Des messages positifs
20 novembre 2010
Quelle erreur!
Lorsque je me suis lu, j'ai vu « 200 000 milles » Ouf! il y a un "milles" de trop!
Cette erreur est sans doute due à mon enthousiasme, mon espoir, mon rêve!
Monsieur Fortin, encore une fois, avec sa grande sagesse, nous suggère une excellente «attaque» pour présenter «efficacement» le projet.
Je l'approuve à cent pour cent.
Il faut des citoyens, Il faut des citoyens qui ont à cœur l'Indépendance.
Y a-t-il des citoyens qui ont à cœur l'Indépendance?
Il est temps de sortir de l'ombre et de mettre l'épaule à la roue.
Le Pays se fera avec la force citoyenne ou ne se fera pas.
Et les ténors?
Et même Vigile?
Pourquoi donc cette réserve?
Pourquoi donc tant de silences??
Mme Ferretti ???
Monsieur Le Hir (en vacances probablement).
Monsieur Paquette ?
Et pourquoi pas, les anciens premiers ministres indépendantistes?
Et les députés indépendantistes actuels?
Sans doute que ces gens ne lisent pas Vigile.
Ou que l'idée n'est pas suffisamment "partisane ".
Une députée du PQ disait lorsqu'un bon samaritain lui présenta le projet de la «Déclaration citoyenne pour l'Indépendance» que «seul» le PQ peut faire l'Indépendance!
Ah! Bon! Ça part bien! On le veut le Pays, mais à la condition que ce soit nous et seulement nous qui le faisions. Ce n'est pas une mentalité péquiste, c'est aussi une mentalité des Solidaires (QS) et des Indépendantistes (PI) et de tous les autres finalement.
Dans un commentaire sous «L’école de l’Indépendance» http://www.vigile.net/L-ecole-de-l-Independance Monsieur Marius Morin dit: «Je suis d’accord avec une vaste compagne de signatures de tous les Québécois pour qu’ils puissent manifester clairement leur volonté d’indépendance du Québec. Mais il y a un problème, le temps n’est pas propice présentement…
Depuis le début de ce projet, j'ai entendu cette remarque.
Je crois que cette remarque sera «éternelle».
Ça ressemble à l'idée du référendum qui n'est jamais rendu aux conditions gagnantes!
Monsieur Morin a peut-être raison, mais raison ou pas, nous sommes devant un dilemme. Agir ou pas. Faire des gestes ou pas. Gueuler sans agir ou agir de façon si déterminée que nous ne nous préoccupons si peu des conditions gagnantes que nous les imposons ces conditions. Nous disons au peuple québécois d'agir. Vont-ils agir?
Il faut en finir et savoir si nous le voulons le Pays, oui ou non.
Si près de 50% ont dit «OUI» et même deux fois «OUI», il est temps de démontrer aux autres que les problèmes auxquels ils sont confrontés peuvent être résolus en étant «Maîtres chez eux».
Monsieur Morin soulève le problème d'agir ou pas.
Ne pas agir parce que ce serait "néfaste" d'agir?????
Qui sait?
Tant que nous n'agissons pas, nous ne risquons rien, mais nous subissons quotidiennement la défaite par notre inaction et notre soumission.
M. Morin a peut-être raison. Mais quelle est la différence entre se casser la gueule et mettre de côté la reconnaissance du Pays pendant des années ou attendre des années exactement comme si on s'était cassé la gueule ?
Dire aux gens de signer et que c'est IMPORTANT de signer, ce n'est VRAIM'ENT pas la fin du monde et sûrement pas la fin du désir du Pays et du mouvement Indépendantiste.
Non, je ne crois pas que l'ACTION, enfin une petite ACTION soit si "néfaste".
Y a-t-il des Indépendantistes au Québec ????
Si OUI, signez. On verra bien. Si vous voulez faire reconnaître le Pays dans lequel vous vivez, signez.
Plus simple que cela, tu meurs!
Je n'en peux plus d'entendre: «L'idée est bonne, MAIS…
Serge Charbonneau
Québec