Fred Pellerin, le pèlerin du conte québécois
12 juin 2013
Merci pour ce met-sage positif, ca fait du bien de se reconnaitre dans les meilleurs d'entre-nous.
12 juin 2013
Merci pour ce met-sage positif, ca fait du bien de se reconnaitre dans les meilleurs d'entre-nous.
8 juin 2013
Deuxième prise.
La dislocation est en train d'avoir lieu. Elle se manifestera au grand jour à travers la tombée de la devise.
A partir de là, on fait quoi ?
Se préparer.
Comment ?
Rassembler nos troupes.
Connaitre et pairer nos forces, faiblesses, projets, etc.
Un commentateur a parlé de Vigile et son importance dans le contexte. Il a tout à fait raison.
Mais la formule actuelle de Vigile n'est pas suffisament efficace pour véritablement contribuer à ce rassemblement des troupes.
Vigile 2.0 est requis et une plénière digne de ce nom est requise pour rassembler les idées, les bénévoles et se lancer dans ce nouveau chantier.
Comment se fait-il que ce type de commentaire fait-il si peu écho au sein de la communauté vigilienne ?
A l'équipe de Vigile, je vous offres mon expérience dans le financement si jamais l'aventure d'un renforcement de cette heureuse initiative de Monsieur Frappier vous interpelle.
8 juin 2013
Wow, quel article Monsieur Haché !!
Vous êtes dans le mille. Le CH appartient à tous les Québécois et le monde journalistique a certainement besoin de se secouer et sortir de leur...mièvrerie...je me retiens ici.
Quant aux manoeuvres du West Island, oufff, il était grand temps que quelqu'un avec une plume comme la vôtre, traite de ce sujet qui aussi délicat soit-il, mérite d'être dit au grand jour. Mes poils commencent à s'hérisser avec cette anglicisation de Montréal et les "pommiers" en fleurs de l'Ouest de Montréal.
Je souligne à grand trait ce passage de votre article:
Et toute notre presse à Nous, à genoux, muette et complice, incapable seulement de se relever maintenant pour dire aux fans qu’Aubut est un intimideur et que Bettman est un dictateur mégalomane à l’égard des fans de Québec, les meilleurs de toute l’Amérique du Nord, cette grosse presse restera pliée.
7 juin 2013
@ Monsieur Haché,
Je crois comprendre ce que vous dites. Mais pour que cette paix auquelle vous faites référence à travers la douceur des tambours, puisse prendre racine dans notre communauté, il est essentiel que nous puissions créer un terreau culturel propice au partage et à l'affirmation sereine de soi. La langue, l'amour de la langue, celle des francs est un premier départ.
7 juin 2013
Merci Monsieur Tétreault pour cette enrichissante contribution. Enfin, un texte qui nous ramène sur le plancher des vaches.
Vous écrivez avec beaucoup d'aplomb: " C’est aussi le cas des indépendantistes, insouciants à reconnaître que la cité Montréal Nous échappe, à ce point que toutes les conditions sont maintenant réunies pour qu’après avoir fait sécession d’un certain Montréal, le West Island puisse compléter une partition advenant que Nous parlions trop fort de liberté.
Très juste! Qui plus est, si aucun coup de barre n'est donné pour réduire le flux migratoire (près de 50 000 immigrants/année) et corriger la faiblesse de nos politiques d'intégration, Montréal deviendra un pays dans un pays.
Vous avez raison de nous rappeler l'importance de Montréal sur l'échiquier national. Maintenant, il serait opportun d'inclure dans l'équation de la souveraineté d'une ville, les facteurs cohésifs qui permettent et maintiennent cette souveraineté.
Or Montréal est actuellement déchiré par l'intérieur alors que s'est accéléré sous l'insipide gouvernance économique de Charest, le processus d'anglicisation et de fragmentation (défusion).
La situation est telle que nous avons dans le West Island, un bloc monolitique de valeurs politiques, qui une fois conquis permettra aux partis politiques de prendre le pouvoir à Québec. Nous sommes entrés dans une zone dangereuse où faute de mesures correctives, il sera difficile de retourner à une souveraineté linguistique francraise sans casser des oeufs.
En créant un contexte où les anglophones de Montréal prennent pour acquis que Montréal est devenu et restera une ville anglophone, nous nous assurons que Québec restera à jamais une province.
Bref, il y a péril en la demeure. Vous faites très bien de ramener ce sujet sur la table.
30 mai 2013
Monsieur Pomerleau, nous sommes sur la même longueur d'onde.
Pas de problème avec le bateau. Quant au capitaine, il reste à espérer que vous ayez raison, et que la transition se fasse avec cette célérité, ce calme et cette sagesse que commande une xième transition au PQ
Si il en advient ainsi, Mme. Marois sortira grande gagnante de l'aventure.
30 mai 2013
Vous avez tout à fait raison. C'est triste mais c'est comme cela.
On nous enfonce Mme. Marois et ses collaborateurs dans la gorge au nom de la patrie. Ca ne peut pas fonctionner comme cela.
Ce qui m'attriste aussi, c'est qu'un homme brillant comme Monsieur Le Hir ne veuilles pas voir ce que vous voyer.
29 mai 2013
Premier constat: "...la « bulle » du pouvoir se met rapidement en mode défensif face aux nombreuses critiques qu’attire nécessairement toute gouvernance erratique et le sentiment d’avoir raison envers et contre tous s’y installe. Josée Boileau http://vigile.net/Pauline-Marois-et-le-syndrome-du
Deuxième constat: Si, comme vous l'écrivez, l'ennemi a une telle "force" (pourtant, dans le contexte de la corruption et des gaffes harpeuriennes, jamais l'ennemi n'a été aussi faible), il y a donc toutes les raisons au monde pour se donner les moyens de vaincre avec ce que nous avons à notre disposition. La division entre nous est donc à proscrire. Mais voilà, au lieu de la solution facile (la démission de Marois) on choisit la plus difficile, voire celle qui est impossible, que les milliers d'indépendantistes mettent leur confiance dans un parti qui après le passage de Bouchard, n'est plus l'ombre de lui même.
Normand Perry fait référence à cette, ô combien étrange, dynamique de quémandage de votes du PQ où l'on demande à tous les indépendantistes de saborder leurs navires respectifs et joindre un équipage pourtant compétent mais au capitaine louvoyant et sans direction.
Dites-moi Monsieur Haché, où est cette conviction chez le PQ?
Je n'ai pas l'ombre d'un doute que cette souveraineté peut se faire, si et seulement si, cette conviction est doublée d'une approche inclusive et d'une confiance en nos moyens. Cette confiance n'est pas là. Pas du côté du PQ en tout cas.
Nous avons des politiciens professionnels à l'oeuvre. Nous en payons le prix.
Ce qui est arrivé à Yves Michaud, est un exemple de ce que l'on fait avec ceux qui ont la conviction et le moindrement de moyens pour faire face à la machine.
La machine est brisée Monsieur Haché. C'est pour cette raison qu'on nous sert maintenant, l'argument du pragmatisme. Choisir le moindre mal.
Si je croyais le moindrement que les choses seraient différentes sous Marois, je voterais pour elle, et avec grands plaisir.
Ce n'est pas de gaieté de coeur que je demande la démission, et rapide, de madame Marois et sa garde rapprochée.
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Je vous laisse avec quelques perles de sagesse:
« Sacrifier la conviction à la situation, ce n'est pas trahir, c'est simplement vieillir. »Jean-Marie Domenach - Doit-on conclure que Mme. Marois sombre dans les affres de la vieillesse ?
« La valeur d'une idée n'a rien à voir avec la conviction de celui qui l'exprime. » Wilde - L'idée donc, d'une gouvernance souverainiste a peut-être sa grande valeur mais lorsque la conviction de ceux qui l'expriment est chambranlante, tout dérape...
« Le leadership est le produit d’une personnalité attachante associée à une force de conviction permettant d’entraîner les autres sur des projets ambitieux. »
Jean-François Rial - A vous de voir si madame Marois a ce qu'il faut pour être la capitaine du bateau...
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29 mai 2013
« Le courage croît en osant et la peur en hésitant. »
Proverbe romain
Et ce gouvernement ne fait qu'hésiter, peur de ne pas plaire à l'establishment.
29 mai 2013
D'accord avec le fonds mais bonyenne que vous pouvez être fielleux avec vos commentateurs.
Verser de l'acide sur des mains ouvertes, en dit long sur cette sensibilité que vous cachez derrière vos gros mots (maux).
« Le cynisme, c'est connaître le prix de tout, et la valeur de rien ! »Oscar Wilde
29 mai 2013
@ Emilie, Dans une vraie guerre, comme vous dites, on s'organise pour avoir un général et une garde rapprochée qui exploitent la faiblesse de l'ennemi, qui révélent les forces de ces troupes, et qui inspirent l'ensemble de leur armée à gagner les batailles.
Madame Marois et son équipe font tout sauf cela.
Vous demandez de parler de positif, je ne demande pas mieux. Où devrais-je regarder ?
Le positif au PQ, je l'ai vu dans le premier mois de gouvernance. Et puis, par la suite tout s'est écrasé.
La stratégie du PQ fut celle-ci:
1. On impressionne nos partisans et on frappe fort en début de mandat.
2. Comme on est minoritaire, et qu'on ne veut pas perdre le pouvoir, on donne un peu de "lousse" aux autres partis, et on montre au peuple qu'on est capable de gouverner.
RÉSULTATS:
Les "impressionnés" comme moi, sont amèrement décus de la débandade du PQ.
L"ennemi" s'en fait des choux gras, et mentionne sur toutes les tribunes que le PQ ne fait que reculer.
Alors, SVP ménagez vous, et ménagez nous. Je comprends que vous avez une peur rouge des libéraux mais dans le contexte, la crainte (productive) que vous devriez avoir, c'est celle d'avoir un parti indépendantiste qui perde toute crédibilité sous la gouverne de Madame Marois.
Vous auriez donc intérêt à communiquer avec la direction du PQ et les inviter à se bouger le c... pcq ils vont se faire manger tout rond aux prochaines élections.
Les Québécois ont horreur de ce qui est tiède. Tenez vous le pour dit.
29 mai 2013
Monsieur Le Hir,
Votre dernier commentaire m'a touché. Vraiment.
Oui pour le PQ mais doit-on absolument prendre le bateau ET le capitaine ?
Si les supporters du PQ était aussi persistants à bien conseiller Mme. Marois ou encore à l'influencer pour offrir son poste à quelqu'un d'autres, nous n'en serions pas là.
C'est surréel, au lieu de convaincre une personne à quitter son poste, vous vous acharnez à essayer de convaincre des milliers de personnes de se boucher le nez et voter pour elle. Car c'est malheureusement bien de cela qu'il s'agit, on ne vote pas pour le PQ mais pour celle qui lui donne sa couleur actuellement. Et le peuple ne fait pas confiance à Marois.
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En réponse à Emilie:
Émilie: "Moi je souhaiterais que vigile élimine tous les messages qui parle contre PQ jusqu’à la prochaine élection. Réponse: Wow, vous vous inspirez de Mme. Marois, c'est effectivement ce qu'elle a fait à certaines assemblée d'investiture ou Congrès régional (http://www.vigile.net/Post-Mortem-Citoyen-du-Congres ). J'ai moi-même essuyé les critiques acerbes par les pro Marois lors de ces assemblées. Vous voulez taire toutes les critiques du PQ (de fait, de Marois) sous prétexte que l'on doit choisir entre le pire et le moindre mal. Si Vigile est lu, c'est justement parce qu'on peut y lire les pour et les contres.
Émilie: "J’entends déjà les hauts cris pour la libre expression. Il y a des fois pour arriver à nos fins, il faut brimer la liberté des uns pour en donner à d’autres. Réponse: ET qui sont ces "autres" ? Vous ? Que faites-vous de la majorité de la population qui n'écoute plus Mme. Marois ? Que faites vous de Parizeau, Landry, Ausant et bien d'autres ténors qui croient que Madame Marois a fait ce qu'elle pouvait et qu'il était temps de passer le flambeau ?
Emilie: "La libre expression, mal utilisée, est plus nuisible parce qu’elle répète souvent les mêmes propos inutiles, ici étant que tous les commentaires négatifs sont repris et retournés contre nous par l’ennemi. Réponse: L'ennemi, Madame, est plus près de vous que vous pourriez le croire. Votre amie, n'est peut-être pas celle que vous croyez.
Emilie: "Sur vigile les commentaires négatifs contre le PQ ont été répétés sans relâche et c’est toujours la même chose finalement." Réponse: Ce pourrait t'il que si ces commentaires sont toujours les mêmes, c'est que quelqu'un quelques parts, fait toujours les mêmes erreurs ?
Emilie: "La parole est d’argent et le silence est d’or. Les souverainistes doivent apprendre à se taire au bon moment et c’est maintenant le bon moment." Et si je vous disais, que c'est justement le temps où jamais d'aider le PQ à poursuivre dans sa voie pitoyable, pour qu'on en finisse une fois pour toute, et qu'une fois le capitaine partie, l'on ait un navire amiral digne de ce nom ?
Personne ne suit Stéphane Sauvé. Soyez le premier!