Separatist ? Ô my Lord !
11 novembre 2020
À l’occasion de la Journée nationale des patriotes
L’Histoire à l’endroit
La solution finale, du rapport Durham au projet Initiative du siècle
Geopolitique 101
Avec Jean-Claude Pomerleau au Journal du soir
Le défi existentiel de notre nation
Passer du « réveil national » au « redressement national »
Brochu en direct avec Jean-Claude Pomerleau
ANALYSE
Les séparatistes doivent sortir du référendisme
11 novembre 2020
20 octobre 2020
Paul St Pierre Plamondon dénonce la corruption libérale lors du référendum de 1995 :
https://www.journaldemontreal.com/2020/10/20/contre-la-normalisation-sociale-de-la-corruption
1 octobre 2020
De l'importance du deuxième choix
Vigile appuie M Bastien pour les raisons que vous avez bien résumées.
Cependant, le deuxième choix sera d'une grande importance, si on ne veut pas voir M Gaudrealt à la direction du parti.
Dans le troisième débat, M Bastien a posé une question fondamentale à M Nantel sur l'immigation. Sa réponse fut de maintenir le niveau à celui des libéraux.
Selon nous cette réponse, compte tenue de la gravité de cet enjeu, est une fatalité pour sa candidature.
Vigile va faire connaitre son deuxième choix, qu'on devine, avant le vote.
Merci pour votre commentaire.
9 juillet 2020
@ Jean P
On comprend votre sursaut. Une fois n'est pa coutume....
JCPomerleau
3 juin 2020
27 mai 2020
Merci pour cette analyse qui nous ramène à l'essentiel.
« Un tel mouvement de décentralisation et de régionalisation, s’il est bien pensé, pourrait contribuer à faire basculer la fonction publique (et ses chefs de file) du bord du changement et mettre en échec l’immobilisme.»
À cet égard, il faudrait revisiter la Doctrine sociale de l'Église et le principe de subsidiarité :
Celle-ci s'appuie sur les 4 principes majeurs et fondamentaux exposés dans le Compendium de la doctrine sociale de l'Église, à savoir :
Tous les clés sont là pour la grande réforme que le Québec devrait entrprendre pour se doter d'un État optimal, incontournable pour relever le défi existentiel qui se pose à notre nation.
Avec les années, j'en suis venu à la conviction que les clés pour nous sortir du piège dans lequel l'histoire a enfermer notre nation se trouve du coté conservateur de notre parcours.
Merci encore et au plaisir d'échanger sur notre déconfinement politique ...
JCPomerleau
19 mai 2020
Madame,
Toujours un immense plaisir de vous lire. D'avoir cette éclairage sur notre passé suffisamment remarquable pour qu' Il y ait « une gloire qui reste » (Lionel Groulx).
D'autant plus que j'apprends que Zacharie Cloutier, mon ancètre du coté maternelle, a été le bâtisseur de la première Seigneurie en Nouvelle France (la devise des Cloutier : « Clouer pour ériger » )
J'aimerais ajouter ...
Pierre Boucher , sur la menace iroquoise :
7 avril 2020
28 mars 2020
Daniel Johnson sur la nation (Égalité ou indépendance ). Je m'en tiens au extraits avec pour objectif, celui de Vigile : la souveraineté du Québec. Et non finir comme un groupe ethnique dans le Canada de Trudeau.
...
(Egalité ou indépendance, extraits sur nation et État )
[p.22 et 23] Il est à noter que l’élément fondamental de la nation n’est pas la race, mais bien la culture. Peu importe son nom, son origine ethnique, on est de l’une ou l’autre nation suivant que par son enracinement, sa formation, son choix, son style de vie, son mode de pensée et d’expression, on appartient, on s’identifie à l’une ou l’autre communauté culturelle. Je pense entre autres à tous les Néo-Canadiens qui ont joint, volontairement, par goût, par choix la culture canadienne-française et qui participent à son épanouissement et à son enrichissement.
Voilà donc ce qu’est le phénomène sociologique et comment il permet de définir la nation.
[p.123] Après trois siècles de labeur, notre nation a bien mérité de vivre librement. Tant mieux si elle peut se sentir chez elle d’un océan à l’autre. Ce qui implique qu’on lui reconnaisse l’égalité complète. Sinon, il faudra bien faire l’indépendance du Québec.
Canada ou Québec, là où la nation canadienne-française trouvera la liberté, là sera sa patrie.
(p.23) Ainsi, la nation, phénomène sociologique, tend à coïncider avec l’État, phénomène politique. Dans la mesure où elle atteint à cette identification, elle devient la nation-État. C’est le fait de la plupart des nations parvenues au terme de leur évolution.
« L’histoire mondiale ne retient que les Nations qui se sont constituées en États » F.W. Hegel
26 mars 2020
Peter Benoit,
Vosu avez compris de quelle manière on sort d'un cadre stratégique perdant depuis 50 ans, pour un autre qui peut être acter immédiatement, celui de Daniel Johnson (père) :
Le refus par le fédéral de reconnaître de manière statutaire le droit du Québec l'autodétermination nous ramenerait à un autre cadre stratégique, celui de Daniel Jonson chef de l'Union nationale. Le dernier PM du Québec qui avait une doctrine d'État.
Simplement résumé : imposer (et non négocier) la reconnaissance statutaire de la nation et de l'État du Québec par Ottawa. En fait par l'édification de l État du Québec....
Égalité ou indépendance (1965)
(extraits sur la nation et l'État du Québec) :
(p 20) « On nous conteste encore le droit au titre de nation. »
« Ainsi, la nation, phénomène sociologique, tend à coïncider avec l’État, phénomène politique. Dans la mesure où elle atteint à cette identification, elle devient la nation-État.» (p 23)
« les Canadiens français cherchent à s’identifier à l’État du Québec, le seul où ils puissent prétendre être maîtres de leur destin » (p 23)
[p.49] Et comme je le disais aux premières pages de ce volume, l’unité de la nation appelle l’unité de l’État.
(La négation du statut de l'État du Québec. L'argumentaire de Daniel Johnson) :
p.37] En passant, on me permettra bien de dire combien je trouve irréalistes et infantiles les querelles qu’on nous cherche depuis une quinzaine d’années, chaque fois que nous osons parler du Québec comme d’un État. Tous les auteurs de droit constitutionnel parlent couramment des « États membres » d’une fédération, même si les gouvernements de ces territoires n’ont pas la plénitude de la puissance étatique.
[p.37] Il ne faut donc pas prendre au pieds de la lettre les termes utilisés par les auteurs de la constitution canadienne. Leur vocabulaire était d’une souveraine imprécision.
[p.37] D’abord, ils ont appelé Confédération en réalité une fédération d’États. La confédération est un phénomène de droit international. Elle existe en vertu d’un traité et non pas d’une constitution.
[p.38] En utilisant le mot Confédération, les auteurs de notre constitution semblaient donner aux États membres une souveraineté plus grande que celle qu’ils leur attribuaient en réalité. À l’inverse, ils ont exagéré leur dépendance en les appelant des provinces.
Au sens strict du terme, la province est une division territoriale placée sous l’autorité d’un délégué du pouvoir central. C’est un phénomène de décentralisation administrative, mais à l’intérieur d’un État unitaire.
Car il peut exister et il existe en fait des États unitaires plus ou moins décentralisés, Les provinces peuvent y bénéficier d’une assez large autonomie. Seulement, cette autonomie ne dépend pas de la constitution, mais de la seule volonté du pouvoir central, qui peut en conséquence la modifier et même la supprimer tout à fait. C’est pourquoi on les appelle des provinces et non des États.
[p.39] Tout cela nous permet de mieux cerner ce que c’est qu’un authentique régime fédéral. C’est celui où l’autorité de l’État se trouve non pas hiérarchisée, mais partagée entre deux ordres de gouvernement dont chacun, dans les limites de sa compétence, exerce la plénitude des pouvoirs étatiques.
p.59] Et pour mettre à son service un État central fort, qui soit l’expression politique de son intégration progressives, le Canada anglais doit combattre de toutes ses forces les revendications autonomistes du Québec.
(En 1994, P E Trudeau sur la négation du statut de l'État du Québec)
« Les professeurs enseignent le nationalisme dans les écoles. Ils disent à leurs élèves que le Québec est un État et c’est faux. Le Québec est une province, un canton, un district. » Pourquoi pas une commune, tant qu’à y être ? Trudeau dans toute sa méprisante splendeur.
Michel David Le Devoir 29 oct 2016
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/483399/le-chef-de-district
Conclusion : La stratégie pour faire reconnaitre de manière statutaire par le fédéral, le droit à l'autodétermination du Québec, passe par imposer (et non négocier) notre statut de nation et d'État du Québec.
Exactement la stratégie de Daniel Johnson (Égalité). Le refus de P E Trudeau aurait été suivi par un référendum de ratification d'une constitution du Québec qui imposait la nation et l'État du Québec de manière statutaire ( Johnson prévoyait un appui de 80 % : selon son biographe Pierre Godin ( [...], il n’hésitera pas à consulter le peuple et à convoquer une assemblée constituante.
Daniel Johnson, le dernier PM du Québec qui avait une doctrine d'État.
JCP
19 novembre 2019
Comment espérer d'une nation qui vit dans l'ingratitude envers une institution qui a tant consentie pour la façonner, la porter, et pour tout dire, la sauver alors même qu'un défi existentiel se posait à elle :
https://www.youtube.com/watch?v=RlDdX76ckv4&t=1754s
JCPomerleau
6 septembre 2019
La centralisation fiscale a précédé la centralistion politique
Un rapport de 1979 du fédéral, dont la synthèse a été publié en 1981, nous rappel l'historique de la captation par Ottawa des pouvoirs de taxations directs du Québec. Le chapître portant sur résumé du rapport Tremblay, ( mis en place par Duplessis pour défendre l'autonomie du Québec ) démontre que l'enjeu des impôts portait sur le fond, sur l'imposition du « génie anglais » sur le « «génie français». Bref la négation de notre nation :