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->rub663]Sur facebook, Valérie... m'a posé cette question:
Pourquoi l'abandon du moteur roue de l’Hydro-Québec?
Valérie, c’est une très bonne question.
Quelques personnes seulement connaissent la vrai réponse, ce n’est pas mon cas, mais je vais te donner ma version déduite de l’analyse tirée de mes graphiques. Cette analyse va nous mettre dans le contexte et nous permettre tout les deux de déduire des choses probablement très près de la vérité, à toi de juger. Pour les graphique, voir, http://vigile.net/Vivre-libre-ou-disparaitre
Voici donc le préambule qui va entraîner mon analyse suivit de ma conclusion.
Pour te mettre dans le contexte de ma réponse je dois te donner un petit cours d’histoire rapide et facile à comprendre.
L’empire Britannique a libéré la plupart de ses colonies, l’Inde et plusieurs autres pays en font parti.
Le référendum de 1980 fut perdu par 59% de non. Si le résultat avait été l’inverse, 59 % de oui, l’Angleterre n’aurait pas eu besoin de l’accord du Canada pour libérer le Québec de ses chaînes et Québec serait un pays depuis ce temps. Peu de Québécois, encore aujourd’hui, sont conscient de cela. Pierre-Elliott Trudeau y a vu immédiatement l’effondrement de son gouvernement devant les revendications du Québec advenant un autre oui gagnant celui-la. Sa domination sur nous lui aurait échappé.
Trudeau s’est donc donné le mandat de briser à tout prix ce lien avec l’Angleterre. Il organisa, sans notre accord, le rapatriement de la constitution unilatéralement, ce qui fut fait en 1982.
Comme ce rapatriement fut unilatéral, le Canada craignait l’intervention de l’Angleterre après un référendum québécois gagnant en 1995. C’est pourquoi Trudeau avait délégué Daniel Gagnier, un autre président de l’Alcan, à Londre, en Angleterre la veille du référendum pour intercéder auprès du gouvernement Britannique en cas d’intervention Canadienne au Québec. M. Gagnier était devenu, jusqu’à tout récemment, le chef de cabinet de Jean Charest et les négociations cachés sur l’achat d’Énergie Nouveau-Brunswick furent, je crois, sous son mandat. Cet achat transfert au Québécois la responsabilité d’une autre centrale nucléaire dont on n’a nul besoin. Il y a la une continuation de la pensée Canadienne à notre égard, on exporte d’abord l’économie, on s’occupera d’exproprier le peuple après, réf. http://www.ameriquebec.net/actualites/2010/03/06/comment-remplacer-une-democratie-par-une-autre-3090.qc
Pour aider à comprendre, souvient toi du graphique no. 2 de mon texte, vivre libre et disparaître, l’Angleterre serait représenté en ajoutant un troisième échelon de trois élites à l’extérieur des deux premiers cercles.
On aura donc un graphique comme suit, le cercle du centre, le plus petit, étant le territoire Québécois, le second, celui du Canada et le troisième l’expression de la propriété Britannique sur l’ensemble Canada-Québec.
Si ce contexte avait été expliqué au Québécois en 1980 et en 1995, les résultats auraient pu être très différents.
Les phénomènes du rapatriement unilatéral de la constitution de 1982, du Lac Meech, de la nuit des longs couteaux sous René Lévesque, et de notre expropriation par le traité de l’approche commune sont la suite de l’application de cette pensée canadienne envers nous les Québécois.
Comme on l’a vu, le Canada se donne les moyens de décider ce qu’il veut du Québec. Par sa constitution rapatriée, il s’est donné tous les outils pour asservir le Québec, il lui restait l’Hydro-Québec et la Caisse de dépôt, ce sera réglé bientôt.
Le Canada peut unilatéralement réserver des activités à une province plutôt qu’une autre et favoriser un groupe linguistique plutôt qu’un autre. Un pays, c’est d’abord une culture et la notre, c’est son pire ennemi.
L’automobile, vous le savez est une chasse gardée de l’Ontario. Les milliers d’emplois à hauts salaires de ce secteurs y sont concentrés.
Les tentatives d’implantations d’usines de fabrication chez nous ont toutes échouées, Hyunday de Bromont et l’usine GM de Ste-Thérèse sont fermés, il a fallu des efforts d’interventions massifs de Québec et des concessions énormes pour conserver la seule usine de camion au Québec, Paccar de Sainte-Thérèse.
Revenons maintenant au moteur roue :
C'est M. Pierre Couture, un chercheur qui était en charge de ce projet pour une filiale de l'Hydro-Québec appelée TM4.
Lors d'une entrevue le 21 septembre 2006 à l'émission de Maisonneuve à l'écoute, M. Claude Dumas, président de TM4 fut évasif, laissant ainsi transparaître une intervention extérieur en faveur de l’abandon du projet. Réf. http://www.radio-canada.ca/radio/maisonneuve/21092006/77899.shtml.
La construction de moteur roue au Québec représentait pour le Canada l’opportunité pour le Québec de devenir un « moteur » économique important dans l’avenir de l’industrie de l’automobile au Canada, pouvant éventuellement mettre en danger l’avenir de l’industrie automobile conventionnelle concentrée en Ontario.
Cela peut expliquer également pourquoi la construction et l’exploitation des éoliennes ont été confiés à des entreprises indépendantes de l’Hydro-Québec et en grande partie Ontariennes.
C’est une stratégie de réduction systématique de favoriser l’usage de nos cerveaux. Comme dans le sport d’ailleurs.
Depuis l’arrivé de M. Charest, il y a une importante réduction des subventions à la culture et à la recherche au Québec, voir, http://www.ameriquebec.net/actualites/2008/09/21-les-coupures-dans-les-subventions-ne-se-limitent-pas-aux-artistes.qc
Le Canada, je vous en ai fait la démonstration dans mon préambule, a la capacité d’interférer dans tous les secteurs d’activités du Québec afin d’y retirer pour lui les avantages ou pour empêcher de mettre en danger sa domination sur les activités économiques exploité par sa majorité, c’est une continuation démontrée dans le livre de Normand Lester sur l’attitude de ce pays envers nous.
Je vous rappelle que dans les années 60 sous René Lévesque, l’Hydro-Québec a dû emprunter les premiers milliards à NewYork pour construire la Manic. Le Canada avait systématiquement refusé de financer nos projets et aujourd’hui il est en train de s’en emparer en nous obligeant à transférer une partie de nos actifs vers le Nouveau-Brunswick. De cette façon, advenant un nouveau projet de référendum, le Canada pourra déclarer l’énergie électrique du Québec comme étant un bien Canadien et non plus Québécois afin de contrer tout projet du genre. Il se donnera ainsi le prétexte et le droit d’intervenir militairement, c’est ce que l’on appelle de la stratégie militaire.
Le moteur roue entrait en conflit avec les objectifs Canadiens reliés à l’industrie de l’automobile canadienne.
Je pense qu’on vient de faire la démonstration que le Canada est infiltré dans nos organisations d’état et qu’il peut en influencer les projets. Des projets avec Charest il n’y en a beaucoup pour les étrangers et très peu pour nos travailleurs.
C’est un long détour, mais je crois qu’on y est.
Notes :
1. Ta question et ma réponse seront introduits dans un nouvel article que tu pourras retrouver entre autre sur http://www.saglacweb.blogspot.com, http://www.ameriquebec.net, et http://www.vigile.net, etc.
2. Si tes amis devaient lire un seul livre cette année, j'aimerais que ce soit le tome 1, Le livre noir du Canada anglais, de Normand Lester, à peine 300 pages, ça se lit comme un roman à histoires vrais et multiples, extrêmement bien documenté, tu peux ouvrir le bouquin n'importe où, et, à quelques pages près, tu es dans le bain et accroché. Pas besoin de t'inviter à lire les autres tomes, tu en sentiras le besoin par toi-même. La plupart des bibliothèques ont ces 3 tomes. La situation du Québec d’aujourd’hui est la suite de ces événements
En espérant que tu auras trouvé ma réponse satisfaisante,
Jean-Pierre Plourde.
Histoires autour du moteur-roue de l'Hydro-Québec
Pourquoi l'abandon du moteur roue de l’Hydro-Québec?
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2 commentaires
Jean-Pierre Plourde Répondre
19 mars 2010Bonjour Mme Isabelle Poulin;
Vous avez raison, je vous explique les raisons du pourquoi il n'y a plus personne de crédible à la barre de notre culture un peu plus bas. On vit dans le mensonge, on est jaloux de l'autre, on regarde tomber les emplois autour de nous et on en tire presque du plaisir.
Pour se prendre en main, il faut une ligne directrice, une fierté commune.
On l'a cette fierté mais le marketing fédéral massif la font s'effriter rapidement.
Aux jeux Olympiques, avez vous compter les drapeaux rouges dans la foule? Une telle abondance ne peut-être que planifiée, j'en donne pour preuve la réception organisée des médaillés Québécois à leur descente d'avion.
La famille et les amis étaient encadrés d'autres "amis" payés ceux-là, portant plein de drapeaux à l'intention des médias, il y même eu un bozo qui a même eu l'audace de venir recouvrir l'athlète d'un très grand drapeau feuille d'érable, on a pas vu l'ombre d'un drapeau du Québec.
Les proportions que je vais citer ici ne sont basées sur aucune recherche de ma part. Elles sont une pure évaluation de ma part.
Beaucoup de Québécois, je dirais 40%, des adultes Québécois ont décrochés et plusieurs me prennent pour un capoté, un radical. Ce 40% est prêt à tendre l'autre joue et à se pencher pour mieux recevoir le prochain coup de pied au (C). Ils ne croient plus à la démocratie, ils savent d'instinct que ce qui va suivre est majeur pour notre survie comme peuple.
Un autre 40% ne sait même pas qu'il se passe quelque chose, ils s'en foutent carrément. Ils n'ont aucune idée de quoi vous et moi parlons. La plupart de ceux-là ne s'informent pas. Vive le sport de salon, la vie est belle.
Le 20 % qui reste, ce sont des gens comme vous et moi, la plupart savent qu'il se passe des choses graves présentement, mais ils n'ont aucun moyen d'apprendre la vérité, les médias sont censurés, les commentaires contre le gouvernement et le fédéral sont filtrés, voir mon enquête, Le contrôle de l'information, sur saglacweb.com.
Hier, j'ai envoyé un commentaire à un correspondant, en voici un extrait:
... On nous a tendu un piège et on tombe dedans.
L'art du BDSM c'est amener un partenaire tout doucement à désirer et vouloir la domination et la soumission, prendre plaisir à ne jamais avoir besoin de décider quoi que ce soit. On préfère laisser la maitresse canadienne décider à notre place, c'est tellement plus facile.
Ce pays nous rabaisse au point où on accepte de signer un chèque en blanc à notre maitresse fédérale et à se dépouiller pour elle jusqu'à la disparition de tous nos territoires et actifs. Notre culture et notre âme vont y passer.
Ces techniques tirent leur origine du BDSM, utilisés dans les jeux de couple et pouvant conduire très souvent le soumis vers le masochisme, soit, tirer du plaisir à se faire du mal, voir, http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/01/26-etude-du-comportement-des-quebecois-face-a-leur-avenir.qc
Chez un peuple, certains individus en arrive à croire qu'en allant pas voter on fait mal à quelqu'un d'autre.
Dans un couple, l'un prend le rôle de Maître ou Maitresse, et l'autre du soumis. Le soumis peut-être amené doucement et subtilement à renoncer à décider quoi que ce soit pour lui-même et à se soumettre à une foule de privation, même à celles que vous pensez.
Savoir que quelqu'un s'occupe toujours de nous a quelque chose de rassurant, on se paie plein de services pour assouvir ce besoin sans s'occuper comment c'est géré et par qui. Les hôpitaux, l'assurance médicaments, chômage et bien d'autres ont été créés pour tenter de répondre à ce besoin.
Dans un couple, en cas de séparation, c'est la dépression assurée pour le soumis, souvent cela s'accompagne d'un suicide ou le meurtre par vengeance suivit du suicide. Les journaux rapportent des cas semblables périodiquement. La plupart des assassins collectifs ont subit ce genre de lavage de cerveau, comme les pilotes du World Trade Center, invasions de Poly-Technique ou de l'Assemblée Nationnale, la liste est longue.
Tout comme on peut le faire avec un individu, on peut doucement amener un peuple à s'abandonner, les demi-vérités, deviennent éventuellement de gros mensonges au fur et à mesure que le dominé accepte son rôle, ex. promettre 1 milliard de réductions d'impôts par année pendant cinq ans pour se faire élire, ou, faire accroire qu'une perte de 50 milliards dans des investissements malsains est strictement dû à la crise économique. C'est très gros comme mensonge, si gros que le 20% des lucides, pas ceux de Lucien, les vrais, demandent une commission d'enquête. Le fait qu'elle soit refusée en dit beaucoup, on a fait des commissions d'enquêtes pour quelques dizaines ou centaines de millions, comme lors du saccage à la Baie de James, alors, imaginer refuser une commission d'enquête sur une perte de 50 milliards, ça sort de l'entendement.
Le Canada applique cette technique sur tout un peuple, Nous, depuis de très nombreuses années, le contrôle des médias et de l'éducation de nos jeunes s'est beaucoup amplifié depuis 1995. Au point ou beaucoup de journalistes n'osent pas dépasser certaines limites de peur de perdre leur emploi.
Ces techniques sont également appliquées dans l'autre sens afin de mousser la fierté des autres Canadiens, les techniques vont tendre à gonfler les citoyens d'orgueil, les médias de toutes sorte y participent gaiement chez eux et à reculons chez nous, une culture de racisme se développe et s'amplifie, c'est planifié et voulu.
Un confrontation majeure est à prévoir.
Pour y changer quelque chose, il nous faut trouver le moyen d'informer et de gagner des adeptes afin de créer une force d'action physique représentative capable de générer un mouvement populaire. L'action sera alors possible.
Par l'augmentation des investissement à l'étranger au lieu de chez nous, le gouvernement Charest va nous retirer une par une nos sources de revenues autres que les impôts des citoyens. Les redevances annuelles que donne l'Hydro dans les coffres du Gouvernement du Québec env. 600 à 700 millions par année, les revenus de placement de la caisse de dépôt également très importants sont de ceux-là.
Ces milliards participent à la réduction de la charge d'impôts que les citoyens n'ont pas à payer. Lorsqu'ils seront perdus les pertes de revenus devront être compensées par d'autres impôts à payer par les citoyens.
Les revenus de ces bras de levier contribuent à hausser le niveau de vie de l'ensemble des citoyens, ils aident à maintenir un taux de taxation à un niveau raisonnable.
Les dépenses du Québec ne vont pas descendre ni cesser d'augmenter par ce que les revenus de ces bras de levier ne sont plus là.
PS. Les revenus générés par une entreprise d'état comme l'Hydro, on appelle cela un bras de levier économique.
Au départ de Jean Charest, l'Hydro-Québec sera hypothéquée et prise avec des contrats déficitaires, ses surplus de caisses seront disparus au profit du gaspillage au Nouveau-Brunswick, de ventes d'électricité aux américains à un prix inférieur au coût de production, etc. C'est donc dire que des dépenses additionnelles vont s'ajouter au manque à gagner et le déficit va grossir de façon exponentiel.
Cette mauvaise gestion va nous conduire tous au bord du gouffre financier. Une implosion sociale générée volontairement par des décisions économiques intentionnellement mauvaises dans le but de détruire notre culture et nous forcer à l'assimilation.
On se doit de regagner tous ensemble la fierté de ce que l'on est et de ce que l'on a.
Ne nous laissons pas dépouiller de notre majorité, de notre langue, de nos territoires, de nos ressources, de l'éducation de nos enfants, de notre histoire et de bien d'autres choses encore.
Le but de tout cela est de nous amener collectivement au seuil de la dépression au point de nous inciter à vendre le reste de nos actifs qui n'auront pas encore été liquidés. Tu pourras trouver des preuves de tout cela dans mes textes, saglacweb.com ou saglacweb.blogspot.com.
J'ai beau le crier à tout le monde en achetant des pages complètes de journaux, les gens sont désabusées ...
... Pour que le Québec ait un avenir, les jeunes doivent s'en mêler. Montrez votre fierté au grand jour.
En 2004, J'ai écrit à M. Charest l'avisant qu'il nous trouverais sur son chemin s'il ne reculait pas avec le projet de l'approche commune, j'avais même reçu un accusé de réception poli sans plus de son secrétaire de l'époque, voir saglacweb.com.
Ce n'est pas grave de ne pas savoir, ce qui l'est par contre, c'est de ne pas vouloir apprendre de ses erreurs.
Merci d'être là, parce qu'ensemble on est fort.
Jean-Pierre Plourde
PS.
Vous me dites:
"Si tous les Québécois se rallient autour d’un parti qui veut vraiment une Commission d’enquête publique sérieuse et des projets permettant de redistribuer la richesse, nous sommes en majorité !"
Je suis avec vous, mais il nous faut faire vite.
M. Charest, fait entrer une énorme quantité d'immigrants dans le seul but de nous retirer notre majorité.
Le défaut de s'opposer massivement à ces manigances nous sera mortel si on ne met pas ensemble l'union des forces de Montréal, de Québec et de toutes les régions du Québec dans un cri d'unité et de fierté.
Il faut utiliser pour nous ce que le canada utilise contre nous.
Nous n'avons pas les médias, mais l'internet peut jouer ce rôle et renverser la situation.
Mme Poulin, si un jour le Québec devient souverain, ce sera grâce à vous les femmes, vous faites plus de 50 % de l'électorat et votre opinion a une énorme influence sur vos hommes.
Présentement vous êtes en minorité dans les commentaires qu'on reçoit. C'est du plus haut intérêt autant pour votre groupe que pour celui des hommes. Amenez vos amis, vous êtes indispensables.
Très sincèrement,
Merci d'être là,
Jean-Pierre Plourde
Isabelle Poulin Répondre
19 mars 2010Merci Monsieur Plourde ! Faire l'indépendance avec un parti pour voir à nos vrais intérêts ! Le bon moteur, le bon parti, il n'existe pas encore à mon humble avis ! Car s'il existait, ce parti ne serait pas d'un silence absurde sur tout ce qui nous entoure comme richesse et développement collectif. Ce parti se distinguerait des politiques mondialistes au lieu de s'enfermer dans des slogans séducteurs et un silence alarmant ! Avec le vrai moteur roue ou toute autres technologies qui servira les générations futures au lieu d'engraisser les monopoles, les carriéristes et les avides du pouvoir absolu ! Reprendre le volant, investir à très court terme pour créer des emplois durables. Le secteurs des loisirs en serait un très intéressant qui ne serait pas délocalisé à la première occasion. Nous aurons beaucoup de marge de manoeuvre après avoir mis de l'ordre dans notre façon de dépenser et de choisir les bons projets. Vous avez raison, il faut mettre fin à l'ingérance qui nuit misérablement au peuple québécois. Si tous les Québécois se rallient autour d'un parti qui veut vraiment une Commission d'enquête publique sérieuse et des projets permettant de redistribuer la richesse, nous sommes en majorité !