Ce qui n'est pas drôle dans l'humour de Sugar Sammy
13 mai 2013
On m'appellera diva ou vierge offensée, mais désolé je n'ai plus de tolérance - j'ai tout donné - pour ce genre de personnage et d'attitude, à l'heure d'exiger le RESPECT.
Dans le dossier Le français Au cœur de la cible
L’Action nationale, Mars-Avril 2013
DÉPUTÉ DE PAPINEAU
Une directive du bureau du ministre Fantino pourrait avoir contrevenu à la Loi sur les langues officielles
13 mai 2013
On m'appellera diva ou vierge offensée, mais désolé je n'ai plus de tolérance - j'ai tout donné - pour ce genre de personnage et d'attitude, à l'heure d'exiger le RESPECT.
13 mai 2013
“Il n'y a pas d'enfants stupides, il n'y a que des éducations imbéciles.
Forcer l'écolier à se hisser au sommet du panier contribue au progrès laborieux de la rage et de la ruse animale mais sûrement pas au développement d'une intelligence créatrice et humaine.
Dites-vous que nul n'est comparable ni réductible à qui que ce soit, à quoi que ce soit. Chacun possède ses qualités propres, il lui incombe seulement de les affiner pour le seul plaisir de se sentir en accord avec ce qui vit.
Que l'on cesse donc d'exclure du champ éducatif l'enfant qui s'intéresse plus aux rêves et aux hamsters qu'à l'histoire de l'Empire romain.
Pour qui refuse de se laisser programmer par les logiciels de la vente promotionnelle, tous les chemins mènent vers soi et à la création.”
“Ne permettez plus que les hommes politiques stigmatisent l'insupportable violence faite aux individus alors qu'ils la suscitent sciemment, dès l'enfance, vulgarisant, au nom de la rentabilité, un élevage concentrationnaire où, parqués de vingt-cinq à trente par classe, les écoliers se trouvent crétinisés par les principes de compétition et de concurrence, soumis aux lois de la prédation, initiés au fétichisme de l'argent, confits dans la peur de l'échec, infestés par l'arrivisme, livrés à des fonctionnaires amers et mal payés, moins enclins à nourrir la curiosité des jeunes générations qu'à se venger sur elle de leurs infortunes.”
Pour l'abolition de la société marchande pour une société vivante.
“C'est une œuvre de longue haleine que d'enseigner l'indépendance, de la soutenir par une affection dispensée sans réserve, d'ôter la peur de soi et de promouvoir en chacun cette créativité qui est la vraie richesse humaine.
La mutation de civilisation à laquelle nous assistons, a plongé dans le désarroi une multitude de gens si accoutumés d'être assistés, guidés, gouvernés, qu'ils ne conçoivent d'autre changement d'existence que le choix d'autres jougs.”
Rien n'est sacré, tout peut se dire, le système scolaire est à revoir, on donne la peur de ne pas savoir au lieu d'enseigner l'amour de la connaissance , en fait, il est très simple de comprendre que ce conditionnement n'a qu'un objectif, faire de vos enfants de bons et loyaux sujets ou moutons obéissant et ne remettant jamais en cause le système marchand dans lequel ils deviendront esclaves.
Et le meilleur levier pour en arriver là est la peur, de l'échec de pas savoir, obéissance dans une relation de soumission par la note, une relation de maitre a esclave dès le plus jeune âge feront que tout petit ils diront amen a tout ce que l’on implantera sans jamais remettre en cause le mode de pensée dominante, sous peine d'exclusion et de marginalisation. Obéir deviendra une seconde nature et à force d'obéir on obtient des réflexes de soumission ...
RAOUL VANEIGEM
13 mai 2013
Cher Simon. Moi aussi à vingt ans je trouvais ça stupide les frontières et j'étais moi aussi un citoyen du monde à temps plein. En vieillissant et prenant conscience de la fragilité de la vie, j'accorde beaucoup plus d'importance à ma pérennité, ma terre et mon héritage. Un peuple sans terre est forcer soi de parasiter une nation existante, soi de voler une terre qui appartient déja à quelqu'un. Notre vaste territoire est une richesse sans prix et maintenant je comprends l'utilité des frontières.
Le Québec que tu décris existe parce que certains avant nous se sont battus sans relâche pour la survivance des nôtres. Si tu crois que les parents de Sugar Sammy auraient envoyé leur flot à l'école française si ils n'y avaient pas été forcés par la loi 101, tu rêves éveillé là. La communauté dont il est issu n'est d'ailleurs pas très francophile. Les exceptions existent, mais l'âge m'a appris que justement il s'agit d'exceptions, donc rarissimes.
Nous sommes une nation sous occupation et tant que nous ne serons pas indépendants nous serons toujours en danger. Les pays d'Europe remettent tous en question depuis quelques années le multiculturalisme mur à mur. Si des civilisations millénaires craignent que leur tissu social se détériore, imagine ce que cette doctrine peut faire dans un territoire annexé par les armes et sous domination néo-coloniale.
Comprenons-nous bien. Est Québécois quiconque vient ici avec l'intention d'apporter sa contribution, de respirer, de manger et de dormir dans la québécitude, peu importe sa race. Mais compte tenu de la main mise de la minorité coloniale sur les vrais pouvoirs et sur le "vieil argent", compte tenu du surfinancement des institutions de santé et d'enseignement anglophone, des services gouvernementaux bilingues, de la concentration des médias et finalement de la volonté d'une oligarchie à tendre vers une gouvernance mondiale, nous ne pouvons pas nous payer le luxe de la naïveté.
Comme dans les polars, demande toi à qui profite le crime. Qui a intérêt à ce que nous diluions le tissu social jusqu'a en perdre notre gout? Qui à intérêt à attiser la compétition et les conflits entre des cultures parfois compatibles? Qui a intérêt à ce que l'on débatte et se divise sur des problèmes à l'évidence insolvables dans une société occupée?
Bref, tant que nous ne serons pas un peuple libre nous ne pourrons pas aborder ce problème comme les autres nations. Et puisque sortir du modèle unique nous expose à des représailles, il faudra du courage pour trouver nos propres solutions.
PS. Sur Sugar Sammy vous dites: "Ça fait du bien de rire un peu, l’autodérision ne fait rarement de mal !"
Ça fait 253 ans qu'on fait rire de nous par la même gang, j'pense que c'est assez là. Le seule fois où ils ont arrêté de rire c'est pendant deux heures un certain 30 octobre de 1995.
Le fait que nous ayons beaucoup d'humoristes d'ici fausses peut être notre réalité, mais le réel est là pour nous le rappeler chaque jour à CJAD Montréal, dans le Suburban et la Gâzette pis moi ça fait longtemps que ça me fait plus rire.
13 mai 2013
En Irlande, les Irlandais ont perdu leur langue, le gaélique, au profit de l'anglais, mais l'Irlande du Sud est aujourd'hui un État souverain. Faut croire que leur "culture" catholique a été plus forte que leur langue, Chez nous, ce sera plus difficile. J'espère de ne pas mourir trop triste.
Pierre Cloutier
13 mai 2013
"Non seulement le Parti québécois a-t-il mis en place des mesures plus à droite que ne le laissaient croire ses promesses électorales, mais le message transmis cette fin de semaine était carrément celui de François Legault, à savoir qu’il faut « faire le ménage avant de penser à la souveraineté ». C’est exactement la base sur laquelle le chef de la CAQ-ADQ a fait un retour en politique active après avoir démissionné, pourtant en début de mandat, en 2009." Jean-Martin Aussant
http://blogues.journaldemontreal.com/jeanmartinaussant/politique/avec-quels-outils-le-menage-madame-marois/
13 mai 2013
Montréal, lundi 13 mai 2013 —Le chef d’Option nationale, M. Jean-Martin Aussant, et la présidente du parti, Mme Nathaly Dufour, ont réagi aux propos de Pauline Marois qui demande à Option nationale de se saborder pour intégrer le Parti québécois.
« Option nationale n’a pas vu le jour pour nuire à un autre parti mais plutôt pour porter une cause, la souveraineté du Québec, qui n’était plus mise de l’avant par ceux qui devaient le faire. Pour le bien de cette cause, nous serons toujours prêts à collaborer avec d’autres souverainistes, mais il n’est pas question pour Option nationale de se saborder. En quoi est-ce que ça aiderait la cause de saborder le seul parti qui fait de la souveraineté sa raison d’être? », a questionné Jean-Martin Aussant.
La présidente d’Option nationale a pour sa part relativisé le rappel historique de Pauline Marois, qui prenait le RIN de Pierre Bourgault en exemple. « Nous ne pensons pas que Pierre Bourgault aurait sabordé le RIN pour se joindre à un parti aussi hésitant que le PQ actuel sur la question de l’indépendance. À l’époque, René Lévesque et son équipe tenaient bien haut l’argumentaire et ils inspiraient en parlant de la cause. Et sur le strict plan historique, on pourra rappeler à Madame Marois que c’est le plus vieux véhicule, le RIN, qui s’était joint à un nouveau véhicule. Le PQ est donc le bienvenu s’il veut se saborder et se joindre à Option nationale », a mentionné Nathaly Dufour, qui était candidate d’ON dans Lévis aux dernières élections.
Le chef d’Option nationale persiste à croire qu’un parti souverainiste doit faire de cette cause le thème principal de sa campagne électorale. « Option nationale est le seul parti à avoir le courage de parler clairement d’indépendance en campagne électorale. Si les leaders du PQ ne croient pas pouvoir gagner en parlant de souveraineté, qu’ils n’en veuillent pas à d’autres de vouloir le faire. L’électorat mérite ce courage de la part de ses politiciens », a conclu Jean-Martin Aussant.
13 mai 2013
Si les gens de Québec, au lieu de s'attacher à des bébelles, avaient l'intelligence minimale de faire de leur ville une vraie capitale nationale d'un vrai pays, cela aurait pour effet de mettre cette ville sur la carte du monde, de l'ouvrir à tous les peuples et nations de la planète et de faire rayonner le Québec dans le monde, tout en ayant des équipes nationales dans toutes les disciplines sportives. Mais non, ils votent pour la CAQ! C'est est décourageant.
On peut toujours se prémunir contre la violence, mais contre la bêtise on est toujours désarmés.
Pierre Cloutier
13 mai 2013
On serait bien mieux de laisser partir Pauline Marois. Je la verrais très bien comme agente d'immeubles dans le comté de Charlevoix. Car, entre moi et vous et la poignée de porte, sa performance à la tête du PQ n'est pas très appréciée de la population.
Mais contre qui l'échanger? That is the question.
Pierre Cloutier
13 mai 2013
Je dis 2 choses simples et faciles à comprendre :
1 - Pauline Marois n'est pas la leader qu'il faut pour mener le peuple québécois à son indépendance politique. Elle n'a pas le charisme suffisant pour le faire et de toute façon elle n'en n'a pas l'intention.
2 - La gouvernance provinciale déguisée en gouvernance dite "souverainiste" - un euphémisme s'il en est un, nous mêne directement dans un cul-de-sac. Non seulement cela ne fait pas avancer la cause indépendantiste d'un seul pouce - au contraire on a l'impression de régresser - mais cela lui fait du tort car la gouvernance de la province mécontente une partie de la population pour diverses raisons en plus d'être un facteur important de démobilisation.
Quant au chef charismatique, je ne suis pas un fan du gouvernement représentatif qui conduit à un déficit démocratique important causant un cynisme et un désabusement dans la population - interrogez les gens autour de vous - mais, à moins d'une révolution armée - ce que je doute - nous sommes pris dans ce système et nous n'avons pas le choix, en étant obligé de s'en remettre à des élus.
D'autre part, il est de plus en plus clair dans ma tête que l'indépendance est plus susceptible de faire se faire à droite plutôt qu'à gauche. Je ne dis pas cela de gaieté de coeur - car je suis plutôt un homme de gauche - mais force est de constater que les québécois sont beaucoup plus porter à admirer les "hommes d'affaires" que les syndicalistes ou les environnementalistes. C'est pour cela que j'ai donné l'exemple de Pierre-Karl Péladeau plutôt que celui de Thérèse David ou une autre du même acabit.
Pierre Cloutier
13 mai 2013
Si vous êtes si brillant, vous aurez remarqué que le PQ fait exactement comme la CAQ. Et oui, le grand ménage nécessaire avant la souverainté, c'est pour ça que François Legault est revenu, faire le ménage. C'est la CAQ le rival du PQ Marois. ON ne lâchera pas. Les plus jeunes vont le faire le pays, ds 10, 15 ans. Tenez le coup.
13 mai 2013
simon, sans majuscule comme dans labrie,
hèye oui ce bon Sammy que la presse aux ordres (Gesca de mon'onc Paul) nous vend ce matin, 13 mai, comme:
" L'enfant chéri du Québec" ( Le Nouvelliste).
Eh ben, qu'elle a été sa dernière phrase à notre chéri bien à nous lors de ses remerciements?
" I have only one thing to say to you guys, it's time to take over".
Qu'est-ce qu'il pouvait bien vouloir dire?
Non que je ne parle ni ne compremnne les mots qu'il a utilisés, mais bien à qui s'adressait-il et quel était son message, lui qui a remercié 2 fois Evenko de la famille Molson brasseurs de la Canadian et qui, nous le savons tous sont plus qu'ouverts sur le monde. Même Jeff parle quasiment français des fois, pour nous faire plaisir.
Sacrament, simon, être ouvert sur le monde ça n'est, jamais, jamais abdiquer qui l'on est. C'est aussi et surtout demander à ce que l'autre nous rende le respect que nous lui portons.
Le respect c'est pas un "one-way" vois-tu!
Et quand un quid, accueilli chez-moi, me turlupine, je ne le fréquente plus. Té pas capab de m'respecter, ben... moé non plus.
André Lemay
12 mai 2013
Quel panier de crabes :(
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!