1. Description de la publicité; 2. Misandrie; 3. Anti-nationalisme québécois; 4. L’Autre Grand Remplacement en politique; 5. Le Prochain Grand Remplacement et l’aboutissement ultime du patriarcat.
J’ai entrepris ce texte le 6 février 2022 à propos d’une publicité des Comptables professionnels agréés (CPA) qui était déjà en cours dans le métro depuis environ une à deux semaines.
Elle apparaît surtout sur plusieurs écrans publicitaires lumineux des stations de la ligne verte au centre-ville, entre les stations Berri-UQAM et Atwater inclusivement. On la voit en grand sur deux des quatre écrans lumineux géants de la station McGill, ainsi que sur plusieurs petits écrans lumineux. Ces écrans sont à images multiples successives, car cette publicité se compose de plusieurs images; mais il y a aussi quelques petits écrans lumineux à image unique qui ne montrent qu’une seule de ces images de la publicité. Il y a également à la station Berri-UQAM deux immenses panneaux publicitaires non lumineux qui présentent une seule image de la publicité.
Je ne connais pas l’agence de publicité qui a conçu cette annonce publicitaire.
L’organisation nationale de CPA ou CPA Canada est basée à Toronto: Chartered Professional Accountants of Canada ou Comptables professionnels agréés du Canada. Il y a aussi des ordres provinciaux et territoriaux de CPA. Au Québec, il s’agit de l’Ordre des comptables professionnels agréés du Québec ou Ordre des CPA du Québec, basé à Montréal.
La publicité dénoncée dans le présent texte et qui se déroule dans le métro de Montréal ne peut qu’être selon moi sous la responsabilité de l’Ordre des CPA du Québec.
1. Description de la publicité
Cette publicité se compose de sept images qui ont toutes comme « slogan »: « DEVIENS CPA. On compte sur toi. »
Une de ces images montre une jeune femme sans doute arabe. Un titre et une phrase accompagnent cette image: « Le tourisme. On serait dus pour un petit boom. Des conseils? »
L’image suivante montre un jeune homme asiatique qui embrasse sur la joue une jeune femme blanche, avec le titre et la phrase suivants: « Industrie du transport. On te garde un siège dans l’équipe de gestion? »
La troisième image montre une jeune femme blanche et une jeune femme au teint oriental, peut-être de l’Inde par exemple, avec le titre et la phrase suivants: « Le monde des affaires. On aimerait ça travailler avec toi, mais on préférerait encore plus s’associer. »
La quatrième image montre une jeune femme blanche avec le titre et la phrase suivants: « Les finances publiques. Paraît que tu te débrouilles pas pire avec les très, très gros chiffres? »
La cinquième image montre un jeune homme noir pas rasé mais avec un très grand sourire, des lunettes et un chandail avec un capuchon rabattu sur la tête, avec le titre et la phrase suivants: « Le futur. Tu trouves pas qu’avec toi, j’ai l’air radieux? »
La sixième image montre un jeune homme blanc avec une chevelure noire épaisse qui descend en légères vagues jusqu’au cou, des lunettes, une moustache un peu fine qui fait une ligne parfaitement droite, et une barbe qui forme une barbiche au menton et qui s’étend de chaque côté du visage en une bande mince sous les joues. On voit le haut de son corps revêtu d’un chandail de couleur rouge vif dont le capuchon repose derrière ses épaules. Il est tourné un peu de côté, et la position de son bras gauche forme une ligne droite avec son épaule. Cette position de son bras et le pli formé sur son chandail par le capuchon qui repose derrière ses épaules donnent au tout premier coup d’œil, de façon assez subliminale, l’impression ou l’illusion qu’il porte une cape rouge à son dos. En arrière-plan, un des deux rideaux (tirés) de la même couleur rouge vif que son chandail tombe derrière son dos et se confond presque avec son chandail. Le titre et la phrase sont: « Industrie du jeu vidéo. Paraît que tu peux nous aider à passer au prochain niveau? »
Ces six images apparaissent successivement sur les deux écrans géants à images multiples successives de la station McGill, mais on peut aussi voir une septième image sur les petits écrans lumineux.
Cette septième image montre une (jeune?) femme noire qui va embrasser sur la joue une jeune femme blanche, avec le titre et la phrase suivants: « Start-up (de demain). J’ai repensé à tes idées. Tu as mon GO. »
La première, la deuxième et la quatrième image sont un peu différentes entre les écrans géants et les petits écrans quant à la position des personnes, mais les textes sont exactement les mêmes. Pour la sixième image, la vision que l’on a de la pièce sur les petits écrans est un peu différente de celle des écrans géants, mais le personnage est identique.
2. Misandrie
On constate d’abord d’emblée qu’il y a sept jeunes femmes et seulement trois jeunes hommes, donc 70 % de femmes et 30 % d’hommes.
Quelle est la logique de présenter ou de « souhaiter » une telle suprématie de jeunes femmes pour les futures cohortes d’étudiants en comptabilité visant à devenir CPA? Les jeunes femmes sont déjà, au premier cycle universitaire, très majoritaires dans les effectifs en sciences de l’administration, soit 56,3 % contre 43,7 % de jeunes hommes (2016-2017). L’Ordre des CPA du Québec veut-il faire monter cette majorité des jeunes femmes à 70 %?
On constate bien là la volonté du « Système » ou de la coalition du fédéralisme, du féminisme et du mondialisme de créer l’Autre Grand Remplacement, à savoir remplacer le patriarcat par un matriarcat. L’Ordre des CPA du Québec semble vraisemblablement faire partie du « Système ».
Contrairement à ce qui est répété officiellement depuis un demi-siècle, il n’y a absolument aucune volonté d’égalité des sexes dans le féminisme et dans le « Système ». C’est on ne peut plus flagrant en éducation, et pour cause: l’éducation est le secteur névralgique pour l’Autre Grand Remplacement, tout comme l’immigration massive l’est pour le Grand Remplacement.
Notre gouvernement québécois constitue un gros morceau de la coalition du fédéralisme-féminisme-mondialisme qui impose la misandrie dans la société. Ainsi, il met depuis un quart de siècle beaucoup d’argent public pour attirer les filles dans les sciences appliquées, où elles représentent seulement 26,4 % des effectifs (2016-2017). Outre les concours avec mentorat et bourses « Chapeau, les filles! » et « Excelle Science », les universités mêmes organisent et financent beaucoup d’autres programmes, événements et bourses explicitement dans ce but.
À l’inverse, l’État québécois ne met jamais un seul sou public pour attirer les garçons par exemple dans les sciences de la santé, où leur pourcentage dans les effectifs étudiants est seulement de 23 % (2016-2017), donc encore plus faible que celui des filles en sciences appliquées qui est de 26,4 %.
En fait, sur les dix grands champs d’études universitaires au premier cycle, les jeunes femmes sont majoritaires dans neuf d’entre eux… Malgré cela, l’État québécois ou le « Système » met tout l’argent possible pour qu’elles deviennent majoritaires aussi dans le seul champ d’études qui leur échappe encore, celui des sciences appliquées…
Comme le présent texte le fait ressortir, le « Système » favorise les filles de toutes les manières possibles, et ce dans n’importe quelle matière scolaire que ce soit et dans n’importe quel domaine de travail que ce soit. Il dénigre le plus possible les garçons, mais d’abord et avant tout les garçons québécois de souche, non issus du multiculturalisme.
Pour connaître précisément les pourcentages respectifs des jeunes femmes et des jeunes hommes dans les dix grands champs d’études universitaires, on peut lire mon texte publié par Vigile le 18 février 2021: « Le remplacement du patriarcat par le matriarcat. L’Autre Grand Remplacement (1ère partie). Un système d’éducation sur mesure pour les filles ».
L’Ordre des CPA du Québec semble ainsi fort collaborer à la misandrie du « Système », en diffusant à grande échelle cette publicité où les jeunes femmes sont représentées dans une majorité écrasante de 70 % pour la profession de comptable professionnel agréé, soit pas trop loin du pourcentage de 77 % (2016-2017) qu’elles ont déjà dans les sciences de la santé…
D’autre part, toutes les jeunes femmes dans cette publicité sont belles. Aucune ne porte de lunettes, contrairement à deux des trois jeunes hommes. En ce qui concerne ces trois jeunes hommes, on comprend d’une part que le jeune homme asiatique de la deuxième image est là parce que le domaine du transport est traditionnellement masculin, mais que son rôle est de mettre en valeur la jeune femme blanche dans cette industrie.
La cinquième image se veut « humoristique » ou « ironique »: le jeune homme noir a certes un sourire très radieux, mais son visage non rasé et le capuchon de son chandail rabattu sur sa tête ne projettent pas une image « radieuse ».
Enfin, l’industrie du jeu vidéo est, tout comme l’industrie du transport, un domaine majoritairement masculin; et il fallait, pour être un tant soit peu réaliste, présenter un jeune homme. Mais, au tout premier coup d’œil et de façon assez subliminale, le jeune homme blanc de cette sixième image évoque Méphistophélès.
Ses cheveux noirs, sa moustache droite et noire, sa barbe noire en forme de barbiche au menton et qui s’étend en une mince bande sur les côtés en dessous des joues, le rouge vif de son vêtement et la (l’apparence de) cape rouge vif à son dos constituent, avec évidemment plus ou moins de précision, des caractéristiques avec lesquelles cette incarnation du Diable a souvent été représentée dans le passé. Les rideaux rouge vif exactement de la même couleur que le chandail et la « cape » complètent le personnage: cette couleur abondamment présente dans l’image symbolise le feu de l’Enfer.
Sur les petits écrans lumineux, la vision que l’on a de la pièce où se trouve ce personnage diffère un peu de celle des écrans géants. Sur certains d’entre eux mais pas tous, on voit un plafond qui occupe la moitié de toute l’image, et dont les planches forment comme des rayons irradiant à partir du fond de la pièce où se trouve la fenêtre avec les rideaux rouge vif ou rouge feu, jusqu’au-dessus de la tête du Méphistophélès. Ces « rayons » constituent pour ce personnage diabolique une sorte d’auréole. La pièce apparaît un peu profonde parce qu’un effet plongeant amené entre autres par un plafond en pente a été intégré à l’image, ce qui a permis de créer les « rayons irradiants ».
Les images subliminales sont interdites en publicité; mais les images « à la limite du subliminal » ou symboliques ne le sont pas, et l’industrie de la publicité ne se prive pas d’en utiliser.
On comprend aisément le modus operandi de cette publicité. Elle ne vise qu’à valoriser les jeunes femmes, mais il fallait quand même à contrecoeur présenter quelques jeunes hommes. C’était cependant hors de question de les mettre en valeur comme les jeunes femmes.
J’ai publié dans Vigile, le 10 septembre 2021, un texte qui portait sur une autre publicité misandre dans le métro: « Publicité misandre. Haro sur Desjardins Assurances. La chaîne misandre du fédéralisme-féminisme-mondialisme ».
On pourrait toujours à la limite se poser la question suivante: peut-être que Desjardins Assurances et l’Ordre des CPA du Québec ne se sont jamais rendu compte de la misandrie de leur annonce respective que leur a conçue leur agence de publicité respective?
Disons d’abord que c’est sûr à cent pour cent que ces agences de publicité qui ont conçu ces annonces misandres savaient ce qu’elles faisaient. L’industrie de la publicité a été on ne peut plus visiblement chargée par le CRTC, à l’époque de Pierre Elliott Trudeau, non seulement d’extirper toute misogynie de ses annonces, mais même aussi de systématiquement y survaloriser les femmes en même temps qu’elle devait y introduire la misandrie. C’est ce qui se passe depuis ce temps-là, c’est-à-dire depuis quarante ans. Ça fait quarante ans que l’industrie de la publicité remplit admirablement son mandat visiblement reçu du gouvernement de Pierre Elliott Trudeau de systématiquement crétiniser les hommes québécois et de rehausser sans limites les femmes.
C’est donc difficile de croire que les clients de l’industrie de la publicité ne se sont jamais rendu compte pendant quarante ans de la misandrie des annonces qu’elle conçoit pour eux. Bien des journalistes ont publiquement relevé depuis des décennies cette misandrie dans la publicité. Richard Martineau a même évalué, en 2004, que quatre-vingts pour cent de la publicité québécoise présentait un homme-cornichon!... Faut le faire!... Je considère que c’est impossible de croire que Desjardins Assurances et l’Ordre des CPA du Québec ne sont pas parties prenantes dans la misandrie de leur annonce respective.
3. Anti-nationalisme québécois
Cette publicité montre quatre jeunes femmes blanches sur sept jeunes femmes, mais un seul jeune homme blanc sur trois jeunes hommes.
Ce jeune homme blanc est ainsi l’unique représentant masculin de ceux que l’on appelle habituellement « les Québécois de souche ». Même si le jeune homme asiatique et le jeune homme noir peuvent tout autant être nés au Québec et donc être des Québécois de souche, la très grande majorité des hommes québécois de souche sont des hommes blancs. Or, cette publicité ne met en scène qu’un seul jeune homme blanc parmi les trois jeunes hommes, et valorise ainsi fortement le multiculturalisme aux dépens de la réalité québécoise où les jeunes hommes blancs constituent la grande majorité. Elle présente ainsi un jeune homme asiatique dans l’industrie du transport même s’il n’y en a pratiquement pas dans cette industrie.
De plus, alors que les quatre jeunes femmes blanches sont belles, cet unique jeune homme blanc fait au tout premier coup d’œil et de façon assez subliminale penser à Méphistophélès, une incarnation du Diable.
On est donc certainement ici en présence d’un dénigrement des hommes québécois de souche, et du même coup d’un dénigrement du peuple québécois ou du nationalisme québécois.
La coalition du fédéralisme-féminisme-mondialisme n’est pas seulement misandre, elle est aussi complètement anti-nationaliste. Cette coalition ou le « Système » ne voit toutefois aucun « danger » nationaliste chez les femmes, seulement chez les hommes.
4. L’Autre Grand Remplacement en politique
Ces deux facettes misandre et anti-nationaliste de la coalition du fédéralisme-féminisme-mondialisme ressortent clairement aussi chez une politicienne comme Valérie Plante. On peut lire à ce sujet mon texte publié par Vigile le 29 octobre 2021: « L’alliance du fédéralisme-mondialisme et du féminisme. Le cas Valérie Plante. Une idéologie woke-féministe ».
Le féminisme a toujours réclamé la parité hommes-femmes dans les conseils d’administration d’organismes gouvernementaux. Or, le conseil exécutif de la Ville de Montréal dirigée par cette politicienne se compose de treize femmes et de cinq hommes, soit respectivement 72 % de femmes et 28 % d’hommes… L’égalité des sexes pour le féminisme signifie au moins 70 % pour les femmes et pas plus de 30 % pour les hommes.
Une certaine mise au point s’impose ici. Il faut actualiser notre perception du féminisme. Un demi-siècle après ses débuts, on peut affirmer sans trop craindre de se tromper que pratiquement toutes les femmes aujourd’hui sont féministes. Ainsi, quand on parle de féminisme, il faut garder en tête que c’est le cas d’à peu près toutes les femmes. On ne doit plus croire que seules les féministes militantes ou dites radicales sont féministes. Avec le féminisme, les femmes sont pratiquement devenues aujourd’hui une « nation », qui s’oppose systématiquement aux hommes, qui se veut toujours en guerre contre les hommes.
Certes, on dira que c’est le féminisme radical qui pose problème, et non le féminisme dit « libéral » qui serait vraisemblablement celui de l’ensemble des femmes, sauf que ce féminisme radical a depuis un demi-siècle largement contaminé ce féminisme censément libéral de l’ensemble des femmes. Les hommes et les garçons paient pour ça, sont systématiquement discriminés à cause de ça.
Le féminisme parle d’égalité des sexes depuis cinquante ans. Les hommes ont honnêtement accepté ce projet. Or, ils se retrouvent aujourd’hui avec l’Autre Grand Remplacement. Ils sont déjà largement remplacés en éducation, et ils vont sous peu l’être tout autant en politique.
Depuis les dernières élections municipales de 2021, quatre des six plus grandes villes du Québec sont dirigées par des femmes, et il s’en est fallu de peu que ce soit cinq sur six car le résultat a été très serré à Québec.
Les jeunes femmes de 18 à 34 ans sont déjà plus nombreuses que les jeunes hommes du même âge à être élues en politique municipale: 51,25 % contre 48,75 %. Or, c’est sûr à cent pour cent que cette majorité va systématiquement augmenter à chaque élection, compte tenu entre autres que les nouvelles diplômées universitaires sont aujourd’hui majoritaires à presque 60 % (57,4 % en 2016 contre 42,6 % pour les jeunes hommes), et que cette avance sur les jeunes hommes diplômés s’accroît constamment. Au fur et à mesure que les hommes politiciens plus âgés vont prendre leur retraite, les femmes vont de plus en plus augmenter leur majorité jusqu’à ce qu’elle soit écrasante.
Les femmes ont sans doute au Québec un demi-millier à un millier d’organismes subventionnés à même les fonds publics, lesquels organismes se situent pour ainsi dire tous dans une perspective féministe. Plusieurs de ces organismes sont expressément voués à favoriser l’élection de femmes en politique. C’est un coaching de femmes avant et même après les élections. Quant aux hommes, ils n’ont absolument aucun organisme subventionné militant pour leurs droits, pour la défense de la condition masculine, ou pour les « coacher » dans quelque domaine que ce soit. Les garçons sont ainsi entièrement laissés à eux-mêmes, abandonnés, contrairement aux filles.
Le « Système » a déjà réussi à faire en sorte que les garçons soient largement défavorisés et rendus minoritaires en éducation. Non seulement il poursuit ses efforts en ce sens, mais il poursuit aussi le même objectif en politique et dans tous les autres domaines. Tôt ou tard, l’Autre Grand Remplacement sera aussi largement concrétisé en politique qu’il l’est déjà aujourd’hui en éducation.
La coalition du fédéralisme-féminisme-mondialisme est un impitoyable rouleau compresseur contre les hommes et les garçons. C’est tout le « Système » au complet qui fonctionne hypocritement pour les écraser. Le présent texte et Haro sur Desjardins Assurances donnent un bref aperçu concret en publicité du modus operandi hypocrite mais ô combien efficace de ce rouleau compresseur misandre et anti-nationaliste.
5. Le Prochain Grand Remplacement et l’aboutissement ultime du patriarcat
On est quand même obligé de reconnaître un fait primordial. Malgré le matriarcat au Québec et en Occident, le fédéralisme et le mondialisme sont quand même encore aujourd’hui largement dirigés par des membres des dernières générations du patriarcat antérieur. Or, comme on l’a vu, ce fédéralisme-mondialisme, qui est encore largement sous le sceau du patriarcat, s’est non seulement allié au féminisme mais a carrément imposé le matriarcat.
Olivier Kaestlé a écrit, le 10 janvier 2022:
Les féministes d’État ne sont qu’une petite équipe dans un plan beaucoup plus vaste qui modifiera à tout jamais non seulement la condition masculine, mais la condition humaine point barre.
Il faut se demander pourquoi la fondation Rockefeller, notamment, a tant soutenu les féministes radicales. Ce féminisme idiot et fanatique a été créé PAR le patriarcat. Il est devenu l’un de ses outils privilégié avec l’immigration massive, l’environnementalisme fanatisé et maintenant le sanitarisme, en passe de devenir la religion mondiale qui mènera à une société communiste planétaire digne de la Chine. (1)
On peut essayer de préciser davantage la situation de la façon suivante. Aux plus hauts échelons du patriarcat, ceux que l’on appelle aujourd’hui les mondialistes: les Rockefeller, Soros, ONU, etc., et avant eux un Pierre Elliott Trudeau dont Justin Trudeau n’est aujourd’hui que le prolongement, ont livré sans aucun moyen de se défendre, pratiquement pieds et poings liés, les hommes et les garçons en dessous d’eux au féminisme et au matriarcat, lesquels ont sauté sur l’occasion et en ont profité pour allègrement les écraser.
À partir des deux publicités que nous avons analysées, on peut croire que des sociétés comme Desjardins Assurances et des ordres professionnels comme l’Ordre des CPA du Québec adhèrent vraisemblablement à ce projet, et acceptent de travailler à le concrétiser.
Via cet écrasement des hommes, les mondialistes visent l’écrasement des nationalismes et des états-nations. Le matriarcat collabore à tout ça.
Une autre offensive est en même temps menée du côté de l’abolition des frontières de ces états-nations, visant ainsi une immigration super-massive tous azimuts.
Comme on le sait déjà depuis longtemps dans les milieux dits complotistes ou conspirationnistes, le but des mondialistes à travers la disparition des états-nations est la gouvernance mondiale et le pouvoir suprême sur l’humanité.
En même temps qu’avance considérablement l’écrasement des hommes, ces plus hautes instances du patriarcat ont déjà commencé à tasser peu à peu le matriarcat, qu’elles ont elles-mêmes installé, pour créer ultimement une humanité entremêlée de mille genres (et de mille races), qui sera pour elles la plus malléable et la plus vulnérable possible. Cette humanité de mille genres et de mille races représente très concrètement la société ouverte (open society) de George Soros.
C’est pour ça que l’on voit aujourd’hui la multiplication continue des personnes transgenres, non binaires, etc. (LGBTQ+). Le mondialisme crée, produit littéralement à la chaîne des personnes transgenres, etc.; et il doit, pour que ce soit le plus efficace possible, débuter ce processus dès l’enfance, pour que poussent ainsi de futures générations de plus en plus marquées par un métissage de genres et d’identités sexuelles, et que l’on atteigne ultimement une humanité aux mille genres. C’est le Prochain Grand Remplacement.
De plus en plus de femmes s’agrègent à ces plus hautes instances du mondialisme, mais en endossant elles aussi ce projet d’abord et avant tout patriarcal pour dominer l’humanité. Ce projet mondialiste est l’aboutissement ultime du patriarcat. Les hautes sphères de ce patriarcat se débarrassent actuellement des hommes en dessous d’elles en les livrant aux femmes, puis vont se débarrasser progressivement des femmes en imposant une humanité aux mille genres, qui sera selon leurs prévisions aussi facile à dominer et à contrôler qu’un troupeau humain.
Notons encore pour terminer que le wokisme est une stratégie supplémentaire du mondialisme pour radicalement altérer, rabaisser l’humanité. Il s’agit d’une sorte de volet intérieur du Grand Remplacement par immigration massive. Des personnes racisées de l’intérieur ou de l’extérieur du pays, déjà ici ou qui arrivent par immigration, doivent progressivement remplacer la population blanche occidentale de souche. Le wokisme crée des outils spécifiques et retors pour qu’elles puissent systématiquement la remplacer dans la hiérarchie sociale.
André Lafrenaie
1. Olivier Kaestlé, « Lagacé contre les non-vaccinés: un discours digne de l’Allemagne nazie », Le blog d’Olivier Kaestlé, olivierkaestlé.blogspot.com, 9 janvier 2022. Cette citation provient du deuxième commentaire de l’auteur, daté du 10 janvier 2022, qui accompagne son texte.
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