L'avortement fait partie de notre avenir
28 mai 2010
Le Québec n'a pas de problème de surpopulation et le Québec appartiendra il va de soi à ceux qui respectent la vie car les autres s'éliminent. Même un singe intuitivement peut comprendre cela .
According to linguists, Quebec might be better suited to statehood, writes Tony Atherton.
youtube.com
"Le Canada, il marche assez bien, oui, il y de petites affaires à régler, mais pas besoin de tout réouvrir et de tout donner juste pour apaiser les gens."
Roméo Dallaire
Jean-Philippe Pineault - opinons@canoe.com
28 mai 2010
Le Québec n'a pas de problème de surpopulation et le Québec appartiendra il va de soi à ceux qui respectent la vie car les autres s'éliminent. Même un singe intuitivement peut comprendre cela .
28 mai 2010
Ce qu'en disait Yves Michaud
http://books.google.ca/books?id=PVwcnPC4zGcC&pg=PA66&lpg=PA66&dq=paul+utenberg+parti+qu%C3%A9b%C3%A9cois&source=bl&ots=gO5oov8T5E&sig=WIoFNY4lwIitRdzeg8QGuMZ24lA&hl=fr&ei=28r_S9jUBcL7lwezvbjgCQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=7&ved=0CC0Q6AEwBjgK#v=onepage&q&f=false
Et Vigile
27 mai 2010
Mais quel fouillis que cet argumentaire !
Je suis pro choix, mais je pense néanmoins que chaque avortement est un drame. Pour la femme qui porte l'enfant, pour l'enfant à naître et pour la vie.
Trop d'avortements sont commis chaque année au Québec, nos taux sont effarants et il faut adopter toutes les mesures pour réduire ces interventions chirurgicales traumatisantes.
Plutôt que de s'attaquer aux avorteuses, avorteurs et avortées, il faut tout faire pour faciliter la contraception et bien entendu, lorsqu'il y a conception, la parentalité, l'adoption, etc. L'avortement doit demeurer un dernier recours, pas devenir un moyen de contraception.
Sacraliser l'interruption de grossesse comme vous semblez le faire est une fausse piste. C'est la vie qu'il faut sacraliser. Notamment en respectant l'environnement, en recyclant le plus possible, en préservant la biodiversité et en réduisant notre empreinte environnementale.
Notre planète peut supporter un accroissement naturel de l'humanité. Pas le mode de vie motorisé énergivore des pays développés.
Mon cher monsieur, si vous voulez vraiment sauver la planète, abandonnez votre voiture, réduisez votre consommation à sa plus simple expression, ne prenez plus l'avion, etc.
27 mai 2010
@ M. Perez
Le Livre noir du communisme
Je comprends que vous avez lu un livre de propagande. Je vous dirais que pour se former un jugement équilibré l'esprit rigoureux que vous êtes pourrait compléter son tour d'horizon en lisant des ouvrages de contre-propagande. À la lumière d'un probable choc des idées, un jugement plus nuancé pourrait servir davantage la cause du «juste». Je vous invite à vous renseigner en variant vos sources d'information car votre jugement ne semble malheureusement s'appuyer que sur la lecture d'une seule face de la médaille.
@M. Laterrière
J'ai failli pouffer de rire quand vous avez dit espérer que Cuba s'inspire de la démocratie à la québécoise. Au point que je me suis demandé si la bourde vous avait échappée car le début de votre commentaire est plutôt un témoignage sympathique, du genre qui ne se conteste pas. De démocratie québécoise, il n'y a pas. Le Québec n'a pas de Constitution pour fonder la démocratie et sa démocratie n'existe pas autrement que comme appendice de la «démocratie» canadienne. En fait, au Québec, les formes empruntées à la démocratie viennent de réformes effectuées au sein de la classe dirigeante monarchique d'abord et de la bourgeoisie d'affaires «canadian» ensuite qui a depuis deux siècles torpillé ou sournoisement réprimé les élans démocratiques légitimes des Canadiens-français puis des Québécois. Quelle «démocratie québécoise» ? Est-ce cette intermède de silence obligé entre deux répressions violentes ? Un temps de paix entre 1837 et 1867, entre 1867 et 1917, entre 1917 et 1970, entre 1970 et la Constitution non démocratique de 1982 ? J'aimerais bien vous voir aller disserter de la démocratie québécoise à l'Université de La Havane. Je suis sûr qu'en se comparant les Cubains trouveraient ample matière à se consoler. Ils ont notamment une constitution qui n'est pas celle de la nation voisine ! Il y a de bons titres sur la démocratie cubaine. Propagande certes, mais une propagande qui en vaut bien d'autres.
GV
GV
27 mai 2010
Salut M.Ménard
Politique de la terre brûlée (déf): Au sens figuré, cette expression désigne l'attitude d'une personne qui, risquant de perdre face à un adversaire, saccage la place que celui-ci s'apprête à prendre afin de minimiser se gains et de gêner toute progression ultérieure.
Ce soir à TVA, Pierre Bruneau a reçu Pauline Marois sachant très bien que le gros titre de la soirée allait être: Pauline Marois, victime de ses propres attaques...
Jamais Jean Charest ou ses ministres n'ont droit à autant d'agressivité de la part des interviewers à Radio-Canada ou à TVA.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Politique_de_la_terre_br%C3%BBl%C3%A9e
27 mai 2010
On m’excusera, mais l’anglais vernaculaire de l’Internet (l’anglais réticulaire ?) a pour vous une expression à ce point juste qu’elle en est irrésistible : so much fail.
Vous ne connaissez absolument rien à la démographie, ce que vous écrivez là le prouve de mille façons, c’est à ce point à côté de la plaque qu’on est découragé de vous répondre.
Le facteur important, en démographie, c’est la médecine. Autrement dit, le nombre de grossesses pour chaque femme n’a pas beaucoup changé, et ce, jusqu’à récemment. C’est le nombre de survivants qui n’est plus du tout le même. Là où il y a la médecine moderne, le taux de natalité avoisine le taux de renouvellement, avortement ou pas. L’explosion de population, au siècle dernier, s’explique par l’importation de la médecine occidentale aux quatre coins du monde, sur une période trop courte pour laisser place aux ajustements naturels, lesquels exigent une ou deux générations.
Il n’y aura pas plus de 15 milliards d’hommes sur Terre, ne vous inquiéter donc pas pour ça, et quant à ce qui nous concerne, au Québec, je ne vois vraiment pas le rapport, considérant qu’on ne manque ni de place ni de ressources, ici.
27 mai 2010
Vous écrivez :
« L’avenir des peuples passe par le retour de la démocratie et l’intelligence partagée entre les citoyens et l’état.»
"Retour" : Est-ce que ce genre de démocratie a déjà existé sur la terre ?
Un exemple svp
27 mai 2010
Je vous trouve encore polie de les traîter d'arrogants :
« A quelques-uns l'arrogance tient lieu de grandeur ; l'inhumanité de fermeté ; et la fourberie, d'esprit. »
Jean de La Bruyère
Extrait de Caractères
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27 mai 2010
M. Plourde,
Ce que vous écrivez ressemble beaucoup à la « culture de la mort » dénoncée par Mgr Ouellet, lui-même dénoncé par une meute de bien-pensants.
Ne vous avisez plus au Québec de tenir un discours qui pourrait porter à quelque réflexion sur la vie, la mort et autres sujets sérieux, vous vous ferez lapider par ceux-là même qui prônent la liberté sous toutes ses formes.
À tous les jours, nous voyons les signes de la mort de notre identité, de notre culture, de notre Histoire et de notre langue pour ne citer que ceux-là et qui ne suscitent aucunement un tel déchaînement.
Curieusement la ministre Christine St-Pierre recouvre la parole et devient tout à coup très volubile quand il s'agit d'avortement, mais généralement silencieuse lorsqu'il s'agit de notre langue.
27 mai 2010
Patience, minimum encore trois ans... C'est légal.C'est constitutionnel.
Entretemps,« pédagoger » l'indépendance rue par rue,cuisine par cuisine,comme l'IRAN pour se débarrasser du CHAT.
Vive les souris libres!
27 mai 2010
M. LE HIR,
Bravo pour vos interventions pertinentes et musclées, non seulement sur le Caisse, mais sur Hydro-Québec et d'autres sujets de brûlante actualité nationale !
Pour ce qui est de la Caisse de dépôt, il est clair que le refus catégorique de Charest au printemps 2009 de lancer une enquête publique sur les pertes catastrophiques - et scandaleuses - de la Caisse déjà fort révélateur, c'est-à-dire très louche. D'ailleurs, je vous rappelle que notre establishment financier-gouvernemental avait littéralement paniqué à la sortie de mon livre "La Caisse dans tous ses états", le 14 mai l'an dernier. La Caisse avait fait émettre une mise en demeure et réussi à le faire retirer du marché au moment où Henri-Paul Rousseau allait être interrogé en commission parlementaire. Vous savez que le livre contenait une critique sévère de l'administration Rousseau, en montrant comment les politiques mises en place par cette administration avaient abouti aux pertes historiques de 40 milliards en 2008. Ce n'est pas un hasard si la personne qui avait fait émettre cette mise en demeure n'était nulle autre que l'ancienne adjointe (et femme de confiance, si on peut dire) de Rousseau, Suzanne Masson. Comme quoi, même retiré de la Caisse, HPR continuait de tirer les ficelles. On l'a bien vu, d'ailleurs, quand Sabia s'est empressé d'aller le rencontrer au siège de son nouveau patron, Power Corporation. Et c'est pourquoi d'ailleurs notre presse nationale, soviétisée par Power, s'est empressé de couler mon livre dans le béton du silence absolue. Ils ont bien réussi, car aujourd'hui, un an après, c'est comme si ce livre n'avait jamais existé. Pourtant, il est revenu presque tout de suite sur les tablettes des libraires, où il est encore. Mais il est difficile de percer le monolithisme qui règne actuellement dans les grands médias québécois... et qui s'accorde bien avec le gouvernement arrogant et quasi inexpugnable que l'establishment financier a installé aux commandes à Québec.
27 mai 2010
À l'attention de M. Perez, si préoccupé des droits de la personne et du droit international, l'extrait d'un rapport que le Monde Diplomatique transmet dans sa toute dernière livraison sur le Honduras:
"De retour d’une mission au Honduras, une délégation de la Commission interaméricaine des droits de l’homme s’est déclarée « préoccupée » : elle a identifié « une série d’assassinats, en particulier de beaucoup de journalistes [sept pour être précis] qui ne donnent pas lieu à une enquête appropriée (2) ». On estime à cent cinquante les exécutions extra-judiciaires perpétrées depuis le coup d’Etat par des paramilitaires et des membres de la police ou de l’armée."
Une situation qui devrait interpeller M. Perez qui s'était porté à la défense des militaires et des oligarchies honduriennes au moment du coup d'État.
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