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Sylvio Le Blanc

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Quelle vache!

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  • Sylvio Le Blanc
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  • Sylvio Le Blanc
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  • Tribune libre 2009
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  • Sylvio Le Blanc
  • 24 août 2009
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François Lévesque, le critique colonisé

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  • 1 commentaire

Casser du sucre

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Le français, l’élément capital

  • Sylvio Le Blanc
  • 14 juin 2009
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La maladie de Claude Béchard

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  • 20 novembre 2008
  • Tribune libre 2008
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Commentaires de Sylvio Le Blanc

  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    1 septembre 2024


    Deux lettre publiées dans Le Devoir en 2003 et en 2012 :

    1. Le Devoir, lundi 30 juin 2003, p. A6

    Et l'homosexualité de Pierre Bourgault?

    Dans Le Devoir des samedi 21 et dimanche 22 juin 2003, j'ai été surpris de constater que personne n'avait abordé le sujet de l'homosexualité de Pierre Bourgault dans les treize lettres et les neuf articles portant sur lui. Même pas Bazzo. Curieux. On ne me fera pas accroire que l'orientation sexuelle de Bourgault a passé comme lettre à la poste dans sa vie, lui, l'homme moderne, le libertaire, l'humaniste, le social-démocrate, qui a grandi dans une famille et un Québec religieux et conservateurs. Je connais des homosexuels beaucoup plus jeunes que Bourgault, ayant grandi dans un Québec beaucoup plus conciliant, et pour qui néanmoins l'orientation sexuelle aura constitué un grand combat, souvent dramatique, voire tragique. Bourgault n'ayant pas vécu aux Pays-Bas, il me semble qu'on aurait pu en parler.

    Sylvio Le Blanc

    https://www.ledevoir.com/opinion/idees/30863/lettres-et-l-homosexualite-de-pierre-bourgault

    2. Le Devoir, Lettres, lundi 31 décembre 2012, p. A6

    Un Vatican III n'est pas pour demain

    Vatican II fête ses cinquante ans. Plusieurs se demandent avec raison comment l'Église catholique peut encore aujourd'hui refuser le mariage des prêtres, l'ordination des femmes, la contraception et les homosexuels. C'est parce que la majorité des pratiquants catholiques de par le monde le veulent ainsi. Le Vatican sait aussi que la progression de son empire en Occident est plafonnée, mais pas dans les pays plus pauvres ou « vierges », où ses idées rétrogrades sont bien reçues. Cette Église est hypocrite. Des siècles durant, des homosexuels s'y sont réfugiés pour ne pas se marier. Quand on pense à tous ces cas de pédophilie révélés depuis quelques années dans le monde, le cœur nous lève. Ça devait être la même chose avant, mais l'absence de démocratie et l'aura de l'Église auront suffi à tout étouffer. Non, décidément, Vatican III n'est pas pour demain, et l'obscurantisme a un avenir radieux devant lui.

    Sylvio Le Blanc

    https://www.ledevoir.com/opinion/lettres/367403/un-vatican-iii-n-est-pas-pour-demain

  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    1 septembre 2024


    Lettre envoyé au Devoir le 24 juillet 2016, mais non publiée :

    « Shakespeare dénaturé

    Je n’irai pas voir la dernière mise en scène de Serge Denoncourt au Théâtre du Nouveau Monde, Roméo et Juliette, d’après William Shakespeare. Pourquoi ? Parce qu’elle a peu à voir avec l’œuvre du grand barde anglais.

    Pour cette adaptation, Denoncourt, conquis par la pièce à l’âge de 12 ans [1], s’est inspiré notamment de Pier Paolo Pasolini, Luchino Visconti et Franco Zeffirelli, des homosexuels notoires. Pourquoi un tel intérêt de leur part pour cette pièce ? Pour la richesse du texte, certes, mais aussi parce que le grand amour entre les deux hétérosexuels que sont Roméo et Juliette est détruit.

    M. Denoncourt a déclaré dans une interview : « Dans la pièce, il y a deux histoires d’amour: celle de Mercutio et Roméo; et celle de Roméo et Juliette. Mercutio est un homosexuel vieillissant qui se tient avec des petits gars, qui boit, qui est amoureux de la beauté de Roméo. À l’adolescence, les garçons italiens couchent ensemble même s’ils ne sont pas gais. Dans ma mise en scène, on comprend que Mercutio joue à touche-pipi avec les garçons et qu’eux, ça ne les dérange pas. (…) » Claude Jutra aurait sûrement apprécié, mais, dans l’œuvre originale de Shakespeare, personne ne joue à touche-pipi. Mercutio n’a rien d’un homosexuel vieillissant : il est jeune et un ami de Roméo. Et il n’y a pas deux histoires d’amour, mais une seule : celle que l’on sait. [2]

    M. Denoncourt a aussi déclaré : « Le texte de Normand Chaurette me laisse beaucoup de place; je peux alors décider du sens que je veux donner aux mots. (…) » [3] Ma foi, quelle présomption ! Si les mots de Shakespeare perdent leur sens originel une fois traduits, peut-on encore parler d’une œuvre shakespearienne ? Une œuvre « denoncourtienne », plutôt.

    De nos adaptateurs et metteurs en scène ont de tels ego et de tels besoins qu’ils dénaturent les textes classiques. Pouvons-nous permettre aux Québécois de découvrir les grands auteurs quand ils sont au programme ? »

    Sylvio Le Blanc





    [1] http://www.ledevoir.com/culture/theatre/476063/romeo-et-juliette-verone-1937



    [2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Rom%C3%A9o_et_Juliette



    [3] http://www.ledevoir.com/culture/theatre/476063/romeo-et-juliette-verone-1937



  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    1 septembre 2024


    Lettre envoyée au Devoir le 12 juillet 2020, mais non publiée :

    « J’en disconviens, madame Wysocka

         Natalia Wysocka écrit notamment dans son article [publié dans Le Devoir] Les nécessaires nuances de cancellation : « Il y a une mer de nuances de gris entre les appels à “cancel R. Kelly” après que des dizaines de femmes ont dénoncé les abus et les violences de l’ex-roi du R & B et les publications vilipendant l’actrice Scarlett Johansson pour avoir déclaré, bêtement convenons-en, qu’elle devrait “avoir le droit de jouer n’importe quelle personne, animal ou arbre” en réponse aux critiques l’accusant de personnifier un homme trans ou une femme asiatique. » [1]

         Son « bêtement convenons-en » est de trop. Il n’y a rien de bête dans les propos de l’excellente Scarlett Johansson.

         Philippe Noiret, un hétérosexuel, a joué un homosexuel dans Les lunettes d’or [2]. Idem pour Michel Serrault dans La cage aux folles, qui lui a valu le César du meilleur acteur [3]. Rupert Everett, un acteur qui affiche publiquement son homosexualité [4], a joué un séducteur de femmes dans Un mari idéal [5]. Il a aussi joué une transgenre dans deux films d’Oliver Parker [6]. Dans Ceux qui m’aiment prendront le train, réalisé par Patrice Chéreau, un homo [7], Vincent Perez, un hétéro [8], joue une transgenre en cours de transition [9]. Melvil Poupaud, un hétéro [10], joue aussi une transgenre dans Laurence Anyways, réalisé par Xavier Dolan, un homo, ce qui a valu à Poupaud le Prix Écrans canadiens du meilleur acteur [11]. Dans Les aventures de Priscilla, folle du désert [12], un film devenu culte auprès de la communauté gay, trois acteurs hétérosexuels (Guy Pearce [13], Terence Stamp [14] et Hugo Weaving [15]) interprètent des drag-queens.

         Les Chinoises Gong Li et Zhang Ziyi, ainsi que la Malaisienne Michelle Yeoh, ont joué des Japonaises dans Geisha [16]. Dustin Hoffman a joué un autiste dans Rain Man [17], ce qui lui a valu l’Oscar du meilleur acteur. Orson Welles a joué un Noir dans son film Othello [18]. Taika Waititi, à moitié juif par sa mère, a joué Adolf Hitler dans son film Jojo Rabbit [19]. Des hommes ont joué des singes dans le chef-d’œuvre de Stanley Kubrick, 2001, l’Odyssée de l’espace [20]. Charlie Chaplin a personnifié un arbre dans Charlot soldat [21] et une fleur dans Les feux de la rampe [22].

         Croyez-moi Mme Wysocka, Mme Johansson a raison, les bons acteurs et les bonnes actrices peuvent tout jouer. Ne mettons pas des barrières là où ce n’est pas nécessaire.

    Sylvio Le Blanc





    [1] https://www.ledevoir.com/societe/582294/les-necessaires-nuances-de-la-cancellation



    [2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Lunettes_d%27or



    [3] https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Cage_aux_folles#R%C3%A9compenses



    [4] https://fr.wikipedia.org/wiki/Rupert_Everett#Jeunesse



    [5] https://fr.wikipedia.org/wiki/Rupert_Everett#Ann%C3%A9es_1990



    [6] https://fr.wikipedia.org/wiki/Rupert_Everett#Carri%C3%A8re



    [7] https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrice_Ch%C3%A9reau#Vie_priv%C3%A9e



    [8] https://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_Perez#Vie_priv%C3%A9e



    [9] https://fr.wikipedia.org/wiki/Ceux_qui_m%27aiment_prendront_le_train#Casting



    [10] https://fr.wikipedia.org/wiki/Melvil_Poupaud#Vie_priv%C3%A9e



    [11] https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurence_Anyways#Nomination



    [12] https://fr.wikipedia.org/wiki/Priscilla,_folle_du_d%C3%A9sert

    https://www.rcq.gouv.qc.ca/RCQ212AffcherFicheTech.asp?intNoFilm=70253



    [13] https://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Pearce#Vie_priv%C3%A9e



    [14] https://fr.wikipedia.org/wiki/Terence_Stamp#Carri%C3%A8re_et_parcours



    [15] https://fr.wikipedia.org/wiki/Hugo_Weaving#Vie_priv%C3%A9e



    [16] https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9moires_d%27une_geisha



    [17] https://fr.wikipedia.org/wiki/Rain_Man



    [18] https://fr.wikipedia.org/wiki/Othello_(film,_1951)



    [19] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jojo_Rabbit#Distribution



    [20] https://fr.wikipedia.org/wiki/2001,_l%27Odyss%C3%A9e_de_l%27espace

    https://fr.wikipedia.org/wiki/2001,_l%27Odyss%C3%A9e_de_l%27espace#/media/Fichier:DawnOfManSuit.2001.jpg



    [21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Charlot_soldat



    [22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Feux_de_la_rampe



  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    1 septembre 2024


    Le 26 mars 2019, j'ai fait parvenir cette lettre au journal Le Devoir (bien entendu, elle n'a pas été publiée) :

    « L’Opéra de Montréal et le thème de l’homosexualité

    En 2016, l’Opéra de Montréal (OdM) présentait Les feluettes, un opéra de Kevin March, sur un livret de Michel Marc Bouchard (MMB), tiré de sa célèbre pièce, qui se passe de présentation [1]. En janvier et février de cette année, l’OdM faisait rebelotte avec Champion, un opéra en anglais de Terence Blanchard et Michael Cristofer portant sur le boxeur états-unien Emile Griffith [2], un homosexuel. Ces temps-ci, l’OdM présente Twenty-Seven, un opéra en anglais de Ricky Ian Gordon et Royce Vavrek [3], portant sur les lesbiennes Gertrude Stein et Alice Toklas. En 2021 et 2023, l’OdM remettra cela avec le librettiste MMB, pour deux opéras mis en musique par Julien Bilodeau : La beauté du monde et La reine garçon. [4]

    Le directeur de l’OdM, Patrick Corrigan, a déclaré en janvier : « Nous voulons que l’opéra devienne une vitrine sur la créativité québécoise, canadienne et ce qui touche les Montréalais. » [5] Pourtant, quatre des auteurs plus haut des trois opéras déjà présentés ne sont ni Canadiens ni Québécois [6]. Et en considérant que les causes justes sont innombrables, j’estime que cela fait beaucoup d’opéras abordant frontalement ou par la bande le thème de l’homosexualité. Pourrait-on en aborder d’autres ?

    Pour finir, MMB, déjà auteur d’un livret et de deux autres à venir en moins d’une décennie, c’est trop. Qu’on donne la chance à d’autres librettistes ! »

    Sylvio Le Blanc





    [1] https://www.operademontreal.com/programmation/les-feluettes



    [2] https://www.ledevoir.com/culture/musique/546273/l-opera-de-montreal-cultive-l-audace-d-un-champion



    [3] https://www.ledevoir.com/culture/musique/550595/twenty-seven-gertrude-entre-homard-et-genies



    [4] https://www.ledevoir.com/culture/musique/546273/l-opera-de-montreal-cultive-l-audace-d-un-champion

    Un des personnages importants de La beauté du monde (http://www.michelmarcbouchard.com/pieces-77.html) sera Rose Valland, une lesbienne (https://fr.wikipedia.org/wiki/Rose_Valland). L’homosexualité sera un volet important dans cet opéra. Par la voix de Valland, Michel Marc Bouchard fera ressortir que les nazis détestent les homosexuels, qu’ils veulent éliminer, comme les juifs. Il fera ressortir qu’à leurs yeux les œuvres d’art décadentes, contre-nature, étaient produites par des artistes homosexuels, désaxés, dégénérés, etc. Avec MMB, la cause homosexuelle est toujours prégnante. L’autre personnage important sera Jacques Jaujard (https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Jaujard#Vie_priv%C3%A9e). L’un des aspects intéressants pour MMB concernant ce dernier, c’est qu’il a divorcé à une époque où cela était très mal vu (le divorce des hétéros, je ne sais exactement pourquoi, intéresse beaucoup les homos, comme si ceux-ci espéraient que ceux-là virent homos une fois divorcés) et qu’il a épousé une célèbre comédienne de… théâtre (la passion de MMB). J’ai vu un excellent documentaire à la télé sur cette affaire.



    [5] https://www.ledevoir.com/culture/musique/546273/l-opera-de-montreal-cultive-l-audace-d-un-champion



    [6] https://www.operademontreal.com/compositeurs/kevin-march

    https://www.operademontreal.com/programmation/champion#compositeur

    https://www.operademontreal.com/librettistes/michael-cristofer

    https://www.operademontreal.com/compositeurs/ricky-ian-gordon



  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    1 septembre 2024


         Le 30 avril 2021, à quatre reprises, j’ai essayé de répondre à un commentaire de Nadia Alexan dans ledevoir.com à la suite d'une opinion écrite par Gérard Bouchard, sans succès. J’ai tenté d’adoucir mon propos au fur et à mesure des trois premiers refus, mais le modérateur a été impitoyable. Après le quatrième refus, il était trop tard. C’est de la censure.

    https://www.ledevoir.com/opinion/idees/599812/point-de-vue-refaire-le-lien-de-confiance-entre-majorite-et-minorites

    Sylvio Le Blanc - Abonné 30 avril 2021 09 h 49

         L'auteur pose la question : « N’est-il pas temps de prendre enfin au sérieux l’interculturalisme ? » Et si on revoyait en priorité notre politique d'immigration. Il faut se rendre à l'évidence : certains immigrés s'intègrent mieux que d'autres à notre société. Au lieu d'en tirer des conclusions, on continue à ne vouloir exclure personne. Et c'est comme ça que nous nous tirons une balle dans le pied. En outre, nous ne rendons pas service à ceux que nous savons qu'ils s'intégreront difficilement au Québec, à ceux que nous savons qu'ils s'intégreraient beaucoup mieux dans le Canada multiculturaliste.

     

    Nadia Alexan - Abonnée 30 avril 2021 11 h 03

         Au lieu d'écarter les immigrants comme vous le suggérer, monsieur Le Blanc, c'est mieux de les accueillir, mais avec des balises claires et nettes avant leur arrivée ici. Si vous voulez vivre au Québec, il faudrait que vous adhériez à notre langue et à nos valeurs. Nous devrons légiférer des lois contraignantes qui les obligent à respecter nos valeurs et nos mœurs.

    Les quatre commentaires refusés :

    2021-04-30 13:53:43               Vraiment pas d'accord Mme Nadia Alexan, Plusieurs immigrés sont prêts à mentir pour venir ici. Ils vont nous promettre mer et monde, et la première chose que vous apprenez, c'est que l'une porte le voile intégral sitôt installée et que l'autre déteste avec violence les homosexuels (j'ai connu un Camerounais dans ce dernier cas). Non merci. Refusé

    2021-04-30 16:57:05               Vraiment pas d'accord, Mme Nadia Alexan. Plusieurs immigrés sont prêts à mentir pour venir ici. Ils vont nous promettre mer et monde, et la première chose que vous apprenez, c'est que l'une porte le voile intégral sitôt installée et que l'autre déteste violemment les homosexuels. Non merci. Refusé

    2021-04-30 19:35:53               Vraiment pas d'accord, Mme Nadia Alexan. Plusieurs immigrés sont prêts à mentir pour venir ici. Ils vont nous promettre mer et monde, et la première chose que vous apprenez, c'est que l'une porte le voile intégral sitôt installée et que l'autre voit les homosexuels comme des pestiférés. Non merci. Refusé

    2021-04-30 23:20:11               Vraiment pas d'accord, Mme Nadia Alexan. Plusieurs immigrés sont prêts à mentir pour venir ici. L'une passe une entrevue sans voile, et la première chose que vous apprenez c'est qu'elle porte le voile intégral sitôt installée. Non merci. Refusé

    Sylvio Le Blanc

  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    1 septembre 2024


    La photo montrant Gabrielle Boulianne-Tremblay est indécente et sexiste. Une photo que j’imagine bien cadrer dans un autre journal connu et plus populaire auprès des masses.
    Si l’auteure trans avait été laide, l’idée n’aurait même pas effleuré la photographe, mais parce qu’elle ne ressemble pas à Safia Nolin, c’est vendeur. Son visage carré d’homme aura attiré la photographe.
    La photographe a déclaré : « Je voulais dénuder une partie de son corps qui pourrait montrer un peu sa féminité tout en demeurant respectueuse. » Quelle connerie ! Pourquoi ne pas avoir fait ça avec Marie-Claire Blais, lesbienne, avant qu’elle ne rende l’âme ? Ou encore Michel Tremblay, homosexuel ? Les deux ont une part de féminité en eux. Mme Boulianne-Tremblay n’a pas à « montrer un peu sa féminité », elle a changé de sexe, grand dieu.
    La sobriété aurait dû être de mise. Je doute qu’un écrivain, même bellâtre, aurait accepté une telle proposition.
    Sylvio Le Blanc

  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    1 septembre 2024


         Dans le Répertoire des membres de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (https://www.fpjq.org/fr/), on demande à chacun de détailler leurs secteurs d’activité privilégiés. L’un d’eux est : « Enjeux LGBTQ ». Ainsi, les éventuels employeurs savent à qui ils ont affaire.

         Je ne sais pas qui fait les embauches au journal Le Devoir, mais ça dérape sérieusement de ce côté. Par exemple, les deux derniers caricaturistes en poste [ne savait pas et ne sait pas] dessiner. C’est quand même incroyable. Du temps de Serge Chapleau, j’ouvrais systématiquement le journal à sa page. Il est fini ce temps béni.

    Sylvio Le Blanc

  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    30 août 2024


         Le critique de cinéma du Devoir écrit dans l'édition du 30 août ce qui suit, relativement au film français Dernière danse :

         « Certains passages semblent par ailleurs issus d’un autre temps, comme lorsque Germain est découvert en pleine répétition, chez lui, en compagnie de son jeune partenaire de danse : débarquée à l’improviste, sa petite-fille en conclut que « papy » est gai. Et, comme on le sait, qu’un hétéro soit pris pour un gai, c’est très drôle parce que… Parce que quoi, au fait ? Bref, de-ci, de-là, on est dans l’humour un brin ringard. » [1]

         Il nous défend de rire d'une pareille situation. Incroyable !

         Le critique Robert Lévesque (lui-même bisexuel) a déjà écrit que les minorités sexuelles devaient se faire discrètes (je ne me souviens plus des termes exacts, mais c'est ce que cela voulait dire). C'est ce que je pense moi aussi. Mais c'est tout le contraire qui se passe ces dernières années. Les minorités sexuelles se font voir et entendre comme jamais. Si elles pensent aider leur cause, ce faisant, elles se trompent.

    Sylvio Le Blanc

    [1] https://www.ledevoir.com/culture/cinema/818996/derniere-danse-veuf-presque-joyeux

  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    27 août 2024


    https://www.ledevoir.com/societe/755822/grand-format-en-photos-la-foire-d-ayer-s-cliff-dans-l-oeil-de-marie-france-coallier

    Je constate encore une fois que Marie-France Coallier a un parti pris pour les individus de sexe féminin. Ceux de sexe masculin qu’elle a photographiés, soit ils ont l’air con (ou ils sont flous), soit ils ont l’esprit bien « masculin » de compétition (photo no 7). Mme Coallier ne nous fait pas aimer les hommes (je ne suis pas homo).

    Sylvio Le Blanc

  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    27 août 2024


    Il est surprenant que la rédaction du Devoir laisse ses photographes traiter leur sujet comme des putes.

    Sylvio Le Blanc

    12 février | « La fille d’elle-même », premier roman d’autofiction francophone écrit par une femme trans au Québec, Gabrielle Boulianne-Tremblay, marque l’année littéraire. « Sans trop pousser », Marie-France Coallier réveille l’audace de l’autrice. « Je voulais dénuder une partie de son corps qui pourrait montrer un peu sa féminité tout en demeurant respectueuse. J’aurais pu très bien ne pas aller là du tout, mais j’ai eu l’instinct de le lui demander, sans vouloir la vexer, et elle a dit qu’elle était très ouverte à ça. » Cette photo est d’ailleurs la toute première image de Gabrielle Boulianne-Tremblay publiée dans un média. Marie-France Coallier Le Devoir

    https://www.ledevoir.com/societe/656760/photographie-en-photos-2021-dans-l-oeil-de-marie-france-coallier

  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    27 août 2024


    La journaliste du Devoir oublie à escient la signification première de cet anneau : un anus. L'architecte paysagiste Claude Cormier nous a tous bien en... tubés avec son chant du cygne.

    Sylvio Le Blanc

    ____________

    Un anneau gigantesque surplombera l’esplanade de la Place Ville-Marie


    Caroline Montpetit Le Devoir Publié le 26 avr. 2022 Culture

    C’est un anneau suspendu de 50 000 livres (soit environ 22 tonnes), signé Claude Cormier et associés, qui couronnera les travaux de l’esplanade de la Place Ville Marie, lancés en 2017 par Ivanhoé Cambridge, propriétaire de l’immeuble.

    L’anneau d’acier inoxydable, de 30 mètres de diamètre, occupera l’espace contenu entre les adresses 3 et 4 de la Place Ville Marie. Le tout sera illuminé en soirée à partir de l’automne.

    L’équipe d’Ivanhoé Cambridge annonce d’ailleurs que l’esplanade accueillera des spectacles cet été.

    L’anneau de l’esplanade de la Place Ville Marie se veut une porte d’entrée sur le centre-ville. Son concepteur, Claude Cormier, aime l’inscrire dans une série de repères marquants dans l’histoire de Montréal, avec les vues qu’il encadre sur le parc du Mont-Royal et sur l’hôpital Royal Victoria, ainsi que sur l’avenue McGill College, qui vient d’être redessinée et qui sera piétonne.

    « On a décidé de créer une lentille pour permettre de voir et mettre en valeur la perspective visuelle », dit Claude Cormier, à qui l’on doit notamment 18 nuances de gai, l’enfilade de boules colorées suspendues au-dessus de la rue Sainte-Catherine.

    Vœux de continuité et d’accessibilité

    L’anneau sera donc suspendu au-dessus de l’escalier, qui avait d’ailleurs été planifié au moment de la création de la Place Ville Marie, mais qui n’avait jamais été construit. « Cette ouverture était prévue dans le plan », poursuit Claude Cormier. L’escalier complétera ainsi le geste amorcé dans les années 1960.

    Malgré les effets de la pandémie sur la fréquentation du centre-ville, Ivanhoé Cambridge souhaite ouvrir ces espaces à l’ensemble de la population, et non seulement aux personnes qui travaillent à la Place Ville Marie. L’investisseur souhaite aussi faire de ces lieux de travail un site « essentiel et pertinent ». « On s’est demandé comment faire pour que les bureaux soient intéressants, pas seulement pour les locataires, mais pour les employés qui y travaillent », dit Annik Desmarteau, vice-présidente bureaux au Québec chez Ivanhoé Cambridge.

    L’installation de cet anneau final arrive au moment où la Place Ville Marie célèbre son 60e anniversaire.

  • Les minorités sexuelles en mènent large au journal « Le Devoir »

    27 août 2024


    Montréal, le 23 juin 2020

    Le tâcheron Joel Schumacher et Le Devoir

    Le critique de cinéma François Lévesque a du temps à perdre. Écrire un si long papier (voir plus bas), sur un cinéaste aussi moyen que Joel Schumacher, décédé le 22 juin, cela dépasse l’entendement.

    Mediafilm a coté ses 25 films : pas un n’a obtenu les cotes 3 (très bon), 2 (remarquable) ou 1 (chef-d’œuvre). En revanche, 14 de ses films ont obtenu les cotes 5 (moyen) ou 6 (médiocre). Je suis porté à penser que la seule raison pour laquelle M. Lévesque a écrit un tel texte sur Schumacher, c’est que celui-ci était homosexuel. C’est ce qu’on appelle soutenir une cause. M. Lévesque serait donc un journaliste doublé d’un militant. Ce n’est pas la première fois que les textes de ce dernier me font sursauter.

    Quand je pense que Le Devoir n’a même pas souligné la mort du grand cinéaste grec Michael Cacoyannis, disparu en 2011. M. Lévesque aurait pu le faire, lui qui est en poste depuis 2008.

    Sylvio Le Blanc

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    Décès du réalisateur Joel Schumacher


    François Lévesque Le Devoir Publié le 23 juin 2020 Cinéma

    Pendant une bonne partie des années 1980 et 1990, Joel Schumacher fut non seulement l’un des « réalisateurs à tout faire » les plus occupés d’Hollywood, mais aussi l’un de ceux qui y réussirent le mieux. Aux yeux du public, à tout le moins. En effet, le cinéaste décédé le 22 juin à 80 ans des suites d’un cancer n’était guère apprécié des critiques. Il reste que l’évocation de nombre de ses films ne manque pas de susciter des souvenirs émus auprès des générations ayant grandi auxdites époques. Du sentimental à l’horreur, St. Elmo’s Fire et The Lost Boys sont emblématiques d’une filmographie hétéroclite.

    C’est que le cinéma, Joel Schumacher l’aima toujours dans toute sa diversité. Il vint au monde à New York, en 1939. Au magazine Vulture, il déclara à ce propos en 2019 :

    « Je n’ai pas grandi avec Dieu et du tapis mur-à-mur, le standard de la classe moyenne. Si vous étiez un enfant unique, que votre père était mort et que votre mère travaillait six jours semaine et trois soirs semaine, vous étiez libre. J’étais seul. Et la rue a été mon école. »

    La rue, et le cinéma sis juste derrière chez lui. « J’ai toujours été une personne visuelle, alors j’habitais dans ce cinéma », confia-t-il à la BBC. Mais en dépit d’une passion précoce pour le septième art, Joel Schumacher s’orienta d’abord dans le domaine de la mode. À la Parson School of Design, il rafla tous les prix : encore étudiant, il habillait la vitrine de la boutique Henri Bendel, longtemps un des joyaux de la Grosse Pomme.

    Puis, l’appel du cinéma se fit pressant, et c’est par l’entremise de la mode que Joel Schumacher y perça. En effet, Woody Allen lui confia la création des costumes de sa comédie de science-fiction Sleeper, en 1973. Schumacher écrivit ensuite divers scénarios (Sparkle, Car Wash, The Wiz) avant qu’enfin, on lui confie sa première réalisation : The Incredible Shrinking Woman (1981), comédie fantaisiste où Lily Tomlin se met à rapetisser. Ce fut une production difficile, et Joel Schumacher faillit retourner à la mode.

    Or, en ce qui devait devenir un cas de figure récurrent, le film fut un succès populaire malgré un accueil critique tiède. Après le plus confidentiel D.C. Cab (1983), une comédie d’action avec Mister T., vint le film qui changea la donne pour le réalisateur : St. Elmo’s Fire (1985). Aucun studio ne voulait de ce projet sur de jeunes adultes qui se cherchent après l’université.

    Sur la recommandation de John Hughes, qui venait de les diriger dans Breakfast Club, alors en montage, Ally Sheedy, Emilio Estevez et Judd Nelson furent embauchés. S’ajoutèrent les Demi Moore, Rob Lowe, Anthony McCarthy, Andie MacDowell…

    Le surnom « Brat Pack », en référence au « Rat Pack » de Sinatra, Crosby et compagnie, en vint à désigner les membres de la distribution des deux films, qui cartonnèrent. Contrairement à Breakfast Club toutefois, St. Elmo’s Fire fut éviscéré par la critique : Schumacher le tâcheron qui confond forme et fond.

    Grasses recettes à nouveau et réception plus clémente pour The Lost Boys (1987), dans lequel un adolescent (Corey Haim) découvre que son grand frère (Jason Patric) se transforme en vampire après s’être acoquiné à une bande de délinquants aux canines pointues.

    Rythme effréné

    S’ensuivit un rythme professionnel effréné. Alors la star la plus populaire de la planète, Julia Roberts tourna coup sur coup avec Joel Schumacher Flatliners (1990), sur des étudiants en médecine qui jouent avec la mort, et Dying Young (1991), ou l’amour entre une jeune femme pauvre et un riche mourant. Mauvaises critiques et gros revenus, bis.

    Durant cette période parut également Falling Down (1993), un thriller psychologique dans lequel Michael Douglas interprète un homme qui craque. Pour une rare fois, la critique aima, mais le public, moins. En alternance, Schumacher réalisa deux adaptations de best-sellers de John Grisham et deux Batman.

    Si les thrillers juridiques The Client, avec Susan Sarandon, et A Time to Kill, avec Sandra Bullock, firent bonne figure, Batman Forever, avec Val Kilmer, et surtout Batman and Robin, avec George Clooney, furent esquintés à raison.

    Fin des superproductions, mais pas des vedettes, qui adoraient Schumacher et continuèrent d’affluer aux génériques de films inégaux. Du lot se distinguent Tigerland et Phone Booth, drame de guerre et thriller d’un minimalisme étonnant, tous deux avec Colin Farrell.

    Pour la petite histoire, Joel Schumacher fut l’un des très rares cinéastes de sa génération à afficher son homosexualité sa carrière durant. Quant à ses films, il affirma à Vulture les avoir faits pour le public, uniquement.

    « Il y a des années lorsque je tournais en Angleterre, il y avait une exposition à la National Gallery de [James McNeill] Whistler et [John Singer] Sargent. Tant Whistler que Sargent étaient détestés des critiques, et ils ont fait quelque chose de brillant. Juste à côté sur le mur, encadrées près des tableaux, étaient accrochées ces critiques horribles. Qui se souvient de ces critiques ? »


    [1] https://www.ledevoir.com/culture/cinema/581292/cinema-deces-du-realisateur-joel-schumacher



    [2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Joel_Schumacher


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    Henri Marineau


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  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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