« Placer les intérêts du client avant les nôtres. » La raison d'être de McKinsey & Company
La brève introduction avec ces 4 énoncés du présent document exhaustif (5 parties) donne un exposé assez révélateur de l’ampleur de la mainmise sur les contrats de << gestion >> concédés et les conflits d’intérêts à/de McKinsey & Company concernant le procédé aboutissant à soudoyer les gouvernements, organismes internationaux et institutions étatiques en complicité avec des partis politiques socialo-libéro-communistes traîtres ainsi que des antipatriotes carriéristes(1) dans les 5 continents avec un chiffre d’affaires de 18,8 milliards US$ en 2024(2) :
●. Nommé chef de la diplomatie américaine par Donald Trump le 13 novembre, Marco Rubio était jusqu’alors vice-président de la commission sénatoriale du Renseignement. À ce titre, début 2024, il avait plaidé pour l’exclusion de McKinsey de tout contrat fédéral, en compagnie du président de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, le républicain Michael McCaul.
Marco Rubio se demandait en effet si McKinsey n’avait pas « menti à plusieurs reprises sur ses relations avec le Parti communiste chinois ». Il faisait référence aux déclarations de Bob Sternfels selon lesquelles le cabinet « n’avait jamais travaillé pour le gouvernement central chinois ». Or, la Firme aurait – notamment – piloté un groupe de réflexion, l’Urban China Initiative, mandaté par l’Agence centrale de planification du gouvernement chinois pour élaborer des recommandations destinées au 13e plan quinquennal de Pékin (2016-2020).
Plus récemment, Marco Rubio et d’autres parlementaires ont questionné le conseil apporté par la Firme à la China Communications Construction Company, qui appartient à la liste noire du département américain du Commerce pour sa participation à la construction de bases militaires en mer de Chine méridionale.
McKinsey, qui a récolté un milliard de dollars depuis 2008 grâce à ses contrats pour le gouvernement fédéral US (selon la base de données USAspending.gov), pourrait ne pas avoir respecté la loi fédérale qui oblige les cabinets à divulguer d’éventuels conflits d’intérêts.
Quant à l’accompagnement par la Firme du département de la Défense américain, qui représente à lui seul près d’un demi-million de dollars depuis 2008 toujours, Marco Rubio y voit un risque pour la sécurité intérieure du pays.
Depuis plusieurs années, le désormais ex-sénateur de Floride œuvre à ce que les entreprises américaines dans leur ensemble restreignent leurs activités commerciales avec la Chine.
Donald Trump nomme un détracteur de McKinsey secrétaire d’état
Le sénateur républicain de Floride est connu pour son extrême fermeté face à la Chine. C’est en raison des activités de McKinsey dans ce pays que Marco Rubio a plusieurs fois remis en cause l’attribution de contrats fédéraux à la Firme.
https://www.consultor.fr/articles/donald-trump-nomme-un-detracteur-de-mckinsey-secretaire-detat
●. McKinsey est impliqué dans des affaires de blanchiment d'argent et de corruption, notamment en Afrique du Sud, où il a dû rembourser des commissions perçues via des contrats liés à la corruption. Aux États-Unis, l'entreprise a payé 650 millions de dollars pour régler des enquêtes pénales et civiles liées à son travail pour Purdue Pharma, un fabricant d'opioïdes. En France, une enquête préliminaire pour blanchiment aggravé de fraude fiscale a été ouverte et des perquisitions ont eu lieu suite à des soupçons sur l'optimisation fiscale du cabinet.(2)
●. McKinsey est associé à l'optimisation fiscale, notamment via le statut de sa société mère basée dans le Delaware, aux États-Unis, où les impôts sur les sociétés sont quasi nuls pour les activités menées à l'extérieur de cet État. Ce modèle a conduit à des critiques et à des polémiques, notamment en France, où le cabinet a été critiqué pour avoir peu d'impôts payés localement malgré son important chiffre d'affaires et son nombre d'employés en France.(3)
●. McKinsey : c'est quoi le problème avec son « optimisation fiscale » ?
DECRYPTAGE// Un rapport sénatorial tire à boulet rouge sur le prestigieux cabinet de conseil, l'accusant de s'être soustrait à l'impôt sur les sociétés en France, et ce, depuis dix ans. Est-ce exact ? Est-ce illégal ? Si oui, quelles conséquences ? Si non, quelles conséquences ? On vous explique.
Avant de poursuivre le parcours de la multinationale de la collusion, fraude systémique, blanchiment d’argent, incitation aux surdoses d’opioïdes(4), prédation de fonds publics, évasion fiscale, captation des hauts responsables gouvernementaux et fonctionnaires traitres comme moyens de parvenir à soutirer des contrats antiétatiques, etc., il faut rappeler que le seul moyen de parvenir à stopper ces actes criminels et de trahison est de se doter de ce système constitutionnel explicité brièvement à continuation et amplement dans la note cinq à pied de page :
<< La Démocratie directe est une forme de démocratie dans laquelle les citoyens exercent directement le pouvoir, sans l'intermédiaire de représentants élus. >> Préambule de la définition de ce système politique indissociable à la survie nationale.(5)
Ledit parcours de McKinsey & Company se poursuit en mettant en évidence ces autres multiples cas afin de parvenir à saisir l’ampleur du Pouvoir planétaire cleptocrate de cette multinationale dont son siège fiscal se trouve dans le paradis fiscal de l’État américaine de Delaware (Joe Biden, le << capo di tutti capi >> de la politique ayant été pendant 36 ans son représentant au Sénat, vice-président, de 2009 à 2017 et Président-illégitime des États-Unis, du 20 janvier 2021 au 20 janvier 2025).(6)
McKinsey & Company au Québec (pendant les 2 mandats des gouvernements caquistes de François Legault) :
La firme McKinsey : un ministère de plus au sein du conseil des ministres du gouvernement Legault?
Dans l’ombre, la firme McKinsey était au cœur de la gestion de la pandémie au Québec
Le gouvernement Legault n’a pas tout dit du rôle joué par les consultants, payés 35 000 $ par jour.
Le premier ministre, François Legault, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, et le directeur national de santé publique, Horacio Arruda, juste avant une conférence de presse sur la COVID-19 durant la pandémie.
Publié le 30 septembre 2022 à 4 h 00 HNE.
Le 14 décembre 2020, alors que les tout premiers vaccins viennent d’être injectés aux Québécois, le directeur de la campagne de vaccination Daniel Paré reçoit un courriel d’une associée du cabinet-conseil McKinsey : « Bravo pour cette première journée qui se déroule bien. Voici mes notes sur les suivis (action, responsable, délais). N’hésitez pas à faire des changements. »
En coulisses, McKinsey a joué un rôle central dans le plan de match de la campagne de vaccination au Québec, en s’appuyant sur son expérience avec d’autres États, révèle une enquête de Radio-Canada. Mais le cabinet-conseil américain a fait plus que ça.
En mai 2020, le gouvernement Legault avait rejeté une demande des partis d’opposition pour rendre publique la transmission de tous les avis et documents produits par la firme.
Radio-Canada a pu reconstituer plus précisément le rôle joué par McKinsey par l'intermédiaire de plus de 200 courriels, des contrats et des documents de travail. Certains de ces éléments ont été obtenus de sources, d’autres par des demandes d’accès à l’information.
AILLEURS SUR INFO : Québec fait un pas vers les médecins en suspendant deux dispositions de la loi 2
Les documents confidentiels que nous avons obtenus démontrent que les consultants privés ont contribué à des décisions cruciales durant la pandémie en donnant des conseils au gouvernement Legault, notamment pour la stratégie de communication. Ils ont élaboré des scénarios d'achats d'équipements de protection et travaillé à la stratégie de tests PCR. Ils ont aussi proposé des solutions pour remédier à la pénurie de personnel en CHSLD.
La firme privée a coordonné les équipes décisionnelles et convoqué les hauts fonctionnaires qu’elle voulait (nouvelle fenêtre), en rencontre de groupe comme en rencontre individuelle (nouvelle fenêtre). On voit même un associé de McKinsey tutoyer le secrétaire général du gouvernement (nouvelle fenêtre), Yves Ouellet, le plus haut fonctionnaire de l'État québécois.
35 000 $ par jour
Les conseils de McKinsey ont été facturés au Québec 215 000 $ par semaine (nouvelle fenêtre), plus taxes, soit 35 000 $ par jour, pour la période d’avril à juin 2020. En décembre, une autre facture (nouvelle fenêtre) pour une semaine de travail donne un total de 247 196 $, soit toujours 35 000 $ quotidiens.
Au total, le gouvernement a déboursé 1,7 million de dollars, (nouvelle fenêtre) officiellement pour que McKinsey l’aide à préparer son plan de déconfinement, et 4,9 millions (nouvelle fenêtre) pour l’appuyer dans le plan de relance de l’économie.
Le cabinet-conseil a piloté des comités, organisé des rencontres stratégiques, distribué des rôles sur des groupes de travail… Il a aussi eu accès à des informations confidentielles, montrent les courriels et documents obtenus.
À ces documents s’ajoutent des entretiens avec trois personnes en santé publique qui ont eu à travailler avec la firme durant la pandémie. Nous avons aussi pu compter sur la collaboration de deux personnes qui ont activement préparé la vaccination au Québec. Toutes sont soumises à des ententes de confidentialité avec leur employeur. C’est pourquoi nous avons accepté de protéger leur identité.
Le recours à McKinsey suscite le malaise d’un syndicat de fonctionnaires qui accuse le gouvernement d’avoir tourné le dos à l’expertise interne. La présence des conseillers a aussi irrité des membres de la santé publique qui ont collaboré avec la firme. Le gouvernement, de même que certains experts en gestion consultés, pense toutefois que le caractère exceptionnel de la crise le justifiait.
Les 10 000 préposés aux bénéficiaires, une idée inspirée par McKinsey?
La firme de consultants a travaillé étroitement avec le gouvernement au dossier des ressources humaines en santé. Le 26 mai 2020, McKinsey envoie un document pour discussion (nouvelle fenêtre) intitulé Leviers pour faire face aux enjeux RH en CHSLD. L’objectif est de trouver des solutions pour remédier à la pénurie de personnel.
Parmi les idées évoquées, on trouve celle de créer [des] programmes de formation accélérés et sans frais [...] pour réduire le temps de formation avant le déploiement en CHSLD. Le lendemain, le 27 mai, Legault annonce qu’il veut recruter 10 000 préposés aux bénéficiaires en trois mois.
Nous avons recensé la présence de 10 consultants différents de McKinsey ayant collaboré étroitement avec les hauts fonctionnaires québécois, en 2020.
Qui est McKinsey?
La firme américaine est un cabinet-conseil ayant 130 bureaux dans 65 pays (nouvelle fenêtre) et regroupant 30 000 consultants.
Durant la pandémie, elle avait pour clients des gouvernements (États-Unis, France, Allemagne, Royaume-Uni, Mexique, Ontario…), des entreprises de tous les secteurs économiques, notamment pharmaceutiques, et des organisations internationales (Organisation mondiale de la santé, Fondation Bill et Melinda Gates…).
Selon un rapport du Sénat français (nouvelle fenêtre), McKinsey avait Pfizer comme client durant la pandémie. Au début de la campagne de vaccination, Pfizer est le seul fournisseur de vaccin autorisé au Canada.
(…).
Dans l’ombre, la firme McKinsey était au cœur de la gestion de la pandémie au Québec
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1920666/mckinsey-quebec-covid-legault-gestion-pandemie
La suite du parcours au Québec de McKinsey & Company nous révèle, entre autres affaires louches, l’implication de Philippe Couillard, ex-premier ministre du Québec ainsi que nouvellement inscrit comme lobbyiste afin de << soutirer >> de millions de dollars auprès de Pierre Fitzgibbon, le << super-ministre >> du gouvernement caquiste de François Legault :
(…).
« Client sérieux »
En avril dernier, Philippe Couillard disait avoir eu des discussions « préliminaires avancées » avec Investissement Québec pour bâtir ici l’usine de batteries de Britishvolt Canada, dont il est l’un des administrateurs.
Le Journal rapportait également qu’il s’était inscrit comme lobbyiste au Québec pour obtenir des fonds publics d’Hydro-Québec, d’Investissement Québec et du ministère de l’Économie et de l’Innovation.
« Ça demande des participations financières des gouvernements très importantes parce que les usines sont très coûteuses et le temps pour la rentabilité est très long », avait expliqué l’ancien chef du Parti libéral du Québec (PLQ), pour illustrer le fait que la chaîne de valeur mondiale est fortement concentrée en Chine.
(…).
Des milliards de l’État
(…).
Celui qui a été député de la circonscription de Nicolet-Yamaska a ajouté que la Société du parc industriel et portuaire de Bécancour, qu’il dirige, relève directement du ministère de l’Économie et de l’Innovation.
« On est le seul parc industriel, qui appartient au gouvernement du Québec », a affirmé Maurice Richard. « Mon patron immédiat, c’est le ministre, Pierre Fitzgibbon », a poursuivi l’ancien élu du PLQ.
Ces dernières années, le gouvernement Legault a misé gros sur la filière batterie qui pourrait nécessiter près de deux milliards de dollars de fonds publics, selon une l’étude de McKinsey, commandée par Investissement Québec.
Pour Pierre Fitzgibbon, le projet d’électrification, dans son ensemble, est aussi majeur que l’ont été « dans les années 1960, les centrales électriques », a-t-il déjà illustré sur les ondes de QUB radio.
Couillard a rencontré Fitzgibbon pour un projet
L’ex-chef libéral mousse une entreprise qui veut produire des cellules de batteries
McKinsey & Company au Canada (lors des gouvernements de l’imposteur Justin Trudeau de 2015 à 2025)
***
(1 de 5)












Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé