Aux prochaines élections, on demande la souveraineté et la nationalisation de nos ressources !
11 octobre 2011
Merci Pablo pour ce beau message, je le fais suivre partout.
PRÉSIDENTIELLE FRANÇAISE
11 octobre 2011
Merci Pablo pour ce beau message, je le fais suivre partout.
11 octobre 2011
@ JCPomerleau,
Je vous remercie pour votre intervention visant à m'éclairer.
De l'exposé écrit par monsieur Sheldon, je me suis arrêté d'abord à ceci:
"En 1997, Hydro-Québec et son nouveau président M. André Caillé s’approprient les compagnies gazières gérées par la SOQUIP et en 1998, le gouvernement de Lucien Bouchard met la SOQUIP sous la tutelle de la Société Générale de Financement (SGF). En 1999, la SOQUIP ne figure plus sur les organigrammes de la SGF et étant privée de capitaux, elle se vide de ses employés restant. On assistera ensuite à la vente des permis d’exploration et d’exploitation par l’État aux compagnies privées – les claims." Ai-je bien lu ? Il me semble que Lucien a alors été frappé par un de ses premiers éclairs de lucidité quant à sa façon de jongler avec notre richesse collective pour la diriger vers l'entreprise privée.
J'avoue que je me suis particulièrement arrêté à ce passage parce que je méprise ce Bouchard qui a agi à l'encontre de principes moraux universels et du droit commun en trompant toute la population du Québec dans l’affaire du lynchage de monsieur Michaud. Quelle petitesse ! L'affaire Michaud est une sordide histoire se rapportant aux agissements de Bouchard, mais qui nous rappelle ce qui le caractérise encore aujourd'hui dans ses nouvelles fonctions professionnelles: la perfidie.
Il me semble que Bouchard a contribué activement au bradage de nos ressources. (Sinon, je vous prie de m'aider à comprendre.) Bien sûr, sous Charest, il s'agit du "pillage systématique de notre État" (selon votre expression très juste: http://www.vigile.net/Le-vrai-noeud-du-debat-les-affects). Néanmoins, voici une question difficile: Croyez-vous sincèrement que sous le PQ-Marois, le Québec pourrait reprendre le contrôle de ses immenses richesses ?
Monsieur Pomerleau, quant forum de Cyberpresse, cette cyberpropagande censurée ne m'intéresse pas du tout. De loin, je préfère m'instruire en lisant de passionnantes envolées (dont les vôtres) ici-même sur Vigile.
11 octobre 2011
M. Pomerleau, allez jusqu’au bout de votre pensée svp et cessez de chauffer le chaud et le froid.
À moi vous dites que la priorité des priorités c’est de reprendre le contrôle de l’État du Québec, en élisant le PQ.
Vous dites en même temps que le PQ, tel qu’on le connaît, ne peut pas procéder convenablement et efficacement avec le plan de gouvernance souverainiste, mais puisque la priorité est de cesser le massacre de notre pays, le Québec, il faut éliminer Charest, et pour cela vous proposez d’élire le PQ.
On sait que si le PQ gagne les prochaines élections, rien ne pourra plus le faire changer, il en fera à sa tête comme tous les partis le font au pouvoir. Tout ce qui s’est passé cet été n’a pas réussi à faire bouger Mme Marois. Une fois au pouvoir, comment pensez-vous réussir à la convaincre de quoi que ce soit ? En sortant par milliers dans la rue à tous les 15 jours ? Vous choisissez de sauver les meubles même si cette éventualité nous entraine dans un autre cycle de 10 ou 20 ans, nous empêchant de nous émanciper.
Ici dans votre dernière réponse à M. Savoie vous y allez encore de vœux pieux car vous savez très bien que le PQ n’est pas en mesure de livrer la marchandise, vous le dites vous-même. Théoriquement c’est excellent, j’ai déjà écrit quelques textes là-dessus depuis 2006, mais on doit travailler dans la conjoncture actuelle. Le PQ est amorphe depuis plusieurs années et même les démissions n’ont pas encore réussi à le réveiller. Si Mme Marois devient Premier Ministre, vous savez que votre beau scénario décrit à M. Savoie, répété quelques fois depuis quelques mois, n’a aucune chance de se réaliser, vous l’avez dit vous-même. Les paroles de Marois que vous rapportez à l’Engagé ne sont pas crédibles car dans toute sa carrière jamais Mme Marois n’a montré des sensibilités se rapprochant de ce qu’elle déclare, bien au contraire. Elle veut que l’anglais soit tissé dans nos vies, elle ne sait pas que Nous existons encore, et s’il y avait une seule raison pour faire l’indépendance, une seule, ce serait pour que Nous ne mourrions pas. Mme Marois n’a aucune affinité avec ce genre de sentiment. Vous le savez.
Alors cessez, svp, de faire l’étalage de ce qu'il faut pour obtenir un rapport de force favorable, tout en encourageant ce qui l’empêche d’être mis en œuvre. Il faut être cohérent M. Pomerleau, il faut choisir, vous ne pouvez pas prendre les deux.
Tenter de faire élire le PQ actuel, c’est mettre notre combat sur la tablette peut-être jusqu’en 2030. Moi M. Pomerleau, je ne peux pas accepter cela.
11 octobre 2011
Je ne suis pas du club de conditions gagnantes...
Oh non!
Mais il faut se rappeler le nombre absolument ahurissant que les `amerloques` (j`aime cette expression-là) ont envahit ou subit des coup-d`états ou autre coup de cochons.
Le Canada (ROC)ne peut, par sa politique interne, changer de statut de pays satellite des USA. C`est ce constat qui a fait perdre au Canada sa capacité d`avoir un siège au conseil de sécurité.
La communauté internationale est une pute, Y sont pas fin mais c`est pas des fous.
Le Quebec, en se séparant, peut et même A LE DEVOIR de changer de statut, de pays satellite a pays marginal.
Et quand je dis marginal, je ne veux pas dire `pas important` mais plutôt `à la marge de`. Un peu comme la Finlande est un pays à la marge de union soviétique. Et qui est un pays à la pleine autonomie.
En parlant de politique interne...
Ça fait pas beau de voir comment c`est ridicule de voir l`assemblée nationale saluer l`assassinat de Ben Laden, sauf pour Amir Khadir pour sauver la mise.
On a une politique interne différente, lorsque l`on réagit de façon différente au évènement.
le problème surgit parce que les USA on montré qu`ils ont une très grosse allergie aux alternatives sociales. je ne voit pas les voir intervenir, mais je peux voir beaucoup d`intimidations.
De la même façon que la Slovaquie c`est séparé de la Tchéquie, ils fallait pour eux de saisir une opportunité historique, le déclin de l`empire soviétique.
Et en ce moment. Les Usa sont en déclin...
le Quebec n`est pas seulement une `province` unique, mais deviendra `à ça façon` un pays unique.
le Quebec est unique, Elle est la seule culture latine au nord du rio grande.
Denis Landry
11 octobre 2011
La nation québécoise doit par voie référendaire:
1) Destituer sur son territoire national la couronne britano-canadienne pour s'y substituer en tant que seule autorité légale et légitime, résolument démocratique, celle du peuple souverain et adopte une constitution républicaine dans laquelle, elle y met ses valeurs propres et fondamentales.
2) Proclamme l'indépendance de l'état québécois ainsi que son adhésion pleine et entière à l'Organisation des Nations Unies.
La campagne référendaire doit commencer maintenant.
11 octobre 2011
Ça commence à puer, vous dites M.Savoie!
Les scandales libéraux ont commencé en 2003 suite à des manoeuvres douteuses dans les contrats de déneigement à Montréat, puis il y a eu les FIERS, les compteurs d’eau, la Caisse de dépôt, le salaire de 75,000$ sous la table de Charest, les places dans les garderies ect…
Une bombe puante à retardement ce Charest...
11 octobre 2011
Pour vous avoir parlé et pour avoir saisi l'essentiel de votre enseignement, M. Sauvé, je suis certaine que si vous déteniez le titre de chef d'un parti qui se donne comme objectif la libération de votre peuple, vous ne nous serviriez pas de formules creuses comme il en est question ici. Déclarer franchement et sans ambages qu'il faut abolir le poste du représentant de la reine ne nous mènerait pas au chaos, il provoquerait une crise sans précédent dans les relations Québec-Canada™ certes mais vous savez ce qu'il faut faire pour rapidement remplacer le poste devenu vacant. Ce ne sont pas les Québécois qui auraient à y perdre quelque chose mais le système colonialiste canado-britannique. Ce serait le début de la fin du Canada au Québec ! Et de plus avec l'assentiment d'une forte majorité de citoyens québécois !
Si Marois ne veut concrètement rien abolir, qu'elle se taise et gouverne sa province ! ( Ça c'est si elle est élue. )
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11 octobre 2011
En femme cultivée, vous raisonnez d'une manière on ne peut
plus raisonnable, Daniêle. Mais la majorité des électeurs
raisonnenet avec leurs tripes, c'est-à-dire une
perception viscérale de la réalité, que la raison ne
connaît pas. On ne veut plus régler tel ou tel problême :
on veut une révolution. Partout ou presque en Amérique du
nord, on veut chambarder l'ordre établ, peu importe par
quoi on va le remplacer. Dans ces conditons, il faut
se préparer à gérer le désordre, voir,le chaos comme
c'est le cas à la guerre.
La cause de ce chaos est simple : trop peu trop tard.
L'inertie des institutions en place s'oppose à des
changements et des adaptations radicales des sociétés
qui en ont besoin. Toutes les révolutions sont provoquées
par l'inertie des institutions en place, qui régressent
au lien d'avancer, comme ce que nous voyons au Canada
avec le retour les symboles monarchiques.
JRMS
11 octobre 2011
Lorsque c'en est rendu qu'il faille se faire exégète pour tenter de saisir la pensée d'une chef de parti qui se prétend « souverainiste », c'est que ça va mal. Les détours de sens ne sont-ils pas l'apanage des sophistes ? « Abolir le gouvernement fédéral » est tout sauf astucieux. Une formule-bidon qui pourrait trouver son équivalent chez l'imbécile qui, devant une amoureuse alanguie, lui lancerait : « je veux épouser ta main ». Du n'importe quoi.
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11 octobre 2011
M. Pomerleau,
Il n’est pas dit que, dans sa plateforme électorale, l’ON ne proposera pas une constitution québécoise qui représentera un geste de rupture et qui au moment opportun sera soumis au peuple afin qu’il choisisse laquelle des constitutions s’appliquera légitimement sur son territoire. Il n’est pas aussi interdit à l’ON qu’il adopte une série de lois et de mesures consacrants l’indépendance énergétique du Québec. La seule différence, c’est que le peuple saura à qui il a affaire. Le PQ a perdu sa crédibilité de façon lamentable. La confiance ne reviendra plus jamais.
Faire appliquer un programme de gouvernance dite souverainiste par un parti qui n’aura pas expliqué clairement ses intentions et son idéologie ne pourra éventuellement pas compter sur l’appui de la majorité du peuple au moment d’une confrontation critique avec Ottawa. Voilà, à mon avis, l’erreur stratégique fondamentale de la pensée magique du PQ. Le peuple souhaite que l’on joue franc-jeu avec lui et rejettera toutes propositions qui lui semblera alambiquées.
11 octobre 2011
Et où serions nous si le oui avait gagné en 1995?
Vous avez vite oublié que Lucien était un héros national.
Aurait-il dit non aux pétrolières s'il était à la tête d'un Québec souverain aujourd'hui?
11 octobre 2011
M. Pomerleau,
L’Oligarchie est puissante, contrôle les principaux leviers du pouvoir et s’est donnée une longueur d’avance dans la planification des évènements qu’elle maîtrise. Ce qu’elle possède, ce sont les politiciens et les médias. Une fois identifiés, il faut évaluer leur marge de marge de manœuvre, prévoir leur plan de match et s’y attaquer avec détermination et un maximum de cohésion. Malheureusement, nous savons que le PQ fera cavalier seul dans cette bataille. Il est vraisemblable que Mme Marois persiste dans ses agissements irresponsables de division des forces nationalistes. En conséquence, le peuple devra faire un choix difficile. Les indépendantistes devront donc se battre sur deux fronts à la fois : imposer l’idée de l’Indépendance comme seule alternative et batte Legault/Sirois.
Scénario possible :
• Le PLQ reste cantonné dans le ghetto anglophone.
• La CAQ et l’ADQ se partagent une minorité de fédéralistes francophones purs et durs et des nationalistes mous de droite qui votaient traditionnellement PQ.
• Le vote nationaliste s’éclatera entre le PQ qui aura perdu une part considérable de sa clientèle aux mains de l’ON et de QS. Le PI, s’il ne fusionne pas avec l’ON, continuera à être une formation marginale.
Les québécois cherchent une solution et les péquistes s’accrochent à l’idée que leur parti demeure le successeur naturel du trône royal en vertu de l’érosion du pouvoir. J’ai des petites nouvelles pour eux !
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