M. Bill Facture, le dernier messager, est un exemple frappant et décourageant des souverainistes qui croient Mme Marois n’est pas vraiment souverainiste. Bien oui, quant à y être, M. Charest ne serait pas fédéraliste mais « un véritable séparatiste déguisé » pour ne pas trop faire peur aux Anglophones qui votent pour LUI et son parti. Franchement !

Mme Marois devrait faire quoi pour calmer ces doutes ? Déclarer qu’elle va tenir un référendum un an après la prise du pouvoir par le PQ, quand les sondages confirment qu’il y a environ 40 % de souverainistes au Québec et pour, en même temps, aider les fédéralistes à bien se préparer à faire voter NON ? Se faire couper les 2 bras et la tête…alouette ? Misère !

Mme Marois n'est certainement pas responsable, du confort et de l'indifférence de certains Québécois, qui tiennent le NON à 60 %, ce qui ne la décourage pas de faire des pas vers la souveraineté du Québec, selon les opportunités.

Je m'en vais, comme observateur, au congrès du PQ cet après-midi et, je compte bien voter pour le Bloc le 2 mai prochain, sans me demander si M. Duceppe est un faux-frère.

http://pq.org/endirect

Ave

Le présent texte vise à présenter chronologiquement, les diverses recherches visant à localiser la chapelle
Champlain.

Pour en savoir plus sur le sujet consulter le lien suivant:

http://fr.calameo.com/read/0006162766245d9de4442

Bonne lecture et découvertes!

On a compris, dès les premières pages du formidable livre de l'historien américain David Hackett Fischer, Le rêve de Champlain (qui sort ces jours-ci au Boréal), quelle était la nature de ce rêve qu'entretenait le grand homme.

Pour en savoir plus consulter le lien suivant:

http://www.lactualite.com/culture/champlain-revele-sa-vraie-nature

Bonne lecture et découvertes!

Se pourrait-il que plusieurs souverainistes croient sincèrement que le PQ n'est plus un parti souverainiste ? Si oui, leurs votes iront probablement ailleurs.

Le lieu de rencontre est en avan du parlement le 23 et le 24 les heure sont déja indiquer dans le document plus haut

Le Québec n'a pas besoin de faux-semblant, il a besoin de gens convaincus hors de tous doutes raisonnables ou pas, que la seule voie pour le Québec, c'est l'INDÉPENDANCE. Je suis d'avis que si tel était le souhait de Monsieur Michaud, c'est LUI que je verrais à la tête du PQ. On a que trop tourné en rond et avec Pauline Marois qui cherche de plus en plus à contenter tout l'monde donc, personne du même coup, nous risquons de perdre le petit peu d'acquis que nous avons réussi collectivemenet à maintenir de peine et de misère.

Ce n'est pas que je lui en veuille personnellement, mais depuis le temps que le peuple lui envoie toutes sortes de signal allant dans le sens de l'Indépendance, si elle avait eu à comprendre, cela fait longtemps qu'elle chercherait "d'elle-même", à ralier tous les Québécois(es)à cette idée qui pourrait ENFIN germer !!

Chapeau!

Jacques L. (Trois-Rivières)

Vous étiez du Rêve des années soixante ? J’en étais aussi. Alors souvenez-vous. Dès les années soixante, les séparatistes—car les indépendantistes ne craignaient pas de se nommer eux-mêmes ainsi—ne s’en faisaient pas beaucoup avec le référendum. Les séparatistes s’en faisaient si peu d’ailleurs qu’ils ne voyaient même pas la pertinence d’élire des députés au niveau fédéral. Ils laissaient tout ce « territoire », le parlement fédéral, politiquement très légitime.au bon vouloir des partis pancanadiens, fédéralistes.

Souvenez-vous aussi, hé oui, que les fédéralistes AUSSI Rêvaient. Ils Rêvaient de réformer la fédération de façon à assurer pour les canadiens-français, les québécois que nous devenions, non seulement une place, nous avions déjà une place à titre de « peuple fondateur », mais d’une telle place que notre futur de peuple serait constitutionnellement assuré. Ce rêve des fédéralistes a pris la forme imprévue du rapatriement de la Constitution. Et tranquillement, fatalement, les fédéralistes canadians et québécois ont cessé de rêver… Mais Nous—Nous, le peuple québécois—Nous Rêvons encore.

Et si la « gouvernance souverainiste », tant décriée à l’avance, c’était simplement la réponse, la manière appropriée (il y en a d’autres, évidemment) de lutter contre des fédéralistes qui ne rêvent plus ? Comment les amener autrement, tranquillement, ceux-là parmi Nous, à rêver à nouveau, mais avec nous ?

À ce jour, Mme Marois a fait un millage d’enfer. Les rouges du P.L.Q. sont maintenant à terre.