origines et forment une diaspora qui accentue le rayonnement de la culture italienne. C’est ce rôle de diaspora, le seul qui aurait pu nourrir leur attachement à la culture française, que nous leur avons refusé à partir du tournant des années 1970. Et nous avons fait la même chose envers les Franco-Américains. Personne ne devrait se réjouir du mal qu'aura causé la petitesse du nationalisme québécois.
RCdB
9 septembre 2010
Rouyn-Noranda,pas de situation catastrophe,rien pour crier comme des loups à la pleine lune.
La fonderie Horne, au centre-ville de Rouyn-Noranda ,est une propriété de Xstrata Copper,de Suisse,depuis 2006.En 2009 l’entreprise voulait fermer ses quatre fonderies mondiales,dont deux au Canada à cause de la forte concurrence chinoise.La fonderie Horne compte 600 employés permanents, plus les 150 embauchés par les sous-traitants.Puis le prix du cuivre a explosé vers le haut.Tellement haut qu’une mafia s’est constituée pour voler le cuivre partout où les voleurs en trouvent.
Xstrata a fermé,en 2010, sa fonderie de Kidd Creek à Timmins dans le nord de l’Ontario.L’entreprise continue d'exploiter le concentrateur et sa mine .La minière a transféré le traitement du concentré de cuivre vers la fonderie de Rouyn-Noranda et l’affinerie CCR de Montréal. L’usine de Rouyn-Noranda verra sa production annuelle passer de 180 000 tonnes à 220 000 tonnes d’anodes de cuivre.
Selon Radio-Canada,12 janvier 2010, il a fallu trois ans et environ 150 millions à La minière Xstrata pour compléter la décontamination des sols de l’ancienne mine/fonderie de Murdochville,en service pendant 50 ans au centre de la Gaspésie.
[« Les sept ex-travailleurs de la défunte fonderie de cuivre Mines Gaspé atteints de la bérylliose, à Murdochville,Gaspésie, négocient un règlement à l'amiable.Un juge de la Cour supérieure du Québec a accepté d'entendre les parties à huit clos pendant deux jours,au palais de justice de Sainte-Anne-des-Monts.Les sept ex-travailleurs et quatre conjointes réclament 10 millions de dollars pour les dommages causés par la maladie industrielle. Ils poursuivent Mines Gaspé, le syndicat des Métallos et le CLSC Mer et Montagne. Si aucune entente n'intervient, un procès sera alors intenté par les ex-travailleurs.»] Radio-Canada 31 août 2010
À Rouyn-Noranda,il y a une quinzaine de cas atteints de la bérylliose.Tous d’avant 2006.
La fonderie Horne a règlé son problème de poussière de béryllium.Depuis 1990,son usine d’acide sulfurique a amélioré la santé des lacs et des forêts environnants.À l’été 2007,j’ai vu beaucoup d’activités nautiques sur le lac Osékio au centre-ville.Le matin la radio parlait des ours en ville.Par deux fois j’ai été face à face avec cet intrus.Heureusement il y avait une porte patio fermée.
L’odeur caractéristique du dioxyde de soufre se fait maintenant rare à Rouyn-Noranda au plaisir des citoyens.
Cependant, Rouyn-Noranda n’a pas encore solutionné la forte concentration d'arsenic dans l'air du quartier à côté de l’usine et ni la contamination des sols empoisonnés au plomb.
La fonderie Horne a une spécialité exclusive en Amérique du Nord.On dit qu’elle serait sans doute fermée depuis longtemps si l’entreprise n’avait pas pris le virage du recyclage des matériaux complexes, sa vache à lait.
Chaque mois, 2,5 millions de livres de matériel électronique, que l’on retrouve dans les ordinateurs, les cellulaires, les imprimantes et autres, aboutissent à Rouyn-Noranda en provenance de l’Europe, de l’Asie et de l’Amérique du Nord.
Les métaux précieux que l’on retrouve dans le matériel électronique comme l’or, l’argent, le cuivre, le platine et le palladium ont ainsi une deuxième vie.On dit que la fonderie Horne peut s’enorgueillir d’être la meilleure entreprise au monde pour traiter ces matériaux complexes.
Pour réussir à donner une deuxième vie à ces métaux, il faut cependant les mélanger avec du concentré de cuivre vierge provenant de mines de cuivre.Il arrive du Chili via le port Saguenay à la Baie et de Timmins à côté.
Le 14 juin 2010 , la fonderie Horne a eu l’honneur de recevoir, pour une deuxième année consécutive, le trophée F.J. O’Connell, dans la catégorie des opérations de surface, transport et première transformation des métaux.
Le trophée F.J. O’Connell est remis annuellement aux entreprises du domaine minier qui ont enregistré les améliorations les plus marquées en sécurité au travail. Celui-ci vise à reconnaître les efforts et l’amélioration de la performance des entreprises.
Sources ;rencontres dans mon voyage d’un mois en Abitibi-Témiscamingue et recherche Google
9 septembre 2010
Quelqu'un sait-il la différence entre des funérailles d'État et des funérailles nationales ?
Merci !
8 septembre 2010
Il n'y a pas de mots pour décrire cette mise en scène du PM. Jusqu'aux larmes de crocodiles à la télé et des funérailles d'État qui tombent à point.
Le PM ne craint pas le ridicule et n'a aucun respect pour l'institution qu'il représente.
Et ses complices députés et ministres qui acceptent de jouer dans cette pièce de théâtre lugubre et macabre.
Je crois qu'avec ce gouvernement, nous aurons atteint les bas-fonds de la politique.
C'est honteux, scandaleux, humiliant et de plus en plus gênant pour les Québécois.
8 septembre 2010
M. Jean-François-le-Québécois, faudrait relire ce qui précède pour ne pas me répéter trop souvent.
Ne pas être frileux est ne pas avoir peur. Faut pas avoir peur de ses émotions pour que des Acadiens acceptent la vérité en face, même la vraie, représentée dans une reconstitution d’un grand malheur qui leur est, autrefois, arrivé comme celui de Grand-Pré.
8 septembre 2010
Pour ma part, je me demande ce que ce ministre a réalisé de si extraordinaire pour avoir droit à un tel honneur. Malgrés tout le respect qu'on peut avoir pour la douleur de ses proches, de sa famille, est-ce que quelqu'un peut me nommer une seule grande réalisation attachée à la carrière de ce ministre.
Ou alors, est-ce que le seul fait d'être libéral et ami de Jean Charest suffirait pour avoir droit à des funérailles nationales ? Et n'y a-t-il pas là une excellente occasion de faire diversion à un moment où le parti libéral en a grandement besoin ???
Je trouve dégueulasse ce qu'ils sont en train de faire avec la mort de l'un de leur collègue et ami...
C'est à vomir.
André Vincent
8 septembre 2010
La manipulation de l'opinion publique, tant par les agences de comm. que les fonctionnaires des ministères québécois, on l'a bien vue à l'occasion du développement du projet Rabaska, à Lévis. Qui se souvient que les ministères
ont défilé devant le BAPE pour faire l'éloge du projet?
Il faut constater qu'il s'agissait d'une répétition générale avant les gaz de «shit».
Mais question? Les Hec, ou tout au moins certains de ses brillants éléments, entretiennent-ils des liens avec l'Institut économique de Montréal?
8 septembre 2010
@ M. Dubreuil
Ce que vous racontez est vrai. J'ai rencontré, il y a quatre ou cinq ans des francos-ontariens. Nous jasions autour d'un feu de camp. Et je n'avais jamais entendu de toute ma vie des propos aussi véhéments envers les Québécois, y compris M. Parizeau. Les insultes pleuvaient. Et là, j'en passe.
Finalement, lorsqu'ils eurent fini de lâcher leur fiel à notre endroit, je leur ai posé la question suivante :
Est-ce que vous nous détestez parce que nous vous empêchons de vous assimiler définitivement?
Ils se sont levés et sont partis.
J'ai eu pitié d'eux.
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