Le faible que montre la photographe Marie-France Coallier pour les femmes est toujours aussi fort. On s’en rend compte encore une fois dans sa sélection de ses meilleures photographies de 2024 prises pour Le Devoir. Voyez vous-mêmes : https://www.ledevoir.com/societe/828190/2024-oeil-marie-france-coallier
Dans la photo no 1, ce n’est pas l’homme laid et malpropre du milieu qui attire l'attention, mais plutôt les superbes musiciennes de chaque côté.
Dans la photo no 2, les hommes zombies, plus morts que vifs, sont bien entendu à l’honneur.
Dans la photo no 4, comme elle l’écrit elle-même, ce ne sont pas les pompiers qui sont au centre de l’image, mais la bénévole et la victime (une femme, vraisemblablement).
Les photos nos 5 et 6 se passent de commentaires.
La photo no 7 est un petit chef-d’œuvre de wokisme. Le Blanc avec le porte-voix est l’ennemi, alors que son vis-à-vis, visiblement d’origine étrangère et sûrement anglophone, est l’ami. Les manifestants ont ouvert leur parapluie, s’en servant comme bouclier : « La réponse à la violence, ç’a été la paix », écrit-elle. Ces manifestants sont du même acabit que ceux qui ont fait de la casse tout au long de 2024 et qui ont prié Allah dans la rue. Mme Coallier pro-Hamas, ça me dépasse.
La photo no 8 montre à peine J.-P. Ferland (dans le journal papier, en tout cas), mais beaucoup sa dernière compagne. Comprenne qui pourra !
Si une caméra biffant les hommes existait, Mme Coallier l’acquerrait. Question : qu’a-t-elle contre les hommes ?
Sylvio Le Blanc (pardonnez mon patronyme Mme Coallier)
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