1-Daniel Johnson ne fut jamais membre du PQ. Vous voulez sans doute parler de cet imposteur pseudo-indépendantiste Pierre-Marc, son frère
2-Ce que j’ai surtout «omis» de dire concernant ce fameux Pierre-Marc, c’est qu’il fut pourtant élu avec 58% des votes péquistes à la course à la chefferie de 1985. Devant 5 autres adversaires sans même mentionner Bernard Landry qui se désista pendant la course faute d’avoir obtenu suffisamment de support financier comme candidat…
3-J’ai également oublié de mentionner que notre autre imposteur pseudo-indépendantiste René Lévesque lui-même fut «obligé de démissionner» comme chef du Parti Québécois de par la faute de son «souverainisme assez timide» et qu’il fut remplacé par notre fumeux pseudo-indépendantiste Pierre-Marc Johnson
4-Vous dites ; «La commission d’enquête ne portera pas sur la main mise de nos richesses naturelles». Et vous me dites ; «votre manière de détourner mes propos…» vient malheureusement contredire vos propres propos ci-haut mentionner… «Les commissions d’enquête ne sont pas là pour éliminer le crime organisé, voilà une tâche impossible. Elles sont là pour démanteler des stratagèmes qui pourraient nous mener tout droit à notre perte. Comme la main mise sur nos richesses naturelles par exemple.» Ce qui vous en conviendrez, est assez dur à suivre de votre part…
5-Par contre, j’aimerais être bien clair avec vous. Tout comme vous, je suis scandalisé, indigné et même révolté devant tout ce parfum de scandale de corruption ministériel et de collusion au sein de l’industrie de la construction. Cependant, je diffère d’avec vous et de «l’opinion publique…» en ce qui devrait être les mesures efficace devant mener à la résolution de ces pratiques. Je persiste et je signe d’affirmer qu’une commission d’enquête publique mené par le gouvernement Charest (ou même libéral avec un autre chef…) ne serait que poudre aux yeux et coûteux spectacle médiatique. Tant qu’à un éventuel futur gouvernement issu d’un autre parti, et bien qu’il mette «toute la gomme» en matière d’enquête criminelle et qu’il poursuive les fautifs.

Sylvain Marcoux

Vous terminez votre exposé en prétendant en tirer une «leçon», soit celle-ci ;
«L’Union Nationale et le Parti Québécois sont tous les deux le résultat d’un PACTE électoral, ainsi que le Parti Conservateur à Ottawa.»
Je n’ai cependant d’autres choix, sans nécessairement pousser l'extrème jusqu'à «taxer de diversion ou de boulechite» extrême cette idée de projet de «pacte» électoral multi-céphale (quoi que...), de vous rappeler qu’il serait plus juste d’affirmer que l’Union National, le Parti Québécois et le Parti Conservateur ne sont nullement le résultat de «Pacte électoral». Car ce sont effectivement, dans les trois cas, de véritable parti politique ayant eu chacun, et dès leurs fondations, leurs propres directions, leurs propres chefs, de même que leurs propres programmes.

Il serait donc plus juste d'affirmer qu’ils furent tous trois issus de fusions de partis politiques préexistant… mais abandonnèrent leurs identités (programmes, directions, chefs…) à la faveur du nouveau parti ainsi fusionné…

Là est la véritable leçon à tirer de cette histoire.

Vous voulez une authentique «leçon de l'histoire» ?

CHEF CHARISMATIQUE,
LEADERSHIP ASSURÉ PARCQUE LEADER ENTOURÉ D’UNE ÉQUIPE CRÉDIBLE ET SOLIDAIRE, PROGRAMME NATIONALISTE ET LIMPIDE… corolaire…
DISPARITION DU PQ !

Sylvain Marcoux

J’ai eu l’occasion d’écouter à quelques reprises des entrevues à Radio-courtoisie de personnalités intéressantes que la presse mainstream ignore. Cette radio que je ne connais pas davantage a le mérite de diversifier et d’enrichir l’offre. Ce qui n’est déjà pas mal. Vous n’aimez pas Aymeric Chauprade, je vous invite à le lire car c'est du sérieux. Vous en tirerez sûrement quelque chose.

Pour les concepts de droite et de gauche, il faut se garder d’en abuser tellement ils sont galvaudés et ne suffisent pas à rendre compte de la réalité d’aujourd’hui. Vous remarquerez que par soucis de clarté, gauche-droite est très peu employé sur Vigile, par exemple, sauf à des fins de jeter un discrédit facile, sans comprendre et sans expliquer. J’invite le lecteur à consulter le programme et le site du Front national pour considérer les positions de ce parti sur l’Euro, la mondialisation, l’immigration, etc. Le qualificatif facile d’ «extrême droite » qu’on lui colle est une création des partis de pouvoir en France l’UMP et le PS, pour amener les gens à rejeter émotivement ce parti et prévenir qu’on se forme rationnellement un jugement critique à son sujet. Dans votre ligne à deux sous sur le Front national, la marque de l’UMPS est reconnaissable. Quant à moi si le FN est fangeux, l'UMPS ne le sont pas moins !

Pour ce qui est des « rébellions » de Lybie et de Syrie, vous devriez peut-être ajouter, pour être logique avec vous-mêmes, que leur caractère démocratique ne fait pas de doute parce qu’elles sont soutenues par les dictatures monarchiques arabes, les bonnes dictatures en quelque sorte. Quant à Thierry Meyssan, je dirai simplement que son travail est exemplaire (sa vie est en danger en Libye et j’espère qu’il s’en sortira vivant). Quoi que vous en pensiez, il a été le premier à faire réfléchir le monde sur le 11 septembre, tant et si bien que plus de la moitié de l’opinion publique mondiale ne croît plus aujourd’hui à ce qu’il convient d’appeler la version officielle. Quant à savoir ce qui s’est réellement passé dans les détails, ça se discute. Sous ce rapport, Thierry Meyssan a le mérite d’enrichir l’offre d’information, ce qui est déjà beaucoup et pourrait vous être utile compte tenu du fait que vous semblez avoir lu à propos de ceux que vous critiquez sans les avoir jamais lu. Un peu d’étude de votre part pourrait vous aider à nuancer vos jugements, sinon à les reconsidérer.

GV

Radio Courtoisie est une radio d'extrême-droite qui barbote dans les eaux fangeuses du Front National et autres mouvements du même genre (Occident). Tant qu'à votre héros, catholique réactionnaire, il est un ancien condisciple et collaborateur de Philippe de Villiers qui lui aussi se situe à l'extrême-droite de l'échiquier politique francais. Il aligne comme Thierry Meyssan, comme on se retrouve, des thèses fantaisistes sur un complot israélien et américain lors des attentats du 11 Septembre 2001 et comme par hasard accorde son soutien aux dictateurs syrien et lybien (tout comme Thierry Meyssan, tiens, tiens..).

Un personnage suspect, instrument ou instrumentalisé, comme Meyssan, par probablement un ou plusieurs services secrets.

Ce type de solution n'est pas une panacée. Qu'en serait-il si un groupe organisé et financé décidait de poser la question référendaire du style "Désirez-vous que le Québec fasse sécession" quand les sondages ne sont absolument pas favorables à cette option ?

Cette solution nécessite de l'argent pour collecter les signatures, en vérifier la validité, etc. En Suisse les signatures sont collectées manuellement (porte à porte, marché public, etc) sont vérifiées et ceci n'est pas un procédé électronique...tout ceci ne permet pas de contenir les frais nécessaires pour faire de la politique. Mobiliser de vastes groupes de gens ne peut être bon marché...

Il existe des dérives qui permettent à des groupes avec des agendas ultra conservateurs de mobiliser l'opinion ou de la manipuler (la proposition 13 en Californie est un modèle du genre).

Une apparence de démocratie qui ne remplace pas le travail de fond qui devrait-être effectué par la députation..

http://tinyurl.com/3n3qabn

Ça donne une toute autre perspective par rapport à l'homme et le pays qu'est la Libye. Le mode de fonctionnement qui est le leur me semble même être une source d'inspiration pour le Québec qui cherche de plus en plus à réformer son système démocratique pour le rapprocher du peuple. Sûrement que Roméo Bouchard et Bernard Drainville aimeraient...

gr

Dès la prise du pouvoir le processus menant à l'indépenance était enclenché.

Ce n est qu'aux élections de 1973 que l'Idée du référendum est apparue.

Les indépendantistes manquent de formation historique.

gr

C'est un bon début, mais cela reste que le PQ ne fait que représenter son projet de constitution sous un nouvel emballage.