Au tour des policiers de la SQ de dénoncer la corruption !!!
11 octobre 2011
De la Révolution tranquille à la dépossession tranquille.
JCPomerleau
VIDÉO
L'incapacité des souverainistes à saisir les forces historiques en jeu sur la question du nationalisme
Analyse du sommet de l’OTAN à Vilnius les 11 et 12 juillet 2023
À l’occasion de la Journée nationale des patriotes
L’Histoire à l’endroit
La solution finale, du rapport Durham au projet Initiative du siècle
11 octobre 2011
De la Révolution tranquille à la dépossession tranquille.
JCPomerleau
11 octobre 2011
Plus précisément ma question est: peut on laisser les affairistes piller notre État durant un autre mandat ?
Après avoir répondu clairement à cette question, l'autre qui vient: Quel sont les choix véritables pour la prochaine élection ?
JCPomerleau
11 octobre 2011
M Bill Facture,
Sous le gouvernement de M B. Landry. les droits d'exploration sur Anticosti appartenaientt à Hydro Québec, division pétrole et gaz. Un stratégie pour évaluer et mettre en valeur les ressources a été définit en 2002. Elle s.apparentait à celle de la Norvège (la plus performante en termes d'enrichissement collectif).
Charest va prendre le pouvoir et commence le bradage de nos ressources: Les droits sur Anticosti seront bradés à Petrolia en 2007 et à Junex (ex ministre libéral) en 2008.
En 2008,en pleine campagne électorale j'avais conclu que les libéraux avaient fait mains basses sur notre pétrole et notre gaz:
http://www.vigile.net/Les-Liberaux-font-mains-basses-sur
Depuis Charest nous a concocté le Plan Nord et l'Accord Canada Europe comme complément stratégique visant la dépossession systématique de nos richesses collectives.
Nous ne sommes pas ici sur le forum de Cyberpresse. Renseignez vous avant d'écrire n'importe quoi.
JCPomerleau
P.s Pour compl
11 octobre 2011
Le Canada aura mis 250 ans avant de parvenir à se définir sans le Québec. Il y est parvenu le 2 mai 2011. Harper avec son bric à brac sur les symboles ram`ne ce pays à son adn historique qui le définit comme un débris d'empire britannique. Good riddance Canada.
Il ne reste qu'au Québec qu'à ce définir sans le Canada. Et à reprendre le contrôle effectif de son territoire. Et cela suppose, non pas une intention mais des actes d'État:
" L'action de l'État est une conquête sans cesse renouvelle de sa compétence sur son territoire" (Charles Chaumont)
Tout est dans l'agir,de part et d'autre, au bout du parcours on a deux États qui s'éloignent un de l'autre (la politique est une dynamique). Jusqu'au moment où l'on prends acte de cette réalité qu'il y a deux État bien distincts. Le jour où le ROC va reconnaître the nation state of Quebec, la game sera terminée.
JCPomerleau
10 octobre 2011
C'est bien beau le "hang over" sur le Parti Québécois.
Mais, juste une question comme çà. C'est quoi la stratégie proposée pour reprendre de toute urgence le contrôle de notre État des mains des affairistes entrain de le piller sous nos yeux ?
JCPomerleau
10 octobre 2011
Nous sommes arrivé à la fin du Canada de Trudeau.Nous avons maintenant affaire à un Canada en pleine métamorphoses. La géopolitique de l'énergie a fait son oeuvre: Le centre de gravité du pouvoir à passé de l'Est à l'Ouest; et du gouvernement central vers les provinces.
L'Alberta est maintenant maître du jeu. Et son maître à penser, le stratège à qui les conservateurs doivent le pouvoir s'appel Preston Maning. C'est lui qui dicte la nouvelle doctrine du Canada. La voici en un paragraphe:
" What should be increasingly apparent is that if new and stronger bridges are to be built between Quebec and the rest of Canada, they will have to be primarily constructed not by federal politicians on constitutional grounds, but by private-sector decision makers and provincial leaders on the grounds of economic and interprovincial relations."
http://www.theglobeandmail.com/news/opinions/opinion/political-shifts-mustnt-threaten-canadas-unity-vision/article2028815/
Voilà donc le cadre politique pour la suite de l'histoire, le fédéral est réduit au rôle de simple spectateur. Pire encore, selon leur nouveau média de propagande de droite:
SUN News Network a donné la parole à son animateur vedette, le polémiste Ezra Levant, qui a eu tôt fait d’annoncer son mandat : « se débarrasser du gouvernement, qui prend trop de place dans nos vies ».
http://ruefrontenac.com/pgauthier/36485-sun-news-network
On a intérêt à connaitre l'Alberta's agenda ?
La fin de la péréquation, le ciment de la fédération !
En retour de quoi pour le manque à gagner du Québec:
(...)
Le credo «moins d'État» de Danielle Smith (Chef du Wild Rose party)touche la péréquation, qu'elle espère voir réformée. «Je crois qu'Ottawa doit puiser moins d'argent dans les poches des gens. Il doit céder des champs de taxation aux provinces.»
(...)
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201104/16/01-4390568-danielle-smith-une-fleur-feroce.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse
Ce transfère de potentialité ouvrirait une nouvelle dynamique politique... à suivre
JCPomerleau
10 octobre 2011
Merci pour se texte très bien documenté et qui laisse voir que derrière Petrolia il y a les oil-igarques qui ont fait main bases sur nos ressources sans que l'on ne s'en rendre compte.
Le Gouvernement Charest prétends qu'il a céder les droits en ne sachant pas le potentiel (40 milliards de barils). J'ai publié ce petit texte pour démontrer le contraire:
http://www.vigile.net/Anticosti-La-question-qui-tue
Le gouvernement a trahi l'intérêt national dans ce dossier comme dans bien d'autres. Il est temps de le sortir du pouvoir de toute urgence, pour reprendre le contrôle de nos richesses.
Ensuite le débat que vous proposé sur la démocratisation sera des plus intéressant à faire.
Merci pour votre texte qui a demandé beaucoup de recherche afin de nous renseigner sur cette enjeu majeur pour le Québec.
JCPomerleau
10 octobre 2011
Pierre Bouchard,
Vous terminez votre commentaire en exprimant la crainte que le PQ reste tel quel, alors qu'il a l'occasion dans l'opposition de se redresser : "...
enfin on peut espérer que le PQ redevienne authentique et déterminé, ce n’est pas le moment de prêcher de se boucher le nez et les yeux et d’encourager le PQ à se conforter dans son comportement."
Vous avez décortiquez mon texte, sauf le passage ou je dis que pour se rendre crédible Mme Marois doit recréer l'équipe du Tonnerre. Et j'ajoute qu'elle connait le joueur clé.
M SSauvé
Vous nous avez composé le cabinet d'une coalition qui n'a pas de chance de se réaliser, mais vous avez quand même identifié le joueur clé: "... ( avec Daniel Breton comme président de Énergie Québec - incluant Hydro-Québec, Éole-Québec, Fossile-Québec, Solaire-Québec )"
En exactement lui qui peut faire la différence mais comme ministre de l'Énergie et des ressources pour déployer une stratégie d'État d'envergure: le Maîtres chez-nous Phase 2,. Il a la vision et la détermination pour donner à lui seul une carrure à ce partie. Jugez par vous même (son intervention au NMQ, le 21 août) sur le thème de la Révolution tranquille à la dépossession tranquille:
http://www.tagtele.com/videos/voir/73448
Et cette prise de position dans une déclaration publique en mars 2011:
http://mcn21.org/publications/declaration-maitres-chez-nous/article/declaration-maitres-chez-nous
Qui aura une suite: Le mardi 22 novembre 2011,
"le groupe MCN21 organise un événement
qui donnera suite à notre déclaration du mars 2011 et secouera le Québec" (Daniel Breton).
...
Secouer le Québec, il est un des rares à avoir la crédibilité et la carrure pour le faire. Dans le contexte actuel , cela serait salutaire. Reste à Madame Marois a comprendre le message.
JCPomerleau
9 octobre 2011
Le fait qu'il n'y a pas d'alternative ne signifie pas qu'il faut laisser le pouvoir pour un autre mandat aux affairistes.
Pour ceux qui n'ont pas compris la gravité de la situation, je les invite à lire les derniers textes de M Richard Le Hir.
Après avoir pris le contrôle de nos grand leviers de développement: La Caisse et Hydro Québec, de puissant réseaux d'intérêts visent nos ressources. L'accord Canada Europe et le Plan Nord tout cela est taillé sur mesure pour les visées de Power corp (M Richard Le Hir).
On fait quoi pour les arrêter. On parle d'indépendance entre nous ?
Dans un premier temps: Il faut reprendre de toute urgence le contrôle de notre État. C'est à partir des assises de notre État que l'on peut viser la rupture.
Le reste c'est de la littératue (Ici, je fais exprès de choquer l'imaginaire)
JCPomerleau
9 octobre 2011
Merci de vos commentaires. le but de l'exercice est de structurer la réflexion pour en arriver au but. Et non de nourrir un tiraillage qui risque de devenir acrimonieux par moment. On brasse des idées, quand on est trop investi aux niveau des émotions dans ses idées ont se fait brasser avec elles.
Luc Archambault
"La SOUVERAINETÉ de l’État ne peut être effective que SI et seulement si une force citoyenne et politique S’ENGAGE à rendre effective la SOUVERAINETÉ du PEUPLE. Pour cela, il faut S’ENGAGER à UNIR nos forces citoyennes et politiques démocratiques [ ce que ne fait pas le PQ ]."
L'unité se fait dans l'action, laquelle découle de rapports de forces assumés. Présentement 80 % de la population veulent qu'on nettoie l'État de la corruption; moins de 15 % crois que les politiciens actuels peuvent le faire. Le PQ n'assume pas avec la posture qui convient l'abus de pouvoir qui confine à la trahison de l'intérêt national. S'il devient crédible à cet égard l'unité se fera. La manière d'y parvenir pour Mme Marois est de créer une version actuelle de l'Équipe du tonnerre qui avait pousser Jean Lesage à l'époque, avec des nouvelles figures dont l'intégrité et la détermination ne feront aucun de doute.(Ils existent et Madame les connait).
GV
Votre raisonnement bien structuré est limpide.
Sylvain Parent
Vous faite le même constat que moi, la gravité de la situation nous force à fermer derrière le PQ. Cela ne fait pas nécessairement de nous des péquistes et des pro-Marois. Personnellement je ne suis dans aucun fan club. Il se trouve que nous n'avons pas de choix. Maintenant il est clair que le PQ n'est pas à la hauteur du défi historique qui se pose. Il faut donc être conséquent et influencer la dynamique politique dans le sens d'un redressement de cet instrument politique.
M Anonyme
"C’est vrai et c’est justement ce que souhaitent les gens qui sont contre les positions actuelles du PQ. Vous savez très bien que dès que le PQ prend le pouvoir dans une perspective de bon gouvernement provincial, il ne peut plus agir directement en faveur de l’indépendance parce qu’il ne serait plus, dès lors, démocratique."
Commentaire: Le mandat de gouvernance souverainiste obtenu dans le système parlementaire actuel (Britannique) vous donne la légitimité d'agir. Le reste tient à la détermination et l'intelligence politique avec lesquelles se mandat s'incarne dans l'État.
"La conjoncture actuelle est tellement mauvaise qu’elle nous fournit peut-être ce rapport de force favorable, à condition de mettre clairement cartes sur table. On ne pourra faire l’indépendance que si on le dit, l’explique et le chante sur tous les tons."
La souveraineté, il ne s'agit plus d'en parler, il s'agit de la faire. Et pour l'essentiel. l'efficacité de lla stratégie tien au fait que l'on sait cacher son jeux.
JCPomerleau
8 octobre 2011
Tout ce que cela prends pour enclencher la dynamique qui mène au changement de statut, vers la souveraineté, c'est un mandat de gouvernance souverainiste. Ce que propose le Plan Marois.
Le problème se pose au niveau de la direction politique de ce plan. Pour le rendre crédible comme stratégie d'État il faut qu'il soit assumé avec une carrure que n'a pas actuellement le Parti Québécois.
C'est là qu'il faut s'investir.
La souveraineté suppose une démarche en deux temps. Le premier étant de reprendre de toute urgence le contrôle de notre État. Et à cet égard, les choix véritables qui s'offrent se résume, dans la vrai vie, à un: Le Parti Québécois.
Nous en sommes là.
JCPomerleau
7 octobre 2011
C'est pas nouveau:
"En septembre 1963, lors de la conférence des ministres de la Santé tenue à Ottawa, la confrontation entre les positions du gouvernement fédéral et celles du Québec sur la création d'un régime de retraite n'avait fait aucun doute. Quelques jours après, la ministre LaMarsh affirmait : «La puissance d'un gouvernement (celui de Québec) possédant autant d'argent serait effarante. En contrôlant les capitaux d'investissement, il serait en position de dominer les affaires. On risquerait de déboucher sur une sorte de national-socialisme, tel qu'il s'exercait dans l'Allemagne nazie.»
http://www.bilan.usherb.ca/bilan/pages/evenements/20411.html
...
JCPomerleau