Les crimes de guerre de Charles Bouchard
7 novembre 2011
J'ai pris plaisir à vous lire Bernard depuis le conflit en Côte d'Ivoire. ET aujourd'hui je retrouve votre plume sur le cas de la Libye. Il n'y a donc pas place au desespoir dans ce monde englué du venin de la propagande des médias à pensée unique.
Lors du conflit en Côte d'ivoire, j'avais adressé un courriel à la journaliste de Radio Canada qui passait au journal les dépêches concernant ce conflit. Mon courriel est resté sans réponse (comme je l'avais prédit). alors j'ai eu la confirmation de mes soupçons.
Aujourd'hui, le même scénario se reproduit en Libye. Au rendez-vous, il y'a toute une horde de vampires, passant du batard à la cocue. Tout y passe.
Mais rassurez-vous, cela marque la fin d'une époque. La guerre froide jadis nourrissait le grand capital et les lobbies militaro-industriels et finaciers. La pseudo-chute de l'ex URSS les a aveuglé dès lors en leur faisant croire que tout était désormais acquis.
Aujourd'hui, ils cherchent en vain des candidats(des guerres) pour relancer leur fond de commerce. Malheureusement ceux qui peuvent leur faire la guerre leur rappelle aujourd'hui qu'ils ne peuvent pas prétendre provoquer des guerres en même temps se reclamer apôtre de démocratie et de paix. Voilà les contradictions dans lesquelle se trouvent aujourd'huimélés le grand capital et ses sbires.
La fin s'annonce. La chute dans ce cas est avec vitesse initiale. Ce qui augure une vitesse au choc proche de la célérité de la lumière. Face à cette ecatombe, le seul espoir réside entre les mains des peuples épris de justice et de paix(pas la paix telle que définie par le grand capital et les médias mainstream), mais la paix telle que le bas peuple la conçoit. Dans ce sens vous êtes un pionnier Bernard et votre oeuvre reçoit notre engagement total et sans limite