Allons manifester pour la richesse collective
14 octobre 2011
1 Occupons Power corp.
2 Passons à l'étape de faire tomber le gouvernement, lequel va déclencher une enquête ... bidon. Jeudi prochain !
3 Sortons nos fourches
JCPomerleau
VIDÉO
L'incapacité des souverainistes à saisir les forces historiques en jeu sur la question du nationalisme
Analyse du sommet de l’OTAN à Vilnius les 11 et 12 juillet 2023
À l’occasion de la Journée nationale des patriotes
L’Histoire à l’endroit
La solution finale, du rapport Durham au projet Initiative du siècle
14 octobre 2011
1 Occupons Power corp.
2 Passons à l'étape de faire tomber le gouvernement, lequel va déclencher une enquête ... bidon. Jeudi prochain !
3 Sortons nos fourches
JCPomerleau
14 octobre 2011
Je me risque à vous annoncer une primeur sur Vigile.
Jeudi prochain dans l'après midi, Jean Charest va annoncer la création du Commission d'enquête.... bidon.
Bidon parce que cette commission sera circonscrite (genre Bastarache)pour limiter les dégâts il va sacrifier quelques pions. Cette annonce lui servira de relance pour le prochain Congrès libéral qui suivra quelques jours plus tard.
Qu'est ce qui m'amène à cette conclusion: Ti-cul Lapierre, (la pie-ièrre).
Toute la semaine on a vu des petits dossiers se règler: Tomassi (le scandale du gaz: y a tanké avec une carte de crédit de BCIA); Coreti, même le Maire de Laval, suspend sa poursuite contre Ménard , enveloppe brune). Etc.(Une scénarisation pour faire diversion sur les vrai affaire de mon oncle Paul).
Et là ti-cul La pie erre nous dis que les libéraux à l'interne demande une enquête. Donc ils ont eu le OK de Charest. Pourquoi Jeudi , parce la pie se rendra mercredi à Québec pour voir s'il y aura une annonce de quelque chose: Jeudi !
Donc Jeudi, annonce officiel de la création d'une enquête ... bidon.
JCPomerleau
14 octobre 2011
[2] Pomerleau veut mettre l’indépendance sur la glace pour se consacrer uniquement à débarquer Charest afin de reprendre en mains nos ressources naturelles.
....
Ce n'est pas moi qui veut mettre l'indépendance sur la glace ce sont les idéalistes du Grand soir avec leur proposition qui relève de la littérature romantique plutôt que de la realpolitik.
Ma lecture du contexte et de la situation est géopolitique:
http://www.vigile.net/Le-difficile-changement-de
http://www.vigile.net/Le-difficile-changement-de
Ce que je répète c'est qu'il suffit d'un mandat de gouvernance souverainiste pour enclencher la dynamique qui mène à la rupture; et, cela commence dès la prise du pouvoir: "Seul l'État agit avec envergure" (M Sauvé). Le reste c'est de la littérature.
Oui mais, la direction politique du plan à t elle la carrure pour mener à bien le projet. Pas maintenant mais, çà s'en vient. Et cela aurait plus de chance d'advenir si on s'y investissait tous plutôt que de tirer dans nos rangs.
Parce qu'entre temps, dans la vrai vie,le seul choix véritable que nous avons pour reprendre le contrôle de notre État, pillé et plombé par les affairistes, c'est le PQ.
Alors, je repose ma question: On fait quoi à la prochaine élection ? Des incantations au soleil en répétant des mantras indépendantistes ou on reprend le pouvoir ?
La souveraineté il ne s'agit plus d'en parler, il s'agit de la faire. Et le temps presse ...
JCPomerleau
P.s "La difficulté de réussir ne fait qu'ajouter à la nécessité d'entreprendre" (Beaumarchais) .
14 octobre 2011
Le changement de statut de province à souveraineté suppose qu'un État se dresse contre un autre; et si le rapport de force est favorable il rend effectif la décision du changement de statut.
Or le Québec n'a jamais été dans un rapport de force favorable pour changer de statut. Le mouvement a vécu dans l'illusion qu'un choix majoritaire démocratique menait automatiquement à la souveraineté. Cette illusion s'est éteinte graduellement suite à la réaction de l'État canadien démontrant clairement qu'il n'entendait pas jouer le jeux démocratique. Suite à 1995,On a frapper le mur de la realpolitik.
La population a déplogué le Moulin aux illusions, le 2 mai et le dernier sondage le reconfirme (ni souverainiste ni fédéraliste). Et nous force à ramener le projet dans le champs du réel. Retour à l'État national, le déterminant de la politique, afin de bâtir le rapport de force.
État national présentement pillé et plomber pour la suite de s choses (les fédéralistes affairistes savent que l'enjeu c'est l'État, nous on pense que se sont des idées: idéaliste du Grand soir). D'où l'urgence d'en reprendre le contrôle. Ensuite le refonder pour créer une dynamique qui vise la rupture.
La politique est une dynamique qui naît de l'antagonisme (défense des intérêts) et ne désigne que l'intensité des unités en présence.
Notre intérêts est de reprendre le contrôle de nos actifs collectifs (la souveraineté est dans l'Ile Anticosti: 40 milliards de barils de pétrole) ; et cela suppose un rapport de force avec de puissant réseaux d'intérêt privés qui squattent notre État à leurs profits et au détriment du bien publique. Cette lutte a débuté, et va s'accentué dans le mois qui vient sur un enjeu précis: Le vol de nos ressources .Voilà où il faut s'investir, comme patriote, dans l'immédiat.
JCPomerleau
12 octobre 2011
Bill Facture
Je m'excuse si je vois ais brusqué.
Sur Bouchard vous avez 100% raison. En fait, il a trahi l'intérêt national.
C'est lui qui a scrappé le plan de développement des énergies (1996) qui faisait l'objet d'un large consensus (sous Parizeau), ce qui a mené en réaction à la création du Parti Vert du Québec. Il a ensuite fait entrer à Caillé et la filière du gaz à l'Hydro Qc.Une décision désastreuse pour la suite des choses.
Suite au départ du Messie, Landry a agit de bonne foi mais le temps lui a manqué.
Merci de votre commentaire qui me rassure. Et je m'excuse pour Cyberpresse.
JCPomerleau
12 octobre 2011
Pierre Bouchard
"M. Pomerleau, allez jusqu’au bout de votre pensée svp et cessez de chauffer le chaud et le froid."
Simple constats:
UN: Nous assistons au pillage systématique de notre État. Donc des moyens de notre politique pour la suite des choses.On laisse faire ou, on sort les affairistes du pouvoir (Legault, Charest même combat).
DEUX: Il n'y a que le PQ, avec toutes ses carences, pour reprendre le contrôle de notre État. Voyez vous d'autres choix ?
Ces deux constats ne nous laissent guère de choix.
Donc les deux questions que je posent aux stratèges de salon sont: Est-ce qu'on laisse faire ou on réagit. Si oui, quels sont les choix véritables pour la prochaine élection.
Je n'ai pas eu de réponse encore à ses deux question. pourtant pressantes.
JCPomerleau
12 octobre 2011
À coté de cette récrimination sur l'incapacité historique du PQ a nous "livrer un pays",( comme un pizza le samedi soir en écoutant le hockey), le pillage systématique de notre État par les libéraux est une question tout à fait secondaire pour les idéalistes du Grand soir.(Leur cible n'est pas le PLQ mais le PQ)
Le feu est pris dans la cabane mais il ne bougeront pas; ils attendent leur pizza. C'est dire la connerie idéale en politique.
JCPomerleau
11 octobre 2011
Bonjour M. Pomerleau,
Merci pour cet article. De toute évidence, tout la lumière n'a pas encore été faite sur cette histoire. Les questions que vous posez sont tout à fait pertinentes. Je tenterai d'obtenir des réponses.
Bien cordialement,
Nicolas Marceau
Nicolas Marceau
Député de Rousseau à l'Assemblée Nationale du Québec
Porte-parole de l'opposition officielle en matière de finances et de développement économique
11 octobre 2011
L'insignifiance du dossier (le scandale du gaz: il a fait le plein avec la carte de crédit de BCIA). Le timing de l’accusation contre Tomasi (contrôle par le directeur des poursuites, un libéral) et l'offensive contre la FTQ, ainsi que l'enquête bidon qui sera annoncer bientôt.
Tout cela est scénariser par la clique d'en haut. L'idée est de sacrifier quelques moutons pour nous distraire des vrais affaires: Le pillage systématique de nos ressources par les oil-igarques, l'instrumentalisation de l'Hydro Qc et de la Caisse de dépôt au profit de réseau d'intérêt obscures.
JCPomerleau
11 octobre 2011
Serge Savoie:
"Faire appliquer un programme de gouvernance dite souverainiste par un parti qui n’aura pas expliqué clairement ses intentions et son idéologie ne pourra éventuellement pas compter sur l’appui de la majorité du peuple au moment d’une confrontation critique avec Ottawa. Voilà, à mon avis, l’erreur stratégique fondamentale de la pensée magique du PQ."
Le PQ demande et obtient un mandat de gouvernance souverainiste il n' a besoin de rien d'autr
e pour avoir la légitimité pour agir. Point. Period.Punto. Un gouvernement souverainiste de l'État du QUÉBEC devra choisir ses batailles. La proposition politique la plus portante et structurante pour la suite des choses; et, oû le rapport de force et le conflit de légitimité sera clairement favorable au Québec est: La Constitution de l'État du Québec. C' est exactement le conflit de légitimité qu'il faut choisir: Toute à gagner et rien à perdre, contrairement au référendum ou l'on a tout à perdre et rien à gagner.
Voici pourquoi:
La nécessaire doctrine d’État
Donc pour contrer la Constitution canadienne, il nous faut au nom du principe de l’équivalence adopter en priorité une Constitution de l’État du Québec.
(,,,)
" "Il nous faut donc opposer notre propre Constitution à une autre Constitution. Il faut donc que le Québec se dote de sa propre Constitution d’État (et non de province), incluant une Charte des droits, une Charte de la laïcité et un Code de citoyenneté. Cette Constitution pourrait être adoptée, dans un premier temps, sous réserve des articles 41 et 45 de la Constitution canadienne ; elle contiendrait une clause de rupture à être activée en temps opportun. Certains pensent qu’il faut plutôt attendre le lendemain du Grand Soir pour se doter d’une Constitution d’État, sinon on s’enferme soi-même dans la cage à castor canadienne.
Je suis plutôt d’avis que la vaste consultation publique menant à l’adoption de notre propre Constitution d’État (et non de province) serait l’occasion d’un exercice pédagogique extraordinaire, lequel permettrait au peuple de dessiner les contours plus précis d’un pays ; un pas concret vers la rupture. Il est entendu que l’Assemblée Nationale postulerait que notre Constitution a préséance sur la Constitution canadienne, suivant en cela la posture prise dans l’adoption de la Loi 99 qui répudiait la Loi C 20. Il est à prévoir que cela mènerait à un conflit de légitimité entre les deux Constitutions. C’est ici que la clause de rupture prend toute sa pertinence ; le peuple aurait alors à trancher et faire un choix entre une Constitution qui lui fut imposée et celle qu’il se serait donnée démocratiquement. Le choix n’aura jamais été aussi clair. Bref, il y a là un positionnement stratégique obtenu sans grand risque."
http://www.vigile.net/La-necessaire-doctrine-d-Etat
....
M L'engagé
" Comment bâtir ce rapport de force sans une population politisée et consciente de ladite lutte ?"
Entre autre en leur permettant de se définir dans leur propre constitution.
"Ensuite, à propos de cette consolidation des assises, Cloutier (Me Pierre) a montré qu’elle consacrait, dans la gouvernance, la constitution canadienne plutôt qu’elle ne la combattait."
À partir du moment où les deux constitutions entrent en conflit de légitimité, la seule question qui se pose avec pertinence pour déterminer s'il nous avons une Constitution d"État, c'est de savoir si le gouvernement du Québec veut assumer le rapport de force que cela suppose pour la rendre effective !
La réponse à cette question :
Voici une déclaration importante de Mme Marois sur la Constitution du Québec, dans laquelle elle s’engage a assumer le conflit de légitimité avec :
"Pour réaliser de vrais changements dans ce domaine, ça prend du courage. Nous allons nous heurter au Canada, à sa Constitution, à sa Charte, à sa politique du multiculturalisme. Nous ferons la démonstration aux Québécois que dans ce domaine, le pays du Québec sera libre de définir lui-même sa politique linguistique et sa citoyenneté, ce qui est infiniment mieux que la situation actuelle. "
(...)
http://www.ledevoir.com/politique/q...
...
JCPomerleau
11 octobre 2011
"Maintenant, s’il faut voter PQ pour sortir Charest, mais voter PQ en se pinçant le nez comme les fédéralistes qui votent pour les Libéraux, qu’on le dise," (L'Engagé)
...
Cette question focalise exactement à la bonne place.
Et la réponse je l'ais donné:
"La priorité des priorités c’est de reprendre le contrôle de l’État du Québec des mains des affairistes qui sont arrivé à l’étape finale (Accord Canada Europe, Plan Nord, La Caisse, Hydro Qc) de la dépossession systématique de nos actifs collectifs. Donc des moyens de notre politique pour la suite des choses.
"...mais qu’on arrête de nous faire croire que ce PQ nous dirigera vers l’indépendance ou alors qu’on démontre franchement comment le PQ atteindra un tel objectif." (L'Engagé)
Le seul plan qui existe pour y arriver, je le commente ici (à moins que d'autres existent concrètement):
http://www.vigile.net/Le-difficile-changement-de
Essayez d’expliquer aux idéalistes du Grand soir que la mise à l’écart du Référendum pour le prochain mandat le temps de nettoyer la cabane et restructurer (refonder) l’État est la voie qui mène à la souveraineté."
JCPomerleau
11 octobre 2011
Pierre Bouchard,
"Objectivement vous dites la même chose que moi, l’Engagé, Nic Payne et bien d’autres gens : nous disons que le PQ doit changer, que cela est plus impératif que d’élire le PQ aux prochaines élections.
Si je me trompe alors branchez-vous svp : qu’est-ce qui est prioritaire, l’élection du PQ même s’il ne change pas, ou le changement du PQ lui-même ?"
....
La priorité des priorités c'est de reprendre le contrôle de l'État du Québec des mains des affairistes qui sont arrivé à l'étape finale (Accord Canada Europe, Plan Nord, La Caisse, Hydro Qc) de la dépossession systématique de nos actifs collectifs. Donc des moyens de notre politique pour la suite des choses.
Essayez d'expliquer aux idéalistes du Grand soir que la mise à l'écart du Référendum pour le prochain mandat le temps de nettoyer la cabane et restructurer (refonder) l'État est la voie qui mène à la souveraineté.
JCPomerleau