Une autre promesse du PQ balayée par arrière!
2 mars 2013
Les gens qui ont travaillé au salaire minimum ou presque ou encore dans des manufactures ou usines toute leur vie et qui atteingnent 40,50 ou 60 ans sont rejettés par le marché de l'emploi. Les employeurs engagent des jeunes pour travailler dans les magasins ou les restaurants.
Les gens sur l'aide sociale peuvent bien parfois avoir des problèmes d'alcool ou de drogues, comment vivre à jeun dans un enfer pareil.
Vous dites, à 604 $, une coupe de près de 20 %, difficile d'avoir un appartement 1 1/2 à Montréal chauffé et éclairé pour moins que $500/mois.
Reste donc, $104. pour acheter une passe d'autobus à $77 pour se chercher un emploi et manger pendant un mois. Aucun téléphone, pas de télé, pas d'internet.
Ces gens n'ont souvent pas le choix, lorsqu'ils ne se trouvent pas d'emploi, ils sont obligés de travailler pour le crime organisé ou comme esclave. Une dame d'environ 60 ans, avec qui j'ai discuté pendant une campagne électorale À Verdun, n'ayant rien à manger a accepté de travailler à $3 l'heure dans un restaurant quelques heures par semaine.
Pourquoi faire entrer de l'immigration massive au Québec, alors qu'il n'y a pas d'emploi pour eux ? Ils se retrouvent donc eux aussi sur l'aide sociale, et, ayant plus de gens sur l'aide sociale, ça en fait moins pour chacun.
C'est impossible que nos politiciens ne soient pas conscients de tout ça,ce qui me porte à croire que l'on cherche délibérement à briser les protections sociales des Québécois.Comme ils sont en train de le faire un peu partout dans le monde, même en Europe.
C'est les salaires des politiciens qu'il faudrait couper de 20%...