Les faux-semblants de Québec solidaire
10 mai 2013
Son nom est pas Fonticella, c'est Fontecilla.
Dans le dossier Le français Au cœur de la cible
L’Action nationale, Mars-Avril 2013
DÉPUTÉ DE PAPINEAU
Une directive du bureau du ministre Fantino pourrait avoir contrevenu à la Loi sur les langues officielles
10 mai 2013
Son nom est pas Fonticella, c'est Fontecilla.
10 mai 2013
Tout cela est politique..Les jeux olympiques partout dans le monde est une question d`argent et c`est pourquoi je me demande ou iraient les athletes québécois si ils avaient le choix.
10 mai 2013
C'est justement dans un dossier comme celui-là que le PQMarois devrait être fidèle à sa doctrine de gouvernance dite "souverainiste" en demandant aux fédérations de faire leur propre sélection avec tous leurs meilleurs athlètes sans tenir compte de celle du Canada.
Il serait intéressant de connaître les règles du jeu au niveau de l'organisation des Jeux de la francophonie.
Pierre Cloutier
10 mai 2013
Il y a des hasards plus étonnants que d'autres. Côte à côte en page A-7 du Devoir de ce matin (10-05-13), nous retrouvons un article traitant de la commission nationale des valeurs mobilières (Le patron de l'AMF en a assez de se faire dire que le Canada a besoin d'une autorité nationale) et un autre lié à l'Affaire des conventions de travail (La question agricole empêche la conclusion d'un accord).
Apparemment plusieurs organismes internationaux presseraient le Canada de se donner une commission nationale des valeurs mobilières au plus vite. Ca empeste Vapor à plein nez, ça. Connaissant le milieu, il est raisonnable de penser que c'est le Canada qui presse les organismes internationaux de presser le Canada de... Il y a un lien entre l'Affaire des conventions de travail et l'Affaire des valeurs mobilières.
Dans l'autre article, l'Europe se dit prête à accepter 40 000 tonnes de bœuf canadien. Elle voudrait bien en accepter un peu plus, mais il lui faut apparemment garder de la place pour le bœuf américain dans le cadre d'un accord éventuel avec les É.U. Mais, l'UE pourrait quand même faire un petit effort. Elle serait disposée à accepter un peu plus de bœuf canadien à la condition que le Canada accueille plus de produits laitiers européens. Faudra-t-il faire sauter le régime de gestion de l'offre? Pas nécessairement. On pourrait tout simplement hausser les quotas. À la limite, quelle est la différence?
On aura compris que le Québec se retrouve coincé entre les intérêts de l'Ouest canadien et ceux des É.U. Au strict point de vue économique, le Québec ne fait pas le poids. Heureusement, le fédéral ne peut faire de promesses dans les champs de compétence provinciale, empêché qu'il est par l'Affaire des conventions de travail. Mais, le loup rôde dans les parages, déguisé en juge de la Cour suprême.
Ces jours-ci, le Québec n'en a que pour le rapatriement. C'est bien beau, le rapatriement, mais le partage des compétences, c'est important, ça aussi. Il est parfois désoeuvrant de regarder aller le Québec.
À tout événement, il y a de ces vieilles chicanes qui sont plus actuelles que d'autres.
Louis Côté
10 mai 2013
Lorsque vous demandez à QS de mettre de côté temporairement son radicalisme, vous leur demander de virer à droite, tout simplement. Les souverainistes du PQ et d'Option Nationale ne comprennent pas que le trajectoire qu'a pris QS est définitivement tracé à gauche et qu'ils n'accepteront plus de virer à droite comme dans le passé dans le seul but de préserver l'unité des forces souverainistes. Tant aussi longtemps qu'ils ne prendront pas conscience de cela, le mouvement indépendantiste va continuer à se diviser, surtout si l'axe gauche/droite continu à se polariser.
Le PQ a tellement censuré la gauche au sein de la population depuis la dissolution du RIN que cette marmite sous pression ne pouvait qu'éclater un jour ou l'autre par un rejet du PQ.
10 mai 2013
Je suis d'accord avec vous.Le problème avec le P.Q.
c'est qu'il pense qu'il a le monopole de l'indépendance
du Québec.De plus qu'il est social démocrate.
À mon avis le premier principe sur lequel il devrait
réfléchir,c'est la démocratie.Il est peut-être plus démocratique que le parti libéral mais il a beaucoup de travail de réfléxion à faire pour rendre effective la souveraineté du peuple Québécois.
9 mai 2013
Monsieur Maronani,
Je tiens à vous remercier pour votre très involontaire contribution au point de vue que j’ai présenté dans mon texte sur les représentations mythiques du printemps érable !
Pour répondre à votre commentaire…, je déplore la confusion que vous induisez entre la situation d’une nation conquise et dominée comme celle du Québec, et d’autre part le contexte historique colonial de l’État-nation français du début du XXe siècle ! Cette confusion, observable chez nombre de représentants de la classe petite-bourgeoise qui ont eu l’impression de se “radicaliser” spontanément en 2012, est génératrice d’aberrations politiques que je déplore, et qu’un certain Lénine a bien décrites et analysées dans son texte “Le gauchisme, maladie infantile...”.
Le fait par ailleurs de confondre la situation française du début des années 1900, avec son potentiel révolutionnaire (un élan détourné ou réprimé par le fascisme), et d’autre part la présente situation sociopolitique de la France, cela ne témoigne pas d’un effort d’analyse conséquent, pour qui en appelle à la pensée des “grand auteurs”…!
Ajoutons qu’il ne faut pas laisser à la seule extrême droite la question nationale de la France, qui se pose actuellement dans le contexte de la globalisation (mondialisation néolibérale) sous la dictature du capital financier, un capital apatride et antinational … comme certains de ses supposés “ennemis”.
En admettant que je partage formellement avec vous certains idéaux du mouvement ouvrier libertaire, mon interprétation s’en distingue cependant radicalement !
Cordialement
Yves Claudé
9 mai 2013
Madame Andrée Ferretti,
Le temps et le format de mon texte, ainsi que de fâcheux travers d’écriture…, ne m’ont pas permis d’expliciter suffisamment les faits présentés dans mon intervention. Pour de plus amples explications, j’ai mis à la fin de mon texte des liens vers des articles dans lesquels je précise et développe ces éléments. Voir aussi mes diverses interventions antérieures sur Vigile.
Je tiens à vous remercier pour l’attention particulière que vous avez accordée à mes propos.
Bien à vous
Yves Claudé
9 mai 2013
J'ai lu votre texte avec beaucoup d'intérêt, Michel. Et je comprends très bien votre déception face à la grande injustice qui règne dans notre monde.
Mais il ne faut pas se décourager. De meilleurs jours approchent pour l'humanité.
Je vous écris ça après avoir relu pour la Xème fois, hier, les étonnantes et troublantes prophéties du pape Jean XXIII qui datent de 1935 et qui couvrent la période qui nous amène en 2033,date du Jugement dernier selon lui. Mais je vous rassure tout de suite à ce sujet. Il dit que ce sera un BON jugement. Donc, il ne faut pas avoir peur. Ça se terminera bien pour l'humanité puisqu'un nouveau monde débutera tout de suite après selon ses prophéties.
J'ai vraiment l'air d'un "preacher" en vous écrivant ça mais je ne le suis pas du tout. Ce n'est pas du tout mon genre.
Certaines des prophéties de Jean XXIII sont vraiment précises et plusieurs se sont déjà vérifiées. En tout cas, elles sont troublantes et font beaucoup réfléchir.
Les prophéties qui semblent concerner les temps actuels nous prédisent que "l'Europe aura du sang dans les rues" et que peu de temps après l'arrivée d'un nouveau pape qui se fera va-nu-pieds (François ?), une insurrection ou une guerre civile éclatera à Rome. Est-ce que cette prophétie aurait un rapport avec la crise de l'euro ? Peut-être !
Je trouve pour ma part que ces prophéties sont absolument fascinantes. Le pape Jean XXIII avait un don prophétique extraordinaire, semble-t-il.
Ne soyez pas trop déprimé, Michel. Il y aura des périodes difficiles bien entendu.Mais je suis convaincu, après la lecture de toutes ces prophéties, qu'il faut garder confiance en l'avenir.
9 mai 2013
Vous avez raison, il ne peut y avoir de condition à la Liberté. Comme dans liberté conditionnelle. C'est le concepte même du mot. Il ne peut vivre quand on le réduit.
Comme je l'écrivais ici même, s'il y a un cause qui vaut la peine qu'on la défende, c'est bien la liberté.
La liberté c'est la liberté individuelle et la liberté nationale. Je ne peux plus entendre quelque discours que ce soit qui place l'une contre l'autre, l'idée de l'autodétermination de la nation et la ligne gauche- droite. Ou entendre que gauche, droite c'est pas grave faisons l'indépendance de toutes les façons.
La gauche doit se transformer, j'en suis certain, quitter ses vieux habits et certaines fréquentations historiques douteuses. Mais nous devons aussi tous comprendre, qu'il ne saurait y avoir de lutte pour la liberté nationale sans qu'il y ait en même temps une lutte pour la liberté de chacun des citoyens de ce pays.
Un pays c'est pas juste une idée, c'est aussi tout le monde qui vit dedans.
J'ai hate qu'on pense à la souveraineté comme le moteur, le chemin évident, vers une plus grande justice sociale.
Qui voudrait d'un pays supposément libre avec un gouvernement d'extrème droite?
On se libère sur papier et on s'enferme dans les faits. Ben non ça ne se peut pas ! Commment parler de liberté quand un partie importante de la population est prisonière économique.
On ne peut plus séparer en miette la justice, la liberté.
Et de l'autre côté, qui peut croire à un vrai Québec en plein développement social, économique et culturel tout en restant dans la Fédération à la Harper. Qui peut croire à une chose pareil?
Comment dire qu'on va défendre la justice sociale et la liberté, mais que la liberté au plan nationale est secondaire. Ben voyons donc.
Il faut concevoir la liberté comme étant la cause première. Mais il serait bien difficile de parler de liberté dans un pays sans solidarité, sans justice sociale, sans égalité des chances et en sachant que ce sont des oligarques qui mennent le jeu au détriment de la population en générale.
ON et QS ont des munitions en masse pour se reprocher l'un l'autre leurs faiblesses. Mois c'est une fusion d'une partie des deux concepts qui me semble la plus belle des visions pour un véritable projet national. Vive la liberté, vive l'indépendance.
http://www.vigile.net/Pour-un-vEritable-projet-national
9 mai 2013
@ Jean,
La normalisation de la pauvreté des plus démunis ( de dire: "on n'y peut rien") est une forme de violence institutionnalisée.
Et le sort des plus démunis ne s'améliorera jamais au Québec, ni dans un an, ni dans dix ans, ni dans cent ans. Bien des pauvres le seront toute leur vie au Québec, occasionnant bien des vies brisées. On a déjà parmi eux un taux élevé de gens seuls et sans enfant. Et, comme je l'ai dit, si on s'en remet seulement aux humains, cela ne changera pas.
La seule carte cachée que je vois, ce sont les diverses prophéties de la Bible, et d'autres aussi, qui semblent viser notre époque.
Selon beaucoup de prophéties, l'humanité, un peu comme au temps de Noé dont j'ai parlé dans l'article, subira un châtiment divin à un moment donné, probablement sous la forme d'un cataclysme naturel.
Mais nos décideurs ne sont pas des naïfs comme moi, semble-t-il... ou ils n'ont pas la crainte de Dieu. Combien de fois entend-on dire dans les médias mainstream que les gouvernements ont des projets à compléter en 2020, 2025, 2050 etc...
9 mai 2013
J'ai participé, en famille proche et élargie, à toutes les manifestations tenues les 22 du mois, de mars à août. J'ai constaté chaque fois la différence entre les présences de QS, voyantes à souhait, et celles du PQ. plus discrètes mais aussi plus nombreuses. L'absence ou la présence du drapeau Québécois permettait d'identifier l'un et l'autre Parti.
C'est alors, d'une manifestation à l'autre que m'est apparu d'une évidence foudroyante le vrai visage de QS, un parti totalement dépourvu de conscience nationale, plus opportuniste que les plus vieux des vieux partis.
Votre propos, ici, est trop savant pour moi, mais mon instinct me dit qu'il est juste et me commande de l'appuyer.
Andrée Ferretti.
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