Coronavirus

Et si la crise sanitaire n’était pas le problème principal

Qu’est-ce qui se cache derrière la crise?

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Tribune libre

Il y a quelque chose de rassurant à voir le gouvernement Legault prendre des mesures préventives pour empêcher la propagation du Covid-19. Mais est-ce la meilleure stratégie dans le contexte actuel?


Des évaluations divergentes


Une douzaine de spécialistes éminents dénoncent le climat de panique face à cette crise. Pour eux il s’agit d’une autre forme de la grippe saisonnière et comme telle, elle s’attaque aux gens les plus vulnérables. Le fait d’isoler les personnes saines a l’effet pervers de prévenir qu’ils développent une immunité naturelle.


Le site Zerohedge présente une étude avec chiffres à l’appui qui remet l’épidémie en perspective : dans un cas comme l’Italie, le pire cas en ce moment, le taux d’infection au 20 mars est de 778 par million d’habitants soit 0,08%. Parmi les cas atteints aux États-Unis, le taux de décès serait entre 0.05% à 1%. Le taux de contagion d’une personne infectée serait de 2 à 3.11 ce qui est un peu supérieur à la grippe mais pas beaucoup plus mortel. Les médias présentent la réalité de façon beaucoup plus alarmiste.


Un fond de scène de guerre économique


Les faits s’accumulent pour étayer la thèse d’un virus d’origine américaine. Le site politrussia.com cite des articles parus dans la revue National Medecine aux États-Unis et cités par Nature :



«Dans un de ces articles publié le 12 novembre 2015[1], il est indiqué que des scientifiques américains ont réussi à créer à partir du Coronavirus prélevé sur les chauves-souris (code viral SHC014) et du virus SARS[2] qu’on a l’habitude d’appeler « pneumonie atypique » leur propre chimère virale[3] capable d’infecter l’être humain, un virus mutant créé dans les laboratoires américains caractérisé par une forte capacité à infecter et à se répandre parmi les hommes (ce qui donnera le SHC014-CoV ou SARS-CoV-2).»



Des chercheurs chinois, et américains concluent aussi à une contamination venant des États-Unis. L’infection initiale est antérieure à l’épidémie de Wuhan et le virus est une branche du virus dont le tronc principal est aux États-Unis.


À ceci s’ajoute le contexte trouble dans lequel le virus est apparu en Chine. Les Chinois soulèvent le fait que le virus existait déjà aux États-Unis suite à la fermeture du laboratoire militaire «dangereux» d’armes biologiques à Fort Detrick en août 2019. Puis des Jeux Militaires se sont déroulés à Wuhan le 18 octobre auxquels ont participé des Américains. Au même moment la Fondation Bill & Melinda Gates, le Forum Économique Mondial (FEM), la CIA, Bloomberg, la Fondation John Hopkins et les Nations Unies parrainaient à New York une simulation de pandémie mortelle par coronavirus.


Le complot politique


La crise du coronavirus arrive au moment opportun pour camoufler la faillite du capitalisme occidental. Cette faillite est causée par le système frauduleux de l’argent-dette. Les états, les corporations privées et les individus sont financés par un endettement illimité. Ce système dépend d’une croissance illimitée, ce qui n’est pas durable. Tôt ou tard, la bulle financière doit éclater. C’est ce qui se passe en ce moment. Tout ceci passe presque inaperçu à cause du coronavirus. Selon Marc Rousset,



«La crise de 2020 sera pire que celle de 2008 car il y aura d’abord mise à l’arrêt de l’économie réelle. Un krach obligataire et immobilier avec des taux qui s’élèvent subitement jusqu’à 20 % dans un monde hyper-inflationniste est aussi probable. »



On pourrait penser que c’est la fin du capitalisme. C’est oublier que le Canada est un pion de l’État profond anglo-saxon dirigé par les financiers de la City de Londres. Ces derniers pourraient profiter de l’état de crise pour masquer la faillite du système, imposer un gouvernement autoritaire et prévenir le désordre social.


Le scénario qui se déroule présentement est une mise en tutelle de l’économie et de la société par les plans d’aide et l’enferment des citoyens. Ceci équivaut à donner au fédéral un pouvoir de vie et de mort sur les entreprises et les citoyens. Ce pouvoir lui vient de sa capacité de dépenser que contrôlent les financiers internationaux. Il y a pourtant d’autres solutions.


Les financiers ont une étrange conception de l’environnement et de la liberté. Il faudrait libérer la nature de l’empreinte humaine et se libérer de l’ordre social pour retourner au désordre de la nature. De cette façon, toutes les richesses seraient à la disposition des plus puissants. C’est l’état d’entropie que le premier ministre Trudeau semble souhaiter. De toute façon c’est son contrôleur de l’État profond Chrystia Freeland qui semble aux commandes.


Un moyen de réduire la population en esclavage est justement d’implanter une puce électronique dans les individus par le moyen de vaccins.


Marc Huber dans Vigile évoque la possibilité de l’utilisation des fréquences électromagnétiques (EM) pour activer les gènes dormants de cellules. Il s’agit d’un danger réel puisque les ondes peuvent modifier l’ADN, déprimer le système immunitaire et causer des symptômes semblable au COVID-19 dont la pneumonie.


 


Conclusion


L’épidémie de coronavirus est contagieuse et dangereuse mais ce danger est semblable dans une certaine mesure aux autres virus de la grippe. D’autre part tout indique qu’il s’agit d’une arme biologique produite par les États-Unis pour affaiblir leurs concurrents économiques. De plus il s’agit d’un stratagème pour récupérer politiquement le krach économique en cours et établir un nouvel ordre mondial qui n’offrira ni sécurité ni liberté.



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