Pensons à nos enfants et laissons-leur un beau pays où vivre
15 janvier 2011
Toute ma sympathie Madame, pour votre courage d'écrire et de dire.. et mon empathie pour le Peuple qui n'aura pas un temps facile en vue de sa libération
Devant le Totalitarisme, il n'y a pas plus que 4 chemins :
celui de la servitude et de la souffrance associée de l'ordre de la meurtrissure
celui de la révolte criant le cri de cette révolte et prenant le risque de se faire entendre en vue d'un meilleur temps
celui de la duplicité à demi temps entre celui de la servitude et de la révolte
celui de l'indifférence mais qui ne s'avère que fausse indifférence au fond et engendrant repli sur soi, perte de confiance ainsi que désespérance
Mes pensées sont avec vous, ce que vous représentez
Bien à vous,
Suzanne Caron