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Pierre Gouin

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Un parti pourri, deux de centre droit?

Le parti québécois doit mettre cartes sur table

  • Pierre Gouin
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Sabia: regarder vers l'avenir sans comprendre ce qui s'est passé

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Avant les remèdes, un bon diagnostic

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L'élite au pouvoir, même dans l'opposition

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Shell ne polluera plus au Québec

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  • 12 janvier 2010
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Qui doit décider de l'avenir d'Hydro-Québec?

  • Pierre Gouin
  • 14 novembre 2009
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Commentaires de Pierre Gouin

  • L'école en otage

    5 octobre 2015


    Les mensonges d’une propagande

    Les ministres libéraux ne peuvent dire que des bêtises lorsqu’ils ont à justifier leurs coupures, que ce soit dans l’éducation, la présence internationale du Québec, la culture ou ailleurs. Nos derniers gouvernements libéraux sont embarrassés dans leurs mensonges. Ils ont vraiment exploité le thème du déficit à l’extrême. On a admis facilement que les finances publiques devaient être équilibrées. On a accepté sans broncher qu’il fallait donc couper dans les dépenses. Jusqu’à récemment les gouvernements prétendaient même le faire sans affecter les services publics, une fable qui n’a jamais été proche de la réalité.
    Ce qui est bien réel c’est que les déficits sont apparus avec la crise de 2008 parce que pendant dix ans les gouvernements, incluant le fédéral, avaient miné leurs revenus en diminuant les impôts sur le revenu et en multipliant les échappatoires fiscales.
    Le gouvernement du Québec triche aussi ouvertement avec la comptabilité en incluant dans les dépenses annuelles le milliard de dollars en placements qui sont destinés au remboursement de la dette et, aux dires du Vérificateur général, en inventant au besoin quelques milliards de dollars de dépenses. Le gouvernement est tellement convaincu d’avoir les coudées franches qu’il annonce en même temps pour l’an prochain des coupures additionnelles de dépenses publiques et des baisses d’impôt.
    Le virage idéologique libéral qui consiste à assurer que les citoyens qui ont réussi à s’enrichir n’aient pas à financer par leurs impôts des services publics de qualité pour les citoyens moins prospères n’a jamais été débattu en campagne électorale ni approuvé par l’électorat. L’idéologie du chacun pour soi a été introduite sournoisement.
    Cependant, tout Québécois le moindrement informé comprend que la lutte au déficit est un prétexte, une fraude intellectuelle. Pour un citoyen qui mise sur son bon sens, la froideur du Premier ministre lorsqu’il a admis que les coupures affectent les Québécois les plus démunis est suffisamment éclairante. Les ministres libéraux ont toujours coupé sans peine, leur sourire nous dit : mission accomplie.
    Comment expliquer le succès des libéraux, l’élection de Couillard après Charest? Il semble qu’en général les Québécois les plus prospères, qui ont l’écoute des médias et une forte influence sur le citoyen moyen, aient comme priorité leurs baisses d’impôt.
    Si la propagande libérale vise à opérer un transfert de richesse vers les mieux nantis, le choix des coupures et les changements structurels envisagés indiquent qu’elle vise tout autant à affaiblir l’État québécois. Cela explique sans doute la puissance des appuis aux gouvernements libéraux et la hargne qui les anime.

  • Le Canada anglais vole au secours du Québec

    29 janvier 2015


    Est-ce que le problème ça ne serait pas le Canada ?

    Le Canada anglais ne vole pas au secours du Québec, il défend ses intérêts. C’est ce que le gouvernement du Québec ferait aussi dans ce nouveau dossier si on avait un gouvernement qui prenait à cœur les intérêts des Québécois.

    Même si le gouvernement fédéral devait intégrer les dispositions sur le risque systémique à un projet sur la réglementation des valeurs mobilières, ces nouvelles dispositions sont indépendantes de la création d’une agence fédérale de réglementation et du jugement de la cour suprême sur le maintien d’agences provinciales. Comme le souligne le Report on Business, la « nouvelle compétence » fédérale au titre du risque systémique est d’application générale au Canada, indépendamment du fait qu’une province ait adhéré ou non au projet...coopératif du pouvoir central. Autrement dit, le fédéral aurait pu se donner ces pouvoirs même si son projet d’agence avait été rejeté.

    La bataille des provinces canadiennes, et éventuellement du Québec, sera probablement perdue, mais c’est essentiel pour nous de mener toutes les batailles légitimes contre Ottawa. Elles sont le plus souvent perdues, et certaines victoires peuvent avoir l’air de défaites, mais l’incapacité du Canada à répondre aux aspirations du Québec est la principale raison de quitter cette galère et c’est notre meilleur argument pour convaincre les Québécois hésitants.

  • Refaire l'histoire

    17 septembre 2014


    M. Aussant pose en indépendantiste convaincu, en rassembleur, mais son discours contredit l'image de Messie que plusieurs semblent lui reconnaître. Voir mon commentaire à l'article : Jean-Martin Aussant sort de l’ombre, Henri Marineau, Tribune libre de Vigile, mercredi 10 septembre.

  • Jean-Martin Aussant sort de l'ombre

    10 septembre 2014


    Dur à suivre ce marin qui a quitté le navire

    Une chicane avec le gouvernement fédéral afin qu'il paie le Québec pour percevoir ses impôts à l'avenir, c'est de l'audace? Il faut plutôt expliquer qu'avec l'indépendance le Québec percevra et gardera tous les impôts.
    Se lancer dans un débat sur la gratuité scolaire, c'est rassembleur ou suicidaire? Il faut plutôt expliquer que les économies générées par l'indépendance permettront d'améliorer les services publics et de faire des choix de société comme la gratuité scolaire
    Le débat sur le mode de scrutin ne pourrait-il pas se faire au lendemain de l'indépendance? Si l'indépendance est la priorité et qu'on y croit, on ne divise pas les troupes en essayant de régler tous les problèmes de la société.
    Si je ne parle pas du LIT, qui me semble équivalent à une élection référendaire, c'est que M. Aussant ne le mentionne pas dans sa dernière lettre.
    M. Aussant suggère de virer l'équipage qui a fait naufrage. J'ose espérer qu'il ne se proposera pas comme capitaine et que M. Péladeau aura quelque chose de plus mobilisateur à mettre sur la table.

  • Aux détracteurs

    13 mai 2014


    Les libéraux veulent notre bien

    Les libéraux veulent rester au pouvoir, ils voient loin. Ils ne vont pas provoquer une récession, ils ne vont pas couper radicalement dans les dépenses. La crise est sous contrôle. Il ne faut pas croire que les gouvernements néo-libéraux profitent d'une situation budgétaire difficile pour appliquer leur programme. Au Canada comme ailleurs, ils ont créé eux-mêmes cette situation en légalisant l'évasion fiscale pour les plus riches et en coupant dans les taux d'imposition sur les revenus élevés. Pour s'assurer que l'état des finances demeure précaire ils gèrent l'ensemble des budgets courants sans rigueur et sans contrôle, comme le montre la croissance des dépenses sous Charest, et profitent de la panique pour s'attaquer aux programmes sociaux. Comme sous Charest, les nouvelles places en CPE viennent d'être gelées et elles seront nécessairement remplacées par des places en garderies privées qui coûtent pratiquement aussi cher en crédit d'impôt et grugent ainsi les revenus de l'État.

    Finalement, on créé une impression de prospérité, nécessaire à la réélection, en investissant massivement dans les infrastructures publiques, ce qui amènera la dette à un niveau critique et obligera l'État à brader ses actifs les plus rentables au profit des complices du privé.

    Les libéraux vont se donner du temps, ils savent où ils vont.

  • La campagne électorale vue comme «un match de hockey»

    19 mars 2014


    Le «deal» de Couillard: Je connais des choses croches que tu as faites, si tu ne parles pas de mes problèmes d'éthique je ne parlerai pas des tiens. On s'entend, les électeurs n'ont pas à connaître ça.
    Couillard a perdu tout sens de l'éthique, je ne sais pas ce que Marois en fera, mais est-ce que les médias sont prêts à respecter ce «deal»?

  • L'étranglement fiscal du Québec

    4 janvier 2014


    Très bon texte. Vous ne prétendez pas que cette stratégie budgétaire fédérale vise à étrangler le Québec, mais vous dites simplement que le Québec pourrait profiter de ces perspectives sombres, résultant de choix fédéraux, pour sortir du Canada. Sauf pour ceux qui ne veulent pas le voir, le biais anti-Québec des politiques économiques fédérales est évident, surtout depuis le référendum de 1995. Vous parlez maintenant d'autre chose, soit la volonté du fédéral d'imposer le capitalisme mondial sauvage aux provinces, c'est-à dire à la population canadienne.

    C'est vrai que les prévisions économiques et fiscales à long terme sont peu fiables et que différents facteurs imprévus et incontrôlables peuvent produire une réalité bien meilleure ou bien pire que prévue. Cependant, les politiques économiques ont des effets prévisibles et elles sont décidées par des gouvernements théoriquement démocratiques. Elles peuvent et doivent donc être questionnées. Nos politiciens canadiens ne nous disent pas qu'ils font du mieux qu'ils peuvent compte tenu des contraintes de l'économie mondiale, ils essaient de nous faire croire que le système capitalisme mondial est très bien et que nous avons la chance comme citoyens canadiens d'avoir du pétrole pour nous assurer d'être du côté des gagnants.

    La stratégie budgétaire fédérale vise à réduire l'action de l'État, laisser les citoyens à eux mêmes et maximiser les opportunités de profits. La proposition d'éliminer la dette du Québec, en coupant dans les services, pour s'affranchir des prêteurs internationaux est naïve et fait le jeu du système. Il est normal qu'un État emprunte pour faire des investissement à long terme et servir sa population dans le futur. Il faut seulement que les citoyens épargnent suffisamment pout financer ces investissements, directement ou par des transferts internationaux, et nous l'avons bien fait jusqu'à récemment. Nous ne sommes pas à la merci des investisseurs, ils ont trop d'argent à investir et, par exemple, ils n'ont pas le choix de prêter leur argent à taux très faibles à nos gouvernements actuellement. C'est la gestion catastrophique des dépenses en infrastructures du gouvernement Charest, un gouvernement qui visait à mettre le Québec en faillite, qui a fait exploser notre dette nationale. La situation peut facilement être corrigée. De plus, les services publics sont difficiles à financer parce que les riches et beaucoup d'entreprises profitables ne paient plus d'impôt. Cela peut aussi être corrigé sans chasser les investisseurs internationaux.

    La réticence du gouvernement Marois à prélever un peu plus d'impôt chez les mieux nantis, simplement revenir aux taux d'imposition d'il y a dix ou quinze ans et s'attaquer aux abris fiscaux, ainsi que son préjugé favorable au pétrole de l'ouest, sont pour moi très déprimants. Que vaudront la langue, la culture et le respect de nos ancêtres qui ont bâti ce pays, si on doit se prosterner devant un dieu et maître Cash. En affaires, il faut se tenir debout et négocier ferme.

  • Les jours de Couillard sont comptés

    24 novembre 2013


    M. Carmichael

    Si notre gouvernement a pu vendre de nos richesses c'est qu'elles nous appartiennent.

  • Les jours de Couillard sont comptés

    24 novembre 2013


    @ M. Micheau

    Je suis toujours surpris quand on parle de nationaliser nos ressources naturelles. Je pense qu'on a juste oublié qu'elles nous appartiennent et qu'on peut les faire exploiter comme on veut, à nos conditions.

  • Les accusations de Maria Mourani n’ont aucun fondement

    16 septembre 2013


    Est-ce que les commissions scolaires de la région de Montréal s'imposent des contraintes à l'attribution des postes d'enseignants en fonction des caractéristiques religieuses des populations desservies par leurs écoles? Est-ce qu'un enseignant portant des symboles musulmants est bien accepté dans une école de quartier à dominance juive, et inversement?

    Pendant cette période de débat sur la charte les enseignants catholiques de toutes les écoles devraient se mettre à porter un crucifix bien visible dans leurs salles de classes pour stimuler la réflexion sur la laïcité.

  • Madame Marois, l’histoire vous ouvre sa porte !

    4 septembre 2013


    Même avec huit millions d'individus cohérents on ne ferait pas une société cohérente. La laïcité de l'État ça ne se décrète pas comme l'autorisation de virer à droite aux feux rouges. La question cruciale de l'influence de l'Église sur le politique a été réglée depuis longtemps. L'évolution vers un État laïc s'est amorcé il y a quelques décennies et aujourd'hui la société québécoise est prête à accepter une loi qui officialisera des éléments très importants de laïcité. On verra exactement d'ici quelques mois ce qui sera retenu mais ce qui est certain c'est que la loi s'appliquera de la même façon à toutes les religions. L'immigrant doit s'adapter à la société d'accueil et accepter que cette société soit en évolution.

  • Il faut contrer la propagande des vendeurs de pétrole

    14 août 2013


    @ M. Maronani

    Vous pouvez être révolté de la qualité de la gestion des fonds public mais cela n’a rien avoir avec la profitabilité des pétrolières. Les profits exceptionnels dont je parlais résultent du pouvoir de marché d’entreprises qui fonctionnent en situation d’oligopoles et de tels profits sont inacceptables pour un économiste.
    Quand vous citez Petrolia je crois que vous supportez mon point de vue : il est inacceptable que nos gouvernements signent de telles ententes sans en soumettre le contenu à la population.
    Il est vrai qu’on trouve beaucoup de données sur internet mais les sources sont rarement fiables. Sur les questions techniques, la plupart des citoyens essaient de s’appuyer sur des gens en qui ils peuvent faire confiance pour analyser les données. En ce qui à trait aux données qui m’intéressent sur l’implication financière du fédéral dans le dossier des sables bitumineux, je ne croirai rien d’autres que des informations fournies par le Vérificateur général du Canada, et on a droit à de telles informations sur l’utilisation de nos impôts.
    Vous trouvez aussi sur internet des estimations de coûts de production pour différents types de pétroles mais les producteurs eux-mêmes gardent les données réelles confidentielles. Je ne vois pas pourquoi il faudrait se fier à des estimations qui peuvent changer radicalement dans le temps en raison de progrès technologiques par exemple. Je demanderais aux promoteurs du pipeline de garantir que les raffineries québécoises auront toujours accès, pour 25 ans disons, à un prix égal ou inférieur au prix du pétrole provenant de sources alternatives. Selon vos convictions, les promoteurs ne devraient avoir aucune réticence à accepter une telle clause.
    Quant à l’évolution des prix du pétrole sur les marchés mondiaux à moyen et à long terme, l’expérience des quarante dernières années démontrent que la performance des prévisionnistes est très mauvaise. Les grandes entreprises pétrolières peuvent faire d’énormes investissements spéculatifs à même les profits retenus, ce qui leur permet peut-être de sauver de l’impôt, tout en sachant qu’ils seront en mesure de refiler aux populations le coût de leurs erreurs. Vous pouvez investir aussi sur la base de vos certitudes quant à l’évolution du prix du pétrole. Je ne le ferai pas et je ne crois pas que nos gouvernements devraient le faire en subventionnant l’industrie ou en hypothéquant une partie du territoire pour laisser passer un pipeline. Et, selon vos anticipations optimistes, ne vous inquiétez pas trop pour les producteurs du Baken Fields, les canadiens ne vont pas débarquer aux États-Unis pour couper les prix.
    Pour me faire changer d’idée il faudrait qu’on me m’apporte des arguments solides, pas de la salade de conseiller en valeur mobilière : ça va monter, on ne peut pas manquer une occasion pareille.

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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