C.É.G.E.P en anglais = Ouverture sur le monde ?
17 juillet 2010
@ Yves Leroux:
Oui, en effet, on pourrait bien croire que nos libéraux provinciaux (très provinciaux!) ont créé le phénomène de la bêtise! Disons, à tout le moins, qu'ils ont développé une immense expertise en la matière...
En particulier notre médiocre de ministre de l'Inculture, Madame Christine St-Pierre. À chaque fois qu'on lui présente une situation sur laquelle son ministère devrait se pencher, c'est NON!
Mais, concernant cette histoire de céceps en anglais; je m'exprime plutôt bien dans la langue de Shakespeare, et je me débrouille en allemand, et un peu en espagnol. Et j'ai fréquenté un cécep français!
Par contre, je connais deux personnes qui ont fréquenté le Collège Saint-Lawrence, à Québec, et dont l'anglais laisse fort à désirer...
Qu'en dirait l'ancienne journaliste de Radio-Cadenas, Mme Saint-Pierre?
La vérité est que l'on ne peut faire un polyglotte de n'importe qui; les dons de chacun pour l'apprentissage des langues, varient.
Cela étant dit, quand une personne a mal appris sa langue maternelle, cela lui nuit, quand vient le temps pour elle d'apprendre d'autres langues, malhabile qu'est cette même personne, avec toutes sortes de concepts grammaticaux communs à un grand nombre de langues (ou presque toutes!)...
Et au fond, c'est quoi, l'ouverture sur le monde...? On en parle beaucoup, mais qu'est-ce que c'est, au juste?
Pour être ouvert sur le monde, il faut être ouvert à différentes cultures (pas juste la culture du rest of Canada ou des États-Unis); il faut se garder au courant de ce qui se passe ailleurs (pas seulement de ce qui se passe au R.O.C. ... ou des «scores» des événements sportifs internationaux!
Qu'on nous foute la paix, de grâce, avec cette boîteuse équation ouverture = anglais!