Que se cache-t-il derrière le dégel des frais de scolarité
24 février 2010
Vous avez dans le mille ! Merci de votre bon article.
@ O
Ça c'est du concret ! Bravo ! Espérons !
According to linguists, Quebec might be better suited to statehood, writes Tony Atherton.
youtube.com
"Le Canada, il marche assez bien, oui, il y de petites affaires à régler, mais pas besoin de tout réouvrir et de tout donner juste pour apaiser les gens."
Roméo Dallaire
Jean-Philippe Pineault - opinons@canoe.com
24 février 2010
Vous avez dans le mille ! Merci de votre bon article.
@ O
Ça c'est du concret ! Bravo ! Espérons !
24 février 2010
Quelle chiasse ! Va t-on se sortir de ce marasme de crapules aux doigts croches, de maniganceux, de fourbes, d'hypocrites et de charognards. Oui, de charognards, car ils sont à l'affût de notre chute.
Léon, vous savez bien, Léon, il commence à s'interroger...mais il doute...y a personne qui parle, preuves à l'appui...dans son oreille. Y a moi mais je ne suis pas un homme "de confiance" qui parle fort, la broue dans le toupet. Ce qui va faire bouger Léon, c'est un guerrier, quoi ! Un guerrier qui attaque pour sauver le peuple du Québec, sa langue, sa culture, ses traditions et son patrimoine.
Quelqu'un qui voit venir et qui peut combattre les ennemis sur leur terrain.
24 février 2010
Futur cabinet du prochain gouvernement...
NT
24 février 2010
J'apprécie grandement votre texte. Plusieurs ont écrit sur le sujet ici, sur Vigile, mais ça ne sera jamais assez répété.
Par contre, je n'entends rien de semblable révélé sur la place publique ?
Vous êtes jeune et c'est rassurant.
24 février 2010
Je suis sur la même longueur d'onde que Monsieur FORTIN. Je vais même plus loin en proposant une autre approche du phénomène religieux. J'y ajoute un commentaire à propos du cours d'ECR.
Sans vouloir simplifier ou réduire l’infinie complexité du psychisme humain, et en particulier le phénomène religieux, à des « mécanismes » psycho-neuro-physio-génético-éducatifs, n’est-il pas légitime de compléter son approche traditionnelle (philosophique, métaphysique, théologique, psychanalytique, anthropologique, sociologique …) par une approche neuroscientifique ?
Les neurosciences ne cherchent évidemment pas à démontrer l’inexistence de « Dieu » (par définition, aucune inexistence n’est démontrable). Mais il est vrai, du moins à mes yeux, qu’elles incitent à conclure à son existence subjective, imaginaire et donc illusoire.
En effet, aussi balbutiante soit-elle, cette nouvelle approche permet déjà d’élaborer des hypothèses explicatives quant à l’origine et la fréquente persistance de la foi, et donc à l’anesthésie de l’esprit critique en matière de religion.
De plus en plus, cette prise de conscience devrait logiquement permettre à tout un chacun de choisir enfin, en connaissance de cause, aussi librement et tardivement que possible, ses convictions philosophiques (OU religieuses puisque le droit de croire restera toujours légitime et respectable, a fortiori si cette option a été choisie plutôt qu’imposée).
Hélas, selon moi, la liberté constitutionnelle de conscience et de religion est actuellement plus symbolique qu’effective. En effet, la liberté de croire ou de ne pas croire est généralement compromise, à des degrés divers. D’abord par l’imprégnation de l’éducation religieuse familiale précoce, forcément affective puisque fondée sur l’exemple et la confiance envers les parents. Ensuite par l’influence d’un milieu éducatif croyant unilatéral, excluant toute alternative humaniste non aliénante. L’éducation coranique, exemple extrême, en témoigne hélas à 99,99 %, la soumission y étant totale.
Les neurosciences tendent à confirmer cette imprégnation :
- Après Jacques MONOD, qui l’avait déjà pressenti en 1968, Richard DAWKINS estime que la soumission est génétique : déjà du temps des premiers hominidés, le petit de l’homme n’aurait jamais pu survivre si l’évolution n’avait pas pourvu son cerveau tout à fait immature de gènes le rendant totalement soumis à ses parents (et donc plus tard à un dieu … ).
- Dès 1966, le psychologue-chanoine Antoine VERGOTE, alors professeur à l’Université catholique de Louvain, a constaté (son successeur actuel Vassilis SAROGLOU le confirme) qu’en l’absence d’éducation religieuse, la foi n’apparaît pas spontanément, et aussi que la religiosité à l’âge adulte en dépend ( et donc l’aptitude à imaginer un « Père » protecteur, substitutif et anthropomorphique (cfr Freud !), fût-il « authentique, épuré, Présence Opérante du Tout-Autre » …).
Des neurophysiologistes ont constaté que les hippocampes (centres de la mémoire explicite) sont encore immatures à l’âge de 2 ou 3 ans, mais que les amygdales (du cerveau émotionnel), elles, sont déjà capables de stocker des souvenirs inconscients, tels que les comportements religieux, puis les inquiétudes métaphysiques des parents, sans doute reproduits via les neurones-miroirs du cortex pariétal inférieur. L’IRM fonctionnelle suggère que le cerveau rationnel, le cortex préfrontal et donc aussi bien l’esprit critique que le libre arbitre ultérieurs s’en trouvent inconsciemment anesthésiés, à des degrés divers, indépendamment de l’intelligence et de l’intellect, du moins dès qu’il est question de religion.
Ce qui expliquerait l’imperméabilité des croyants, notamment créationnistes, à toute argumentation rationnelle ou scientifique, et donc la difficulté, voire l’impossibilité de remettre leur foi en question, sans doute pour ne pas se déstabiliser (cf le pasteur évangélique Philippe HUBINON à la RTBF : « S’il n’y a pas eu « Création », tout le reste s’écroule … ! ».
Il est logique dès lors que certains athées, comme Richard DAWKINS, ou agnostiques comme Henri LABORIT, au risque de paraître intolérants, perçoivent l’éducation religieuse, bien qu’a priori sincère et de bonne foi, comme une malhonnêteté intellectuelle et morale. Henri LABORIT a écrit : « Je suis effrayé par les automatismes qu’il est possible de créer à son insu dans le système nerveux d’un enfant. Il lui faudra, dans sa vie d’adulte, une chance exceptionnelle pour s’en détacher, s’il y parvient jamais.(…) Vous n’êtes pas libre du milieu où vous êtes né, ni de tous les automatismes qu’on a introduits dans votre cerveau, et, finalement, c’est une illusion, la liberté ! ».Cela ne remet-il pas en question les travaux de tous les philosophes et scientifiques croyants, aussi éminents soient-ils ?
Pour que les libertés de conscience et de religion, et en particulier celle de croire ou de ne pas croire, deviennent plus effectives que symboliques, il faudrait, selon moi, s’orienter enfin vers un système éducatif pluraliste proposant à tous une information minimale, progressive, objective et non prosélyte sur les différentes options religieuses ET sur les options laïques actuellement occultées. L’école compenserait ainsi l’influence familiale, certes légitime mais unilatérale et donc communautariste, et cela permettrait la recherche de valeurs communes, « universalisables », parce que bénéfiques à tous. Mais cela impliquerait de devoir repenser les notions de neutralité de l’Etat et de libre choix des parents … !
Dans une génération, peut-être … ?
Michel THYS à Waterloo michelthys@base.be http://michel.thys.over-blog.org
Références bibliographiques.
Mes hypothèses explicatives quant à l’origine psychologique et éducative de la foi, ainsi qu’à sa fréquente persistance neuronale sont le résultat de nombreuses lectures. Notamment :
- Antoine VERGOTE, chanoine, « Psychologie religieuse », du, Ed. Dessart 1966.
ancien professeur à l’Université catholique de Louvain.1966.
- Vassilis SAROGLOU (son successeur) & HUTSEBAUT, D
Religion et développement humain »,. 2001.
- Patrick JEAN-BAPTISTE « La biologie de dieu » 2003 Agnès Viénot 2003.
- Jean-Didier VINCENT : « Voyage extraordinaire au centre du cerveau » Odile Jacob 2007.
- V.S. RAMACHANDRAN « Le fantôme intérieur ». Odile Jacob 2002.
- Jean-Pierre CHANGEUX « L’homme neuronal »1993, « L’homme de vérité » 1994
- Pascal BOYER « Et l’homme créa les dieux ».
- Antonio DAMASIO « L’erreur de Descartes »2001 et « Spinoza avait raison’.
- Henri LABORIT « Une vie » 1996 « Derniers entretiens »
- Mario BEAUREGARD « Du cerveau à Dieu » « The spiritual brain »
- Michaël PERSINGER « On the possibility of directly accessing every human brain by
electromagnetic induction of fundamental algorythms ».1995.
- Paul D. Mac LEAN « Les trois cerveaux de l’homme » 1990.
- Joseph LEDOUX « Emotion, mémoire et cerveau » 1994.
- John SAVER & John RABIN « The neural substrates of religion experience » 1997.
- Francis CRICK « Une vie à découvrir »
- Via Internet : « Le cerveau à tous les niveaux ». Etc …
Il faut améliorer le cours d’ECR
Oui, mais dans quel sens ?
Il n’est bien sûr pas question de vouloir imposer un multiculturalisme relativiste, comme si tout se valait. Mais faut-il pour autant n’offrir qu’une vision religieuse unilatérale ?
Privilégier la culture québécoise et la religion catholique est certes légitime, mais à notre époque de pluralisme des cultures et des convictions, cela ne peut, selon moi, que favoriser le repli identitaire, le communautarisme et donc l'intolérance.
Certes, les parents croyants ont le droit légitime et constitutionnel d'imposer unilatéralement leur religion à leurs enfants. Je crains cependant que cela ne favorise pas leur intégration à la modernité ...
Initialement, dans ce cours, il devait être fait mention de l’existence «d’autres conceptions de vie que religieuses ». C’était un minimum, par simple honnêteté intellectuelle. Or, à présent, même la mention de l’athéisme est supprimée, comme si c’était une abomination !
Tout se passe comme si l’on voulait empêcher les jeunes de choisir librement de croire ou de ne pas croire.
Sous prétexte d’ouverture à la différence et au dialogue, le cours d'ECR fait découvrir au moins six autres religions, mais avec tant de détails, que cela jette la confusion dans l’esprit des enfants et adolescents. Par comparaison, cela ne peut que renforcer la religion traditionnelle et majoritaire.
A mon avis, c’est même le but hypocrite de ce cours : tenter de compenser le déclin du catholicisme du fait de la déconfessionnalisation et la laïcisation croissantes des sociétés intellectualisées.. Rappelons-nous que, contrairement à Gérard BOUCHARD, Charles TAYLOR est théologien … ! La Ministre Michelle COURCHESNE, qui maintenait jusqu’à présent son cap, semble hélas avoir viré de bord en accordant un avantage à la communauté juive, ce qui pourrait constituer un précédent que les autres religions ne manqueront certainement pas d’exploiter.
Mais il va de soi que la culture générale implique un minimum de culture religieuse, mais aussi de culture laïque et humaniste.
Dans un souci de neutralité et afin de réduire les inégalités socioculturelles, l’école, via un cours d’ECR amélioré, devrait donc compenser l’influence des parents et d’un un milieu unilatéral, par une DOUBLE information minimale, objective et non prosélyte : d’une part, au cours d'histoire, ou lors d’un cours de philosophie, sur le « fait religieux » , y compris ce que toutes les religions ont en commun, à des degrés divers : la soumission, ET d’autre part, sur le « fait laïque » (l’humanisme laïque, ses principes de libre examen, d’esprit critique, d’autonomie et de responsabilité individuelle, ses valeurs universalisables - puisque bénéfiques à tous, telles que le respect de la dignité de l’homme, de la femme et de l’enfant , ses options, ses objectifs, la spiritualité laïque, …, actuellement occultés).
Il sera évidemment indispensable de repenser la formation et le « recyclage » des enseignants, qu’ils soient croyants ou non, car ils n’ont pas à influencer les élèves par leurs propres convictions, mais à les rendre capables de se forger les leurs.
Un tel système éducatif, hélas encore utopique, permettrait enfin à chacun de choisir ses convictions philosophiques OU religieuses en connaissance de cause, aussi librement et tardivement que possible, d’accepter la différence enrichissante de l’autre et de tendre ainsi vers une réelle citoyenneté, fondée un meilleur « vivre ensemble ».
Michel THYS Waterloo, (en Belgique, où le principe de la laïcité « politique » n’est toujours pas inscrit dans la Constitution, comme en France … !).
http://michel.thys.over-blog.org
24 février 2010
Sur cette question du crucifix (la croix portant le corps de Jésus de Nazareth) placée à l’Assemblée nationale, dans les salles de conseil de ville, en somme dans les édifices de l’État, je voudrais dire deux choses. La première est que le crucifix en soi n’est qu’un morceau de bois ou de métal ou encore un simple morceau de plâtre. Il renvoie, par contre, à différentes valeurs. Pour le chrétien, il le renvoie à l’objet de sa foi qu’il porte dans sa conscience. Pour l’artiste,le sculpteur ce sera soit une oeuvre d’art ou une horreur. Pour l’amant ou l’amante des bijoux, ce sera un décoratif, un pendatif, une croix en or soutenue par une chaîne en or. Le sens varie selon l’usage que l’on en fait. Si je m’en tiens au croyant que je suis, l’important dans le crucifix n’est pas le crucifix lui-même, mais ce à quoi il me renvoie : ma foi dans le détachement et l’engagement au service d’une humanité en quête de justice, de vérité, de compassion et de solidarité. Si pendant des générations nos ancêtres y ont trouvé cette inspiration, ce n’est plus le cas pour une très grande majorité que je considère toute aussi préoccupée que je le suis du devenir de notre humanité. Mon second point est que l’évolution nous conduit non pas à faire disparaître ces moments de méditation, mais de les rendre accessibles et respectueux des diverses croyances. Tous nous avons une conscience qui nous interpelle à sa façon. La minute de silence, en remplacement des prières traditionnelles,donne à chacun l’espace qui lui convient pour se mettre à l’écoute de sa conscience.
Un jour, une belle-soeur perdit tous ses biens dans l’incendie de l’immeuble qu’elle habitait. Tous ses souvenirs et de façon très spéciale toutes ses photos représentants ses êtres les plus chers. Lorsque je l’ai rencontrée, encore sous le choc, me racontant la perte de toutes ces photos et de tous ces souvenirs, elle ajouta : "Heureusement que je porte tous ces souvenirs dans mon coeur.Ce sera pour moi le moment de me rendre plus présente non plus aux photos que j’aimais regarder, mais à ceux et celles qu’y étaient représentés." Heureusement que ces photos n’étaient pas les personnes qu’elles représentaient.Ainsi pour le véritable croyant, avec ou sans symbole religieux, sa foi et l’humanité sont là pour lui indiquer ce qu’il a à faire. Pour tous les autres, croyants ou pas leur conscience saura bien les guider sur la voie du service à une humanité en quête de bonheur et de paix.
Il ne faudrait pas confondre nos attaches culturelles avec les réalités qui les transcendent.
24 février 2010
@NUNU
À mon avis, nos gouvernements successifs ont manqué de courage politique. Autrement dit, ils ont été des peureux, des lâches. Ils se sont déshonorés. Et ne nous demandons pas pourquoi on ne nous respecte plus maintenant.
Et toujours à mon avis, la Cour suprême du Canada après le refus du Québec de signer la constitution de 1982 a décrété dans sa grande sagesse que nous faisions toujours partis du Canada, malgré que nous n'ayons pas signé la constitution de 1982.
Encore une fois, on ne nous a pas consultés.
Nous étions absents en 1763 au moment du Traité de Paris : nous avons été cédés tel du bétail; en 1774 lors de l'Acte de Québec; en 1791 lors de l'Acte constitutionnel; en 1840 lors de l'Acte d'Union; en 1867 au moment de la signature de la fausse confédération canadienne. Et finalement en 1982 : c'est la Cour suprême du Canada qui a décidé pour nous.
Le peuple québécois n'a jamais été consulté par voie d'États généraux ou par référendum sur des dossiers aussi importants.
Et nous tolérons cela depuis des siècles.
Que vous dire de plus?
24 février 2010
Vous avez raison monsieur Perry!
Plusieurs militants et militantes ont goûté à la suffisance et à la condescendance des gens du PI par le passé. Certains devraient faire un acte d'humilité. Je ne nommerai personne. C'est de cela qu'il est question lorsque je parle de gros égos. Ces gens-là n'aiment personne à part eux! Je me méfie des individus qui prétendent détenir la seule vérité. Cela sent le sectarisme!
24 février 2010
Sur cette question du crucifix (la croix portant le corps de Jésus de Nazareth) placée à l'Assemblée nationale, les salles de conseil de ville, en somme dans les édifices de l'État, je voudrais dire deux choses. La première est que le crucifix en soi n'est qu'un morceau de bois ou de métal ou encore un simple morceau de plâtre. Il renvoie, par contre, à différentes valeurs. Pour le chrétien, il le renvoie à l'objet de sa foi qu'il porte dans sa conscience. Pour l'artiste,le sculpteur ce sera soit une oeuvre d'art ou une horreur. Pour l'amant ou l'amante des bijoux, ce sera un décoratif, un pendatif, une croix en or soutenue par une chaîne en or. Le sens varie selon l'usage que l'on en fait. Si je m'en tiens au croyant que je suis, l'important dans le crucifix n'est pas le crucifix lui-même, mais ce à quoi il me renvoie: ma foi dans le détachement et l'engagement au service d'une humanité en quête de justice, de vérité, de compassion et de solidarité. Si pendant des générations nos ancêtres y ont trouvé cette inspiration, ce n'est plus le cas pour une très grande majorité que je considère toute aussi préoccupée que je ne le suis du devenir de notre humanité. Mon second point est que l'évolution nous conduit non pas à faire disparaître ces moments de méditation, mais de les rendre accessibles et respectueux des diverses croyances. Tous nous avons une conscience qui nous interpelle à sa façon. La minute de silence, en remplacement des prières traditionnelles,donne à chacun l'espace qui lui convient pour se mettre à l'écoute de sa conscience.
Un jour, une belle-soeur perdit tous ses biens dans l'incendie de l'immeuble qu'elle habitait. Tous ses souvenirs et de façon très spéciale toutes ses photos représentants ses êtres les plus chers. Lorsque je l'ai rencontrée, encore sous le choc, me racontant la perte de toutes ces photos et de tous ces souvenirs, elle ajouta: "Ce sera pour moi le moment de me rendre plus présente non plus aux photos que j'aimais regarder, mais à ceux et celles qu'y étaient représentés." Heureusement que ces photos n'étaient les personnes qu'elles représentaient.Ainsi pour le véritable croyant, avec ou sans symbole religieux, sa foi et l'humanité sont là pour lui indiquer ce qu'il a à faire. Pour tous les autres, croyants ou pas et qui sont de ces personnes de bonne de bonne volonté, leur conscience saura les guider sur la voie du service à une humanité en quête de bonheur et de paix.
24 février 2010
Cette fois-ci Ougho, bravo!
Ivan Parent
24 février 2010
Pour réussir l’indépendance du Québec,il faut un plan,un écrit consensuel qui fait le portrait de ce que sera le Québec indépendant suite à une élection prochaine,pas nécessairement à court terme.
J’ai écrit un texte clair,précis et rigoureux dans ce sens, que j’offre gratuitement.
L’indépendance c’est aussi autre chose que l’économie,que notre propre monnaie,notre passeport exclusif.
Le temps de rêver et de discuter est passé.C’est le temps d’agir pour faire arriver le pays Québec.
24 février 2010
La lutte pour la souveraineté fut menée depuis plus de 40 ans par les politiciens avec les résultats que nous récoltons aujourd'hui. Un débat mené avec les mêmes faces, les mêmes idées perdantes et les mêmes institutions (PQ, BLOC, MQF, MNQ etc) Nous avons le résultat suivant: Une désaffectation totale des militants de 50 ans et plus et une fragmentation en dizaines de groupuscules qui se font la guerre sur le terrain avec des petits colonels aux égos gigantesques.
Je suis dur, mais c'est la triste réalité! On assiste au cour des dernières années au concours pour savoir qui est le plus souverainiste. On organise des dîners, on se remet des médailles du patriote de l'année. On s'auto-congratule mutuellement!
CELA A ASSEZ DURÉ!
Il nous faut maintenant retomber sur nos jambes. Il nous faut revenir à la case départ. La case départ; c'est d'aller sur le terrain pour parler d'indépendance nationale à nos concitoyens avec un discours neuf et des têtes nouvelles dans un mouvement rassembleur qui a les mains propres.
Les québécoises et les québécois se méfient pour mille raisons et ils n'ont pas tort!
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!