Remettez-moi mon sac d’épicerie, ou la voiture électrique.
1 septembre 2009
C'est exactement la même chose pour les hôtels/motels et la politique de laver les serviettes ou draps seulement si le clients en fait la demande directe ou indirecte (carte sur la poignée, endroit spécifique pour déposer ce qui doit être lavé, etc.)
Le service bien accompagnée par une note en faveur de l'environnement et des milliers de litres d'eau et de détergeant qui sont gaspillé. Ce qui en soit est vrai et constitue une action louable.
Pourtant, que je fasse laver tout à chaque jour, ou que je me contente d'utiliser les même draps et serviettes durant un séjour de 3 jours, on me facture la même somme. Pas de rabais pour le citoyen responsable.
Une économie et un profil réalisé par l'entreprise sur le dos des consommateurs au nom de l'environnement.
Permettez moi de croire que si la protection de l'environnement ne permettait pas une telle arnaque et les profils générés par cette dernière, que toutes ces mesures ne seraient même pas envisagées par bon nombre de compagnies.
C'est triste, mais devant plusieurs gestes en faveur de l'environnement se cache une façon d'exploité les êtres humains.
Le capitalisme à le vilain défaut d'être capable de s'adapter aux différentes époques. Malheureusement... il sait tirer avantage des différents courants qui les animes.