Avant la venue des blancs en Amérique, le territoire était sauvage "dans le sens de pas développé" en très grande partie ne s'appelait pas le Canada.

Les Français ont été les premiers à "exploiter autrement le territoire" et à se prendre pour des Canadiens, des habitants dans le sens de cultivateurs sédentaires qui prenaient possession de la terre. Nos Indiens se sont fait alors tasser.

Le mot habitant s'est retrouvé dans plusieurs de nos chansons de notre folklore "canadien".

Ne serait-ce pas plutôt: "Voici l'air fameux z-entre tous."

(Avec la faute de liaison volontaire!)

RCdB

Jacques L. (Trois-Rivières)

Le PQ a déja pris le pouvoir avec un programme référendiste-souverainiste concret, dans un contexte où les taux d'appui à la souveraineté avoisinaient ceux d'aujourd'hui.

Remarquez aussi que le PQ de 2008, débarrassé de l'engagement référendaire clair et expéditif de 2007, n'a recueilli qu'environ vingt-mille voix de plus, sur au-delà d'un million. Cela ne dit pas dout et il y a plein d'autres facteurs à considérer, mais convenez qu'il n'y a pas là de quoi conclure que le PQ doive absolument s'éloigner de l'indépendance pour gagner en popularité.

N.P.

il m'arrive d'apprécier votre prose virulente. C'est le cas cette fois-ci. Sauf que...

Vous écrivez:

"Suite à ce code de vie, André Drouin a voulu continuer sur cette lancée mais il l’a fait, cette fois, à titre personnel et, en fait, il a quelque peu dépassé les bornes. La population d’Hérouxville, évidemment, ne veut plus entendre parler de toute cette affaire et son maire, Bernard Thompson, administre sa municipalité avec justice et transparence et devrait servir d’exemple à tous ceux qui ont les pieds englués dans la corruption."

On voit que vous êtes bien informé et c'est normal puisque nous avons un ami commun: Claude G. Thompson, le frère de Bernard Thompson qui a écrit lui aussi que André Drouin "a quelque peu dépassé les bornes" opinion que semble partager son frère Claude et vous aussi.

André Drouin agit maintenant à titre individuel comme citoyen engagé. Il suit à la trace dans le monde entier tous les dérapages causés par l'intégrisme musulman. Et il pense toujours que ces dérapages peuvent survenir au Québec. Au Québec, conséquent avec lui-même, il fait la promotion de la laïcité pas ouverte mais réelle. Je ne vois absolument pas comment il dépasse les bornes. Quelle bornes et imposées par qui?

Voulez-vous avoir l'obligeance de vous expliquer.

Robert Barberis-Gervais, Vieux-Longueuil, 21 décembre 2010

C'est le message que voulait transmettre RBO lors de la parodie «Hérouxtiville».

C'était un sketch plutôt drôle mais le message de RBO était honteux!

Quand on relit le code de vie d’Hérouxville, on s’aperçoit que tout ça n’est absolument pas du racisme mais du gros bon sens. Bien sûr que nous n’avons jamais vu une lapidation au centre de Montréal ou de Québec, mais le fait de le mentionner nous rappelle que certains pays pratiquent encore la charia qui permet ce genre d’horreurs et que l’Ontario, tout à côté de chez-nous, a passé très proche d’adopter ces tribunaux islamiques. Les assassinats d’ « honneur » ont déjà eu lieu chez-nous et les excisions aussi, alors le mentionner serait risible? En fait, presque toutes la presse québécoise a applaudi à la ridiculisation de ce village gaulois, c’est minable! Au contraire, nous aurions dû les féliciter de leur courage.

Suite à ce code de vie, André Drouin a voulu continuer sur cette lancée mais il l’a fait, cette fois, à titre personnel et, en fait, il a quelque peu dépassé les bornes. La population d’Hérouxville, évidemment, ne veut plus entendre parler de toute cette affaire et son maire, Bernard Thompson, administre sa municipalité avec justice et transparence et devrait servir d’exemple à tous ceux qui ont les pieds englués dans la corruption.

À l’instar de M. Yves Michaud, jamais ces citoyens n’ont reçu d’excuses des médias ou de la part de ces intellos de centre d’achats qui continuent, comme si de rien n’était, à tenter d’influencer le pauvre petit peuple que nous sommes.

Ivan Parent

RCdB

M. Gignac, il y a un parti indépendantiste, pas trop vieux, qui veut faire l'indépendance rapidement et directement et sans référendum, même s'il y a moins de 50 % de souverainistes, c'est le PI. Le seul problème pratique, pour réaliser l'indépendance, est qu'il est encore en dessous de 1 % dans les intentions de votes et aux élections.