Deux PQ en un
19 mars 2008
Le PQ a un nouveau chef qui prend des initiatives pour changer de tactique afin de ne pas se cogner à répétition sur le même mur et voir si un nouveau pourrait être plus facile à gravir.
Est-ce que les Péquistes peuvent lui faire confiance un peu à ce nouveau chef à la place de tenter de deviner, sans aucune preuve, que ses intentions ne sont peut-être pas les bonnes. Faudrait qu'une certaine forme de paranoïa péquiste se calme un peu avec quelques pillules d'optimisme.
Les gérants d'estrades sont impatients quand ils ne sentent pas assez la coupe après une défaite de leur club préféré. Nous avons des bons joueurs de concession qui n'ont pas tant besoin de leçons de patins des spectateurs que d'encouragement et d'applaudissements des amateurs sans être trop chahutés par leur propre partisans, ce qui tend plus à décourager qu'à faire avancer.
Plusieurs objectifs souverainistes/autonomistes sont similaires et pourraient être l'objet de coalitions entre le PQ et l'ADQ. Si les chefs de ces partis arrêtent de s'insulter, ils pourraient travailler à faire avancer le Québec dans la direction désirée d'une façon efficace si l'esprit partisan pouvait le permettre.