Quand on veut un pays, on n'a rien à perdre
10 août 2011
Je suis d'accord à 100%. Je présume que :
si les USA s'effondrent, un président Noir sera blâmé. A t-il été propulsé au pouvoir pour prendre le rôle du bouc émissaire ? Un plan cogité par des Blancs,dans une association de malfaiteurs au plus haut niveau d'une oligarchie diabolique...? Un cauchemar à forte dose paranoïaque?
Nous sommes tout près du gouffre chez nous, au Québec, beaucoup de gens sont dans l'inconscience totale parce qu'on néglige de renseigner les jeunes et les moins jeunes. Si j'apporte votre article ou que j'en parle, on me répond que :"ça toujours été comme ça, le capitalisme c'est ça, ça sera toujours ça.Et même si le Québec se sépare, ça va être pire avec les Québécois pissous, chialeux, téteux."
Je prêche dans un désert désertique.
Comment porter ce fardeau d'inculture ?
La conversation s'arrête là.
Les jeunes s'aiment, demeurent ensemble, achètent une maison, plein de meubles,une auto, un camion, un bateau et la paye mensuelle y passe.Et un beau jour, ils attendent un enfant. Ils ne s'arrêtent pas à la politique.
J'ai entendu souvent :"MOI, j'connais rien de la politique, je me mêle pas de ça, j'ai assez d'troubles."
Les gens qui s'intéressent à la coopération sont dans la quarantaine ou cinquantaine et ils sont admirables. Mais sans aide, tout est fini, tout rend l'âme, tout meurt.
La véritable beauté de la vie survivra t-elle ?