Force Québec, matière à réflexion
7 octobre 2010
Quant à hériter d'encore un peu plus de merde, autant le préciser: j'opte pour «déféquistes».
Dans le dossier Le français Au cœur de la cible
L’Action nationale, Mars-Avril 2013
DÉPUTÉ DE PAPINEAU
Une directive du bureau du ministre Fantino pourrait avoir contrevenu à la Loi sur les langues officielles
7 octobre 2010
Quant à hériter d'encore un peu plus de merde, autant le préciser: j'opte pour «déféquistes».
7 octobre 2010
Il existe une seule façon de s'unir c'est de fonder des mouvement pour réaliser l'indépendance dans tous les comtés donc de réaliser pan par pan notre décolonisation. Porte à porte , assemblée de cuisine, envahir chaque jour tous les médias.
7 octobre 2010
Les fédéralistes sortent leurs serpents mielleux leur taupes et leurs coquerelles
Ils savent que Charest à déétruit la crédibilité des fédéralistes pour toujours comme il avait fait avec Meech moins en 1990 suivi de la récupération avec le coups de la crise d'Oka.
Ça grouille et ça magouille dans les châteaux des commandités et ça multiplie les contrats à coups de milliards aux petits amis
Les mêmes qui menaçaient en 1995 de quitter le Québec si nous osons nous décoloniser
7 octobre 2010
Un autre mouvement fédéralistes pour empècher l'indépendance en récupérant les deux partis moribonds fédéralistes le PLQ et l'ADQ
À chaque fois que nous approchons de l'indépendance les fédéralistes sortent leurs anciennes taupes pour diviser les votes .
Ce mouvement ne dit pas qu'il veut rapatrier ce qui serait rentable pour le Québec donc nos impôt fédéraux et nos pouvoirs internationaux , donc ce sera une perte de temps provincialiste et colonialiste comme le Beau Risque le fut
7 octobre 2010
C'était prévisible. Le PQ, ayant mis son option au frigidaire, il était normal qu'un autre parti politique naisse pour remplacer ce parti moribond qui n'arrive pas à se brancher.
NT
7 octobre 2010
Rien de meilleur que l’indépendance pour régler les problèmes pressant du Québec.
Je vous invite à voir là. À FORCE de VOULOIR.
http://espace.canoe.ca/jptellier/blog/view/273782
7 octobre 2010
Un tel ramassis de bêtises ne peut pas être le fruit d'une ignorance car il en faudrait beaucoup trop.
Il y a de la "pensée néocon" dans cet article, cette pensée qui fait fi de tout réalité et brode un discours apparemment cohérent mais qui ne l'est que dans une autre dimension que celle-ci.
L'apparente "cohérence" est obtenue par une technique simple : inversion de toute la réalité.
6 octobre 2010
Les gens qui encouragent la naissance et la convergence des mouvements populaires souverainistes refusent de voir la réalité en face, j’y reviens tout de suite, mais ce qu’ils favorisent est tout de même louable. C’est comme refuser de mourir et se battre jusqu’à la dernière minute. M. Payne ne condamne pas ces gens, il leur dit que c’est insuffisant, et il a bien raison.
On dit qu’il faut obtenir une majorité de souverainistes mais on oublie toujours la dynamique des choses : il faut surtout que les gens deviennent et demeurent souverainistes dans le temps, pas seulement pendant quelques semaines à la faveur d’une montée de lait par exemple. Pour espérer avoir une influence quelconque sur les mentalités il faut un mouvement permanent, qui se manifeste quotidiennement et dure quelques années.
Or jamais aucun mouvement populaire ne réussit cela, les gens sont happés par le quotidien, les seules références sont les partis politiques, ce sont eux qui dictent l’agenda parce qu’ils durent dans le temps, ils sont là pour ça. Les manifestations, les marches, les rassemblements, c’est vite classé dans les faits divers. Depuis 1995 la seule chose qui a fait évoluer sensiblement l’opinion publique au Québec en titillant quelque peu son nationalisme oublié, ce sont les accommodements raisonnables. Mais le temps fait son œuvre, le PQ n’a même pas levé le petit doigt pour s’inscrire dans la mouvance, il n’a rien fait alors qu’il avait là le premier signe de ce qu’il appelle les conditions gagnantes. Depuis Bouchard c’est le dogme, attendre les conditions gagnantes. Mais quand enfin l’occasion se présente, on se cache, on ne fait rien. Honte à ce parti, comment peut-on encore lui faire confiance ?
Dans les années soixante le RIN a favorisé l’émergence du PQ, et ici au Québec, à cause du régime parlementaire britannique, c’est là le seul pouvoir objectif des mouvements populaires, donner naissance ou convertir un parti politique. Des personnalités fortes comme René Lévesque ont embarqué dans le grand mouvement d’émancipation (les libéraux de Lesage y sont pour beaucoup) en créant un parti politique pour réaliser l’indépendance du pays. Le seul succès possible des mouvements populaires souverainistes est de faire naitre éventuellement des vocations chez des personnalités connues, des leaders prêts à investir le PQ pour en prendre le contrôle, lui redonner son âme, quitte à se faire rouler dans la boue pendant un moment par les commentateurs autorisés. Des gens déterminés à se battre contre l’opinion publique, oui, se battre pour la faire évoluer et cesser de s’y mouler lâchement. Des gens qui, comme Parizeau, garderont le cap envers et contre tous.
Moi je crois que la pression médiatique aujourd'hui est beaucoup plus forte que lors de la naissance du PQ, je crois que nos médias au Québec sont les premiers responsables de l’apathie politique des gens. La joute publique est strictement balisée, les codes sont forts : imaginez, on a réussi à faire croire aux gens que parler toujours de souveraineté, ce n’est pas bien, ça empêche d’avancer. L’odieux n’est pas ce qui est dit mais bien ce qui est sous-entendu : on parlerait trop de souveraineté, c’est présenté comme une prémisse et tout le monde gobe ça, même si en fait jamais jamais au grand jamais, depuis 1995, on ne débat au Québec en terme d’indépendance nationale.
De manière générale qu’est-ce qui compte : l’opinion publique. Pour la grande majorité des gens quel est le médium principal qui forge l’opinion : la télévision. Il est très rare que l’indépendance du Québec y soit discutée. Mettre le mot « souveraineté » quelques fois dans son discours, ce n’est pas parler de la souveraineté. Si je dis que les arbres sont beaux dans la forêt derrière chez moi, est-ce que je fais de la foresterie ? Pourquoi personne ne dénonce-t-il jamais le manichéisme de la presse au Québec ?
Même des journalistes croient cela, on parle trop de souveraineté au Québec, la question nationale nuit. C’est le gars qui raconte des mensonges et qui finit par y croire. Il n’y a pas beaucoup de place aux interprétations, surtout, toute vélléité d’indépendance est systématiquement douteuse, précisément parce que ça ne respecte pas les normes publiques entretenues. Il n’y a pas beaucoup de journalistes au Québec qui souhaitent réellement que les choses changent, au contraire.
Il faudrait un RIN 10 fois plus populaire qu’à l’époque pour capter l’attention des gens, aujourd’hui plus individualistes qu’avant, et plus confortables aussi. Il faut plus que des vœux pieux, il faut plus que se ramasser en gang et crier notre volonté d’émancipation. Mais je répète que j’approuve les mouvements qui cherchent notre émancipation, c’est un minimum, je ne cherche pas à leur nuire. Le RRQ par exemple est un mouvement qui préserve notre dignité, mais il est toujours systématiquement récupéré autant par les commentateurs souverainistes que fédéralistes. On ne les prend pas au sérieux, comme aucun autre mouvement populaire.
M. Payne a raison, ultimement, toute convergence des mouvements souverainistes sera récupérée d’une manière ou d’une autre, l’opinion publique ne changera pas. Objectivement, c’est faire le jeu du PQ. Le souverainisme d’aujourd’hui porte en lui même le ferment de sa propre destruction, comme dit M. Payne, et c’est ainsi depuis 1995. Quand Bernard Landry a succédé à Lucien Bouchard, il a cimenté ce souverainisme auto-destructeur. Je respecte M. Landry, c’est un homme d’État, mais il est quand même passé à côté des choses au moment où il fallait agir.
Moi je crois qu’il serait beaucoup plus utile de s’en prendre directement au PQ. On a encore du temps avant les prochaines élections. Les mouvements populaires souverainistes auront du succès seulement s’ils parviennent à ouvrir les yeux des militants péquistes, ceux qui se présentent dans les congrès et applaudissent le pire chef que ce parti ait eu depuis que je l’observe. On a besoin de colère, il faut brasser la cabane de ce parti imposteur.
Pour répliquer d’avance à M. Bousquet : il y a ce fait incontournable qu’une fois le PQ au pouvoir, l’appui à la souveraineté baisse inexorablement. Une fois au pouvoir, tout est scruté et commenté quotidiennement, il n’y a pas de marge de manœuvre. Avec l’attitude du PQ il est mathématiquement impossible qu’une fois au pouvoir, il puisse raviver l’esprit d’émancipation des Québécois, bien au contraire. « Prenons le pouvoir d’abord, on pourra faire la souveraineté ensuite », c’est faux, c’est impossible on l’a vu à quelques reprises depuis 1980, c’est de la fausse représentation.
Moi aussi j’ai envie de hurler depuis quelques années. Je suis plus à gauche qu’à droite mais je voterais pour un nouveau parti de droite s’il était clairement indépendantiste. Contrairement à ce que j’ai toujours maintenu jusqu’à ce jour, aux prochaines élections je ne voterai pas pour le PQ. Son avènement au pouvoir ajoutera un autre 15 ans de tournage en rond. Si rien ne change, si personne ne propose véritablement l’indépendance, je voterai pour l’honnêteté, la franchise et la détermination. Je voterai pour Amir Khadir, le seul leader actuel qui dit et qui fait ce qu’il pense.
6 octobre 2010
Ce qui ne fait aucun doute, c'est que cette division politique des Québécois fait l'affaire du PLQ. Ça me semble un argument suffisant pour que les partis nationalistes et souverainistes s'unissent, peu importe qu'ils soient de gauche, de centre ou de droite. (Que de petites considérations par rapport à la réalisation la plus importante pour un peuple: l'indépendance !)
Je critique le PQ régulièrement et de façon très brutale, mais ce parti peut compter sur mon appui indéfectible et sans condition, dans la mesure où c'est le parti qui a le plus de chances de réaliser l'indépendance. J'ai 29 ans et je comprends ça depuis toujours. Pierre Bourgault lui-même trouvait que recommencer le combat indépendantiste avec un autre parti était le plus beau cadeau à offrir à nos adversaires, que c'était reporter l'indépendance dans un avenir à très long terme, pour ne pas dire enterrer l'idée.
Suis-je le seul Québécois qui accepte de faire des compromis sur ses autres convictions, pour que le seul parti capable de réaliser l'indépendance prenne le pouvoir et libère enfin le Québec ???
Si vous avez envie de hurler monsieur Payne, moi, j'ai envie que les diviseurs parmi nous soient remplacés par des rassembleurs.
Laurent Cambon
6 octobre 2010
Le nouveau parti des Lulus : Force Québec
Le nouveau parti «Force Québec» naîtra cet automne.Son chef sera François Legault.Adieu l’idée d’indépendance.
http://videos.lcn.canoe.ca/video/un-nouveau-mouvement-politique-de-centre-droit-est.../627163794001
6 octobre 2010
Je seconde ce que déclare Raymond Gauthier. Il y a une chose que toutes les corporations et les politiciens de ce monde n'ont pas et que nous, les citoyens, avons: le nombre, la majorité. Les citoyens peuvent reprendre le pouvoir, par la démocratie, si ils cessent d'être défaitistes. Même le gouvernement libéral, M. Pomerleau, doit le pouvoir de décider à la majorité qui les ont mis au pouvoir. Oui, il y a des forces financières et de la corruption derrière la politique québécoise (tout le monde connait Desmarais et il y en a d'autres) mais au bout du compte, quand les gens arrêtent d'être individualistes, qu'ils se regroupent et qu'ils demandent -que dis je- exigent, ils l'emportent. Les pantins politiques n'ont d'autre choix que d'écouter. Autrement, ils seront remplacés. La façon irresponsable et irrespectueuse dont nos gouvernements et l'industrie gazière et pétrolière se conduisent ne peut pas durer si la population se réveille et demande un changement. Si les gens cessent d'accepter leurs manigances et de prendre l'argent qu'ils leur jettent au visage pour qu'ils se ferment la trappe. J'ai crié sur tous les toits de ne pas élire Stephen Harper, j'ai même organisé une manifestation avant les élections fédérales pour tenter d'en convaincre le plus possible. Je savais qu'il serait le George Bush du Canada. Avec lui, l'empire s'écroule: les sables bitumineux prennent de l'expansion, poluent et empoisonnent tout ce qui se trouve aux alentours, les poissons ont des tumeurs de la grosseur d'une balle de tennis, des déformations jamais vues auparavant, et les Premières Nations de Fort Mc Murray ont déclaré être victimes d'un génocide. Harper encourage la destruction et le ravage, le pillage de notre pays, il nous a mis sur la carte en tant que la Nation industrialisée la plus poluante au monde. Et oui, c'est nous, le Canada! Belle réputation et quelle joie pour ses habitants. Il faut se débarrasser de Harper, de Charest, de Campbell, de tous ces penseurs à l'envers qui nous font régresser et nous amènent tout droit au cimetière. Nous le devons à nos enfants, nous le devons à nous-même et à notre fierté!
6 octobre 2010
Récemment,la province Terre-Neuve a nationalisé la forestière Abitibi-Bowater sans lui verser aucune compensation financière.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!