La violente correction subie par le premier ministre Charest serait un crime d’honneur

Rions un peu



La violente correction qu’a subie le premier ministre Charest à la sortie de son domicile de Westmount hier serait un « crime d’honneur », selon le Service de police de la Ville de Montréal. Bien que le ou les agresseurs n’aient pas encore été appréhendés, tout porte à croire que monsieur Charest aurait été victime de représailles de la part de membres de sa communauté, pour son comportement jugé ignoble et impur. Rappelons que le premier ministre a été roué de coups et kické dans les chnolles tard hier soir.
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