BALL C. MANN

Les ours polaires vont bien, Mlle Thunberg

La supercherie climatique, une vérité qui dérange

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Tribune libre

Les thèses du célèbre documentaire sur le réchauffement climatique, Une vérité qui dérange, sont l’invention d’un scientifique véreux nommé, Michael Mann, un climatologue de renommée internationale (1).


Son graphique en forme de bâton de hockey publié pour la première fois en 1998 dans la revue scientifique, Nature (2), était la vedette du rapport sur le climat de l’ONU (2001) qui s’est traduit par une levée de boucliers d’une ampleur sans précédent (3).


Cette courbe falsifiée par le Dr Mann et ses collègues montrait que le climat était monté en flèche après plus de 500 ans de stabilité, et que cette hausse de température aussi soudaine qu’inédite était due à l’activité humaine, notamment à la production de CO2, cette molécule « climatocide » que la jeune militante écologique de 16 ans, Greta Thunberg, prétend voir à l’œil nu (4).


Or, depuis que Mlle Greta a vu, de ses yeux vus, le CO2 dramatiquement illustré par la courbe de Mann, elle est convaincue comme bien des gens que la crise climatique est une crise mondiale, la plus grande crise jamais affrontée par l’humanité. « Nous ne pourrons pas sauver la terre sans nous unir  », déclare la Jeanne d’Arc de l’ONU à son arrivé à New York, dans un voilier de milliardaire, pour la conférence sur le changement climatique (2019). « Écoutez la science, M. Trump, supplie la chou chou des antifas, mais il ne le fait évidemment pas. Personne n’a réussi à le convaincre que la crise climatique est réelle et que la situation est urgente, alors pourquoi y arriverais-je ? » déplore l’égérie du catastrophisme climatique (5).


Vous avez raison, Mlle, vous n’arriverez pas à convaincre Donald Trump. Savez-vous pourquoi ? Parce qu’un adulte comme Trump ne prend pas au mot ce que peut bien dire une gamine de votre genre qui passe son temps à foxer l’école. Et parce que la science, la vraie, celle qui n’est pas frelatée par les oligarques et les idéologues qui vous mènent par le bout du nez, n’est pas de votre côté (6). C’est dérangeant pour vous et tous les enfants et leurs parents qui vous suivent aveuglément, car c’est contraire aux idées fausses que les médias de masse et l’école vous ont inculquées depuis vingt ans, mais c’est ainsi, Mlle, vous n’y pouvez rien, la science, la vraie, ne transige pas avec la réalité.


De fait, en 2003, une étude canadienne a montré, sans équivoque, que la courbe en forme de bâton de hockey devenue l’icône des écologistes du monde entier est principalement un artéfact dû à une mauvaise gestion des données, des données obsolètes et un calcul incorrect des principaux éléments (7). « Lorsqu’on a corrigé les données, précise le climatosceptique, John O’Sullivan, la courbe a montré qu’il y avait eu un réchauffement au 15esiècle plus important que celui du 20esiècle » (8).


Entre le 10eet le 14esiècle, en plein Moyen Âge, la température moyenne de l’Europe est en effet montée jusqu’à 10C au-dessus de la moyenne des températures enregistrées au 20esiècle, soit plus de 9oC plus élevés que les hausses les plus récentes d’environ 1o C. Cette hausse de température a été suivie d’une mini période glaciaire qui a duré jusqu’au début du 20esiècle. Depuis ce temps, la température se réchauffe tranquillement, c’est normal après une période de froid, mais il n’y a pas eu de montée en flèche fracassante de la température, et n’ayez crainte, Mlle Thunberg, les ours polaires sont en pleine forme (9).


En d’autres mots, la courbe de la température climatique des dix siècles passés ne ressemble pas du tout à un bâton de hockey, mais à une montagne russe. Ça monte, ça descend. Ça passe de la chaleur torride au froid polaire. Et nous tous, pauvres petits humains insignifiants que nous sommes, n’avons rien à voir là-dedans.


Pour ne pas nuire à leurs intérêts, Michael Mann et son équipe de pseudo scientifiques du Groupe d’experts intergouvernementaux sur l’évolution du climat (GIEC-ONU) ont tout simplement effacé de leurs travaux cette vérité dérangeante. C’est le Dr Tim Ball, un climatosceptique canadien qui a découvert le pot aux roses. Ce chevalier sans peur et sans reproche, tout droit sorti d’une gravure d’Albrecht Dürer, mérite tous les honneurs, car le procès pour diffamation que lui a intenté Michael Mann était loin d’être gagné (10).


Mann, cet escroc de la pire espèce était en effet moralement soutenu par une ribambelle de climatologues aussi pourris que lui ; il était également soutenu financièrement non seulement par l’ONU, mais par la Fondation Suzuki, une organisation elle-même financée par des grandes corporations et des fondations comme la Fondation Rockefeller (11), membre influent de la société Fabienne (cette société dont l’objectif est d’instaurer subrepticement le socialisme planétaire (12) compte parmi ces membres, les Rockefeller, Barack Obama, les Clinton, Tony Blair, François Hollande, Jeremy Corbyn, Ehud Barak et Gerhard Schröder) (13).


David Rockefeller, par exemple, ne cachait d’ailleurs pas sa volonté d’unifier la terre en un seul pays et de réaliser la gouvernance mondiale : « Certains pensent même que nous [la famille Rockefeller] faisons partie d’une cabale secrète qui travaille contre les intérêts supérieurs des États-Unis ; que nous serions des internationalistes conspirant avec d’autres autour de la planète afin de construire une structure politique et économique plus intégrée – un seul monde, si vous voulez. Si c’est de cela qu’on m’accuse, je suis coupable, et j’en suis fier. (14) »


Comme le dit David Ruse, l’auteur de Fake Science, « l’arnaque du réchauffement climatique favorise la réalisation de ce qu’on appelle la gouvernance mondiale, un réseau d’institutions encadrées par des bureaucrates de l’ONU à New York et à Genève devant qui les États souverains doivent se présenter et rendre des comptes sur une base régulière. L’idée est de céder sa souveraineté, petit à petit, à des organisations que les Américains moyens ne peuvent voir, et encore moins contacter (15) ».


En résumé, Mlle Thunberg, l’ennemi commun contre lequel nous devons nous unir n’est ni le changement climatique ni le CO2, mais une petite clique de malades mentaux déterminée à réaliser leur projet diabolique, sans nous consulter… que ça nous plaise ou non ! Dans cette supercherie climatique, c’est sans aucun doute la vérité la plus dérangeante.


 


RÉFÉRENCES


1. John O’Sullivan (23 août 2019). Climate fraud justice: Dr Tim Ball defeats Michael Mann’s climate lawsuit. Signs of the Times, [en ligne].


2. Michael E. Mann, Raymond S. Bradley & Malcolm K. Hughes (avril 1998). Global-scale temperature patterns and climate forcing over the past six centuries. Nature, vol. 392, p. 779-787.


3. Bilan 2001 des changements climatiques. Rapport de synthèse. Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Organisation des Nations Unis. 


4. Benoît Rayski (25 juin 2019). Le crétinisme pollue aussi. Mieux que Jeanne d'Arc : Greta Thunberg voit le CO² à l'œil nu !Atlantico. [En ligne]


5. New York : Écoutez la science M. Trump.France 24 Français. [En ligne].


6. Ferdinand Bardamu (September 17, 2019). Global Warming and the Leftist War on Western Industrial Society, Parts I and II. The Occidental Observer. [En ligne]


7. Stephen McIntyre et Ross McKitrick (2003). Corrections to the mann et. al. (1998) proxy data base and northern hemispheric average temperature series.Energy & Environment, vol. 14, no6.


8. John O’Sullivan. Article cité.


9. Tim Ball, phd (2014). The deliberate corruption of climate science.Stairway Press.


10. John O’Sullivan. Article cité.


11. Vivian Krause (april 19, 2012). Suzuki’s funding. Financial Post. [En ligne].


12. John Green (2015). La société Fabienne. L’instauration d’un nouvel ordre internationale chez Béatrice et Sydney Webb. Éditions Saint-Rémi, p. 110.


13. Dennis L. Cuddy, phd (2008). The Road to Socialism and the New World Order. Cuddy.


14. Dennis L. Cuddy. Ouvrage cité, citation en exergue.


15.  David Ruse (2017). Fake Science. Exposing the Left’s skewed statistics, fuzzy facts, and doggy data. Regnery Publishing, P. 194.



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