L'imam Hassan Guillet veut se lancer en politique fédérale sous la bannière libérale

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La folie multiculturaliste canadienne à son meilleur

L’iman Hassan Guillet, qui s’était fait remarquer au début de l’an dernier lors de la cérémonie organisée en hommage aux victimes de la tuerie de la Grande Mosquée de Québec, a l’intention de se lancer en politique.


Radio-Canada a rapporté samedi que M. Guillet souhaite être candidat à l’investiture libérale lors d’une élection complémentaire à venir dans la circonscription fédérale de Saint-Léonard–Saint-Michel, à Montréal.


L’actuel député de Saint-Léonard-Saint-Michel, le libéral Nicola Di Iorio, a annoncé sa démission en avril dernier. Il n’a pas précisé la date de son départ, mais une élection complémentaire devra avoir lieu afin de combler son siège lorsqu’il sera vacant.


Dans un discours, à Québec, après la tuerie de la Grande Mosquée, l’imam Guillet avait notamment affirmé que «l’ennemi, ce n’est pas Alexandre Bissonnette. L’ennemi, c’est l’ignorance». Il avait aussi demandé que la communauté musulmane «montre aux Québécois c’est quoi l’islam, c’est quoi les vraies valeurs de l’islam».


Hassan Guillet, imam à Saint-Jean-sur-Richelieu, en Montérégie, avait aussi fait parler de lui lorsqu’il a pris publiquement position pour défendre le droit de la communauté musulmane de Québec d’obtenir un cimetière.