La coupe Rogers et nos deux « Canadiens »
14 août 2013
Jules-Paul Tardivel, premier « romancier » de la Nouvelle-France conquise, écrivait en 1895 :
Que l’on ne s’étonne pas de voir que mon héros, tout en se livrant aux luttes politiques, est non seulement un croyant mais aussi un pratiquant, un chrétien par le coeur autant que par l’intelligence. L’abbé Ferland nous dit, dans son histoire du Canada, que « dès les commencements de la colonie, on voit la religion occuper partout la première place ». Pour atteindre parmi les nations le rang que la Providence nous destine il nous faut revenir à l’esprit des ancêtres et remettre la religion partout à la première place; il faut que l’amour de la PATRIE canadienne-française soit étroitement uni à la FOI en Notre Seigneur Jésus-Christ et au zèle pour la défense de son Église. L’instrument dont Dieu se servira pour constituer définitivement la nation canadienne-française sera moins un grand orateur, un habile politique ou un fougueux agitateur, qu’un parfait chrétien qui travaille, qui s’immole et qui prie… (fin de citation)
Mais remarquons le lien essentiel, à cette époque : foi et patrie.
Nous nous sommes bien habitués à la perte de la foi… Si nos ancêtres avaient raison, question de lien essentiel entre les deux, nous devrons bien nous habituer à la perte aussi de la patrie…
Case closed
Aren’t we all americans? Together for making money Good luck to the fittest
Et ceci donnera raison à Al Maro…