"QuébeCité"
19 juin 2008
David,
Moi aussi, ch'sus ben tanné de voir que c'est la génération des jeunes professionnels et artistes qui a choisi la voie de l'optimisme extrême: Français, pas menacé; je travaille sur des logiciels anglais toute la journée et je parle encore français à la maison. L'anglais ou l'espagnol, ou le mandarin, ça donne de la culture, de l'ouverture au petit Québec...
J'ai rapporté quelque part que ce rendez-vous de dimanche pour un Québec français, Parc Jeanne-Mance faisait funérailles du maringouin. Si vous y aviez été et que vous aviez vu de l'autre côté de la rue, parc Mont-Royal, les jeunes aux tams-tams n'avaient no clue sur ce que nous faisions avec les Locolocas et nos drapeaux... Nous voyaient en ceinture fléchée et eux avaient l'arrogance anglaise... en parlant "encore" français.
De plus, où avez-vous vu ces missionnaires de l'écrit vouloir pour eux le "monopole" (vocabulaire belliqueux)
Puis, tout en admettant ne pas connaître Bourgeois, pourquoi le voir suivre un PQ mort? Lisez-le un jour, vous verrez qu'il ne les porte pas dans son coeur.
Voyez Cloutier, il cherche maintenant la coalition.