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Gilles Bousquet

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Coalition ADQ-PQ?!

Idée pour les Péquistes et les Adéquistes en conseil et en congrès en fin de semaine

  • Gilles Bousquet
  • 13 mars 2008
  • Tribune libre 2008
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S'unir pour avancer / Est-ce bien pour le bonheur des femmes afghanes ?

  • Gilles Bousquet
  • 20 février 2008
  • Tribune libre 2008

Solution au problème constitutionnel québécois !

  • Gilles Bousquet
  • 7 février 2008
  • Tribune libre 2008
  • 5 commentaires

Coalition PQ-ADQ ou point de salut

  • Gilles Bousquet
  • 15 janvier 2008
  • 01. Actualité - articles et dossiers
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Commentaires de Gilles Bousquet

  • Ça s'est passé le 8 octobre 1970

    7 octobre 2011


    En 1970, nous, Canadiens-français du Québec, étions encore un peu porteurs d'eau, nègres blancs et très majoritairement...locataires mais, les temps ont changé, grâce au PQ, pour la grande majorité, mieux éduqués, mieux payés, moins de chômage, plus propriétaires. Nos cultivateurs francophones sont passé de la culture de survivance, généralement pauvres sur leurs terres à entrepreneurs millionnaires, en grande majorité.

    Nos boss ne sont plus tous des Anglais et ils ne résident plus autant seuls dans les quartiers chics de nos villes. Nos francophones les ont rejoints sur plusieurs points.

  • L'illusion du sophisme

    6 octobre 2011


    M. Marineau écrit : « les Québécois trouvent un certain confort à l’intérieur du Canada »

    Pas tous. En analysant les sondages, il apparaît qu’il y a 13 % des Québécois sont très inconfortables, 13 % sont moyennement inconfortables et 13 % sont un tout petit peu inconfortables, ce qui fait 39 %, plus ou moins « ceux qui se déclarent souverainistes »

    Ceux qui se sentent seulement un tout petit peu inconfortables sont portés, selon les sondages, vers la CAQ de M. Legault, ce qui laisserait 26 % de souverainistes, à se diviser les votes entre le PQ, Québec solidaire et l'Option populaire, plus fonceur, de M. Aussant qui devrait gruger principalement dans le 13 % des très inconfortables, les séparatistes purs et durs qui veulent sortir le Canada du Québec au plus coupant.

    M. Marineau écrit aussi : « il faut d’abord faire réaliser aux Québécois que le statut politique actuel du Québec au sein de la confédération canadienne pose davantage de problèmes que d’avantages et, qu’en ce sens, il existe des solutions, entre autres, l’appropriation de tous nos leviers culturels, politiques, sociaux et économiques. »
    Très bien mais, comment montrer l’avantage, actuellement, de placer tous nos leviers culturels, politiques, sociaux et économiques entre les deux mains d’un genre de M. Charest, notre « Premier » ?

    Le problème cornélien de la souveraineté du Québec ressemble beaucoup à celui de l’Écosse. Les Écossais sont nationalistes à plus de 50 % mais séparatistes à seulement 25 %, même s’ils ont élu un parti qui se dit souverainistes qui prône la dévolution des pouvoirs de Londres vers son parlement, le Parti National Écossais (SNP) qui désire attendre la fin de son mandat, dans 4 ans, pour soumettre un référendum aux Écossais sur un objectif, pas encore défini, entre : Plus de pouvoirs pour l’Écosse, la souveraineté de l’Écosse ou une autre solution autonomiste qui pourrait être gagnante, plus rassembleuse.

    Les partis politiques peuvent bien tenter de convaincre le peuple de ses objectifs mais si le peuple refuse majoritairement, faut trouver une solution B majoritaire, qui est mieux que de stagner avec certains problèmes.

  • Champions du confort québécois, dans le Canada

    4 octobre 2011


    M. O, vous avez peut-être manqué un excellent reportage sur la reine Victoria, hier, à la télé française. Cette reine célèbre, qui a régné longtemps comme son arrière-arrière petite fille Élizabeth 11, était francophile. Elle a passé plusieurs de ses dernières vacances sur la Riviera française, près de Nice.

    Les Français et les Anglais ont eu des destins et des races mêlées, pendant des années. La langue française est venue à 2 cheveux de devenir la langue officielle de l'Angleterre "La Grande Bretagne". Ces 2 peuples se sont battus. Ils ont été souvent ennemis en guerre mais ce n'a plus été le cas avec la reine Victoria, reine et impératrice, qui aimait beaucoup Napoléon 111, empereur des Français.

    Améliorer notre place constitutionnelle avec un certain lien canadien, résister avec notre langue française, séparé ou non, en Amérique, avec seulement 2 % de francophones, va être nécessaire, si nous ne voulons pas nous angliciser. Ça va être difficile…anyway.

  • Champions du confort québécois, dans le Canada

    4 octobre 2011


    M. Henri Marineau, vous écrivez : «il existe des solutions, entre autres, l’appropriation de tous nos leviers culturels, politiques, sociaux et économiques.»

    Est-ce que vous pensez actuellement que les Québécois seraient rassurés de savoir que c’est le PLQ Charest qui gouvernerait 100 % de toutes nos taxes et tous nos impôts ?

    Vous écrivez aussi : «plus les Québécois seront convaincus qu’ils seront davantage confortables hors du Canada, plus ils voudront en sortir.»

    Si le fédéral nous traitait comme des Palestiniens ou des Tchétchènes, ça serait déjà plus facile d’avoir un OUI très majoritaire pour la souveraineté.

    Tout le problème est dans le comment convaincre un fédéraliste de virer souverainiste, quand nous avons peu de chômage au Québec, le fédéral qui devrait déclarer qu’il va nous remplacer le pont Champlain, demain, un grand nombre de personnes qui veulent immigrer au Québec, pour améliorer leur sort, quitte à se faire geler 6 mois par année. à Montréal ou à Rimouski, plus la peur du changement et celle de l’inconnu. Bonne chance à celles et ceux qui vont tenter l’affaire, s’ils se limitent à vouloir séparer le Québec du Canada…complètement. Ça prendrait une solution plus pépère, plus rassembleuse et qui fait moins peur, au pont de vue économique. Quelque chose entre la séparation et la fédération actuelle. M. Lévesque l’avait compris pour augmenter le 8 % de l’indépendance de M. Bourgault à 40 % à son élection de 1976 et au référendum de 1980. C’était la souveraineté-association, pas la simple séparation, plus son immense prestige et charisme

    À la place de tenter toutes sortes de trucs pour décider les Québécois à aller là, où la majorité ne veut pas, faut viser une destination qui leur est plus…acceptable, dans un avenir prévisible.

  • Champions du confort québécois, dans le Canada

    4 octobre 2011


    M. Robert Barberis-Gervais, je ne suggère pas un seul candidat souverainiste par comté, vu que nos partis souverainistes ne s’entendront pas sur cette solution mais, de voter pour celui qui « score » mieux dans le sondage local, juste avant l’élection. Exemple : M. Khadir va probablement mieux se classer dans son comté de Mercier et Mme Marois dans celui de Charlevoix etc.
    Si les chefs ne peuvent pas s’entendre, pour diverses raisons théorIques et pratiques, pour se séparer les comtés où ils présenteront ou pas, les candidats, afin de ne pas diviser le vote souverainiste, c’est au peuple souverain, souverainiste, comme écrirait l’autre, de se mobiliser pour faire passer les candidats souverainistes, avec des votes stratégiques souverainistes. S’agit seulement de faire passer le mot et…d’aller VOTER, quand le temps sera venu.
    Je n’ai pas écrit que nos francophones de l’Ouest ne se sont pas assimilés, j’ai écrit que l’adoption des 2 langues officielles, aide au Canada UNI. Le contraire, l’anglais seule langue officielle canadienne, aurait nuit.
    Première priorité souverainiste, élire des souverainistes, indépendantistes ou séparatistes à Québec et tenter de les convaincre de la solution de Me Cloutier, qui ne pourrait pas se concrétiser avec un gouvernement fédéraliste. Pour ça, arrêter de taper sur le PQ et/ou Mme Marois. En principe, ils sont souverainistes.
    Je ne crois pas du tout que la simple souveraineté sans association, la simple indépendance « la séparation » qui sort le Canada complètement du Québec, sera acceptable à une majorité de Québécois sauf sui le fédéral devient réellement bête et méchant avec le Québec. Ça ne sera pas demains, vu que la télé nous annonce une annonce de M. Harper au sujet du pont Champlain.
    Je ne crois pas à la souveraineté totale du Québec « hors le Canada » par manque de majorité mais je crois à une solution « gagnant-gagnant » par les partis qui sont souverainistes qui ne seront pas élus s’ils deviennent trop durs, en faisant peur aux Québécois mous de la constitution. Pas dur à comprendre. Les Québécois ne se feront pas attirer vers la souveraineté avec des claques sur la gueule des souverainistes trop pressés et énervés.

    M. Laurin est le champion, toutes catégories, du Canada uni. Ce n’était pas son intention mais il nous a confortés en masse avec le français. Par contre, c’est M. Charest qui nous aide, par son anglophilie, à mieux considérer la souveraineté, comme solution à l’anglicisation. C’est le monde à l’envers, difficile à voir clairement.

  • Champions du confort québécois, dans le Canada

    4 octobre 2011


    Solution envisageable pour la souveraineté du Québec :

    Élire un gouvernement souverainiste en votant pour le candidat souverainiste de son comté qui a plus de chances de battre, selon les derniers sondages de son comté, le candidat fédéraliste, ce qui devrait donner un gouvernement souverainiste au pouvoir, prêt, si le fédéral s'enfarge, à récolter les fruits de la déception des Québécois envers le gouvernement central quii pourrait paraître alors comme bête et méchant.

  • Champions du confort québécois, dans le Canada

    4 octobre 2011


    M. Deshaies, vous écrivez : «C’est ici aussi qu’on doit s’assurer de ne pas confondre dans notre cerveau la distinction entre « liberté collective » et « libertés individuelles ». »

    Mon message ici n’est pas de souligner si nous sommes ou pas libres individuellement ou collectivement libres mais, de souligner que l’amélioration de la place du Québec « pendant qu’il est encore dans le Canada » n’est pas du tout de nature à faciliter sa sortie de la fédération « améliorée » ainsi.

    Dès que le PQ a été élu en 1976, il a tenté solidement d’améliorer, en sécurisant, la place des Québécois francophones, en les rassurant et en améliorant leur sort individuel et collectif. Même s’il avait commencé par le référendum, avant l’adoption de la loi 101, il l’aurait quand même perdu pour une raison simple : Les Québécois, majoritairement, avaient et ont encore peur de sortir de la fédération canadienne « quitter le foyer familial sécurisant où venaient les pensions des vieux et l’assurance-chômage ». Faut dire qu’à peu près toutes les grandes entreprises étaient la propriété des anglophones sauf l’Hydro-Québec, Desjardins et la Banque nationale.

    Le lien « association » proposé par M. Lévesque n’a pas été perçu comme assez solide pour rassurer celles et ceux qui craignaient les dangers économiques liés à une chicane prévue à l’horizon par les fédéralistes qui étaient contre la souveraineté du Québec et promettaient de ne jamais négocier ou accepter une association pendant que les épargnes des riches quittaient pour l’Ontario et que la « piastre à Lévesque » à 67 sous, servait à illustrer le marasme économique québécois, si le OUI l’emportait.

    Les Québécois, majoritairement, craignaient et craignent encore plus les problèmes économiques et perdre leurs gagne-pain que de perdre le français à Montréal. Si les Québécois vivaient au niveau économique d’Haïti, ils voteraient très majoritairement OUI à la souveraineté mais, la situation économique, généralement assez favorables, des Québécois francophones, s’améliorant depuis 1976, n’aide pas LA cause souverainiste.

    Si LA cause souverainiste était plus « vendable », le PQ et Québec solidaire n’hésiteraient pas à en parler souvent. LA solution ne peut venir que du fédéral avec des lois et d’autres actions qui seraient injustes envers les francophones du Québec.

    Les chefs des souverainistes québécois sont pris au piège, plus ils améliorent le sort du Québec dans le Canada, moins les Québécois voudront en sortir. Ils ne peuvent, quand même pas, laisser dépérir le Québec pour mieux pomper les Québécois sur la souveraineté. Problème cornélien ici, s’il en est un.

  • Le retour de François Legault

    22 septembre 2011


    Le choix constitutionnel de la CAQ de Messieurs Legault et Sirois est le nationalisme pour la génération actuelle, qui n’est pas chaude à l’idée de tenir un troisième référendum sur la souveraineté du Québec qui, selon les sondages, serait perdu pour une troisième fois, ni à celle de signer la constitution canadienne de 1982.

    La CAQ place, comme le majorité des Québécois, dans ses priorités, à la place de la constitution, l’économie, la santé, l’éducation, la culture et la protection du français. Replacer, sur une période d’une dizaine d’années, le Québec sur une base plus efficace, pour mieux laisser à la prochaine génération, le choix de demeurer dans le Canada ou d’en sortir.

  • La nature a horreur du vide

    8 juillet 2011


    Vous parlez des indépendantistes du PQ de 1976. L'objectif du PQ en 1976 était la souveraineté-association avec un trait d'union au milieu. Ni la séparation ni l'indépendance pure du genre à sortir le Canada complètement du Québec qui conservait la monnaie canadienne et une association dont les termes restaient à définir du genre d'une véritable confédération canadienne qui pouvait se nommer UNION CANADIENNE.

    Maintenant, l'option constitutionnelle au PQ a perdu l'association, pour ne conserver que la souveraineté pure "la séparation", ce qui est plus extrémiste que le PQ de 1976. Le PQ actuel n'est pas plus doux sur cette option, il s'est durci. Je crois que c'est une erreur.

    L'idée Parizeau-Lapointe-Curzi-Aussant-Cloutier-Landry qu'il suffirait de préparer, de parler de séparation et de placer le pays sur la table pour qu’une majorité de Québécois disent OUI, je le veux, sans que le PQ ait à administrer une province, demanderait un référendum rapide comme en 1994 et 1995. Ça voudrait dire une élection en 2012 et un référendum avec la séparation en 2013, plus ou moins est une idée séduisante pour le 25 % de séparatistes mais plus ou moins épeurant pour les autres Québécois qui vont préférer une solution nationaliste à la Sirois-Legault à 58 % environ.

    Mme Marois ne doit pas se barrer les pieds avec une échéance référendaire, en courant le risque de perdre un troisième référendum en ligne. Ou elle adoucit l’option séparation, pour tirer plus large, ou elle attend des temps plus propices à la tenue d’un référendum, en gouvernant une province comme un parti souverainiste. Il n’y a pas 36 solutions...me semble

  • Est-ce que seuls les Canadiens-français devraient voter pour l'indépendance?

    6 juillet 2011


    Votre suggestion semble avoir du sens mais, elle ne passerait pas le test mondial ni celui du ROC.

    Les Canadiens-français ont voulu se changer en Québécois, qui, contrairement à Canadiens-français, incluent toutes les personnes qui vivent au Québec, même s'ils ne parlent pas français à la maison...normal.

    Fait que...nous sommes pris pour accepter les votes des "autres" qui sont près de 20 % de très majoritairement NON comme base pour perdre un référendum sur la souveraineté du Québec.

    Il y aurait aussi d'autres problèmes à n'accepter que les Québécois francophones du genre :

    Qui aurait droit de vote dans un mariage mixte francophone-anglophone et leurs enfants majeurs ?

    Un anglophone qui est parfait bilingue, aurait le droit de voter ?

    Si un Québécois dont le nom famille est francophone mais qu'il a perdu sa langue au Nouveau-Brunswick, avant d'immigrer au Québec, nous le laissons voter ?

    Pour les autres, un test de français avant de voter ? Le diable se cache dans ce genre de détails.

  • Immergez-vous, qu'ils disaient...

    4 mars 2011


    La seule protection du français au Québec peut venir de la francisation de tous les lieux de travail comme ça été fait pour les entreprises de 50 employés et plus.

    Bien apprendre l'anglais, pour un francophone du Québec, me semble être un actif important avec 98 % d'anglophones autour dans le ROC et aux États-Unis et 90 % de postes de Télé et de radio anglophones.

    Être bilingue n'est pas être anglicisé parce que Messieurs Parizeau et Lévesque l'auraient été.

  • Pour en finir avec la surenchère de l’enseignement de l’anglais

    4 mars 2011


    Prendre le temps d'améliorer l'enseignement du français ? Faudra, avant tout, en parler aux syndicats de profs. S'ils sont d'accord, si ça leur tente, s'ils sont prêts à réduire quelques journée de relâche et en alonger d'autres etc.

    À comparer aux Français de France, le français des Québécois est pauvre et la maîtrise de la langue anglaise aussi. Il suffit d'écouter le Ministre Jean-Marc Fournier, pour s'en rendre compte. Un vrai désastre incompréhensible en anglais. Il serait mieux de s'abstenir.

    Mme Isabelle Maréchal a déclaré cette semaine à son programme du FM 98,5 de Cogéco qu’elle envoie ses filles à l’école bilingue. 50 % d’enseignement en français et 50 % d’enseignement en anglais. Elles vont avoir de bien meilleures chances d’obtenir de meilleurs postes et salaires que les filles qui vont à l’école de notre réseau publique francophone qui en sortent poches en français et poches en anglais, comme les gars. Misère.

    Il y a une raison qui fait que les Québécois et les immigrés aimeraient mieux envoyer leurs jeunes dans notre réseau d'écoles anglophones.

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  • La Presse canadienne
  • Le Droit
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  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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