Pendant que tous les yeux sont braqués sur sa nouvelle « Commission », JJC nous en passe une p’tite vite
20 octobre 2011
Comment font les libéraux pour se fermer les yeux et se
boucher les oreilles afin de passer pour des imbéciles?
According to linguists, Quebec might be better suited to statehood, writes Tony Atherton.
youtube.com
"Le Canada, il marche assez bien, oui, il y de petites affaires à régler, mais pas besoin de tout réouvrir et de tout donner juste pour apaiser les gens."
Roméo Dallaire
Jean-Philippe Pineault - opinons@canoe.com
20 octobre 2011
Comment font les libéraux pour se fermer les yeux et se
boucher les oreilles afin de passer pour des imbéciles?
20 octobre 2011
Le problème ce n'est pas tant que le PLQCharest dégringole, car on le sait tous.
Le problème, le vrai problème c'est que le PQMarois ne lève pas, alors que cela devrait être le contraire.
En plus, François Legault n'est pas encore officiellement en lice.
Pierre Cloutier
20 octobre 2011
Després c'est le %?&%$/? qui travaillait au cabinet de Sheila Copps lors de la crosse des Olympiques!
1998, le Comité olympique canadien tasse Québec et choisit Vancouver comme candidate canadienne aux JO de 2010.
Comme le résultat doit être annoncé quelques jours avant l'élection québécoise, Sheila avait manoeuvré pour que le résultat soit divulgé APRÈS l'élection afin de ne pas nuire aux candidats libéraux dans la région de Québec.
Deprés travaillait alors au cabinet de Sheila Copps.
20 octobre 2011
Très pertinent votre référence madame Isabelle Poulin.
Vous avez bien compris le sens d'une appréciation du
contexte, premier principe de stratégie d'envergure ou
stratégie d'État. On voit que les dirigeants politiques
anglais de l'époque sont très conscients des enjeux
nouveaux qui se présentent et confrontent l'Empire
Britannique.
Au Québec, nous devons apprendre à en faire autant et
partant, à savoir ce qu'est une appréciation du
contexte, suivie d'une appréciation de la situation,
suivie de la détermination d'objectifs praticables
et réalisables dans l'espace et le temps, suivie
du maintien du moral, concentration et économie de
l'effort, simplicité, souplesse, etc. Ces principes,
comme le mentionne monsieur Jean Jacques Nantel, sont
immuables.
JRMS
20 octobre 2011
Sur le 33G, 8G viendront des poches des Québécois. 8G qui vont sortir du Québec pour créer des grosses jobs en Nouvelle-Écosse surtout (1 million d'habitants)
8G c'est l'équivalent de l'Autoroute des Bleuets (1G), l'échangueur Turcot (3G) et les deux nouveaux CHUM
Cherchez le Pauline à matin...
Le PQ ne fait plus le combat de l'indépendance depuis 16 ans. Le PQ va mourir et moi je ne pleurerai pas sur son cadavre.
20 octobre 2011
Il est tout simplement « simple d'esprit »! Un Simplet...
Synonymes de simplet : naïf, crédule, confiant, inexpérimenté, « jeune », niais, benêt, nigaud, candide, ingénu, innocent, simple, enfantin, sot, ballot...
Quand le benêt du village devient maire...
19 octobre 2011
Je suis on ne peut plus d'accord avec vous Monsieur Dion. J'ajoute que je ne m'attendais à rien d'autre de la part de JJ Charest lequel, n'a aucun INTÉRÊT pour que se tienne une VÉRITABLE COMMISSION D'ENQUÊTE DANS LA CONSTRUCTION ... Il se "cognerait" lui-même sur les doigts et continue donc sa mascarade pour rester hors portée d'une VRAIE JUSTICE !!!
À l'âge de 64 ans, je ne pensais jamais que les dirigeants du Québec tomberaient aussi bas ... C'est de l'abus de pouvoir et du MÉPRIS à l'égard du PEUPLE qui a DROIT de connaître la VÉRITÉ !!! Mais y-a-t'il UNE seule personne dans cette province qui ne va plus nulle part, qui croyait sincèrement que la Vérité sortirait au grand jour sous son règne ?? Certainement pas moi ...
Alors OUI, il faut de toute urgence une mobilisation de tous ceux et celles qui AIMENT et RECHERCHE la VÉRITÉ et qui ne se contentent pas de cette FUMESTERIE de ??? d'Enquête ... Vous aurez compris que pour moi, ce que propose JJ CHAREST est TOUT, sauf une VRAIE COMMISSION D'ENQUÊTE !!
C'est un autre piège à CONS du genre qu'il avait si habilement réservé à son ancien Ministre de la JUSTICE : Monsieur Marc Bellemare. Alors pour faire court, OUI j'exige la démission de Son Déshonneur JJ Charest, c'est le le geste à poser, pour retrouver un tant soit peu de démocratie et de dignité dans la Belle Province !!
19 octobre 2011
Quelquefois, comme dit Hamlet, le bruit des choses les plus profondément enfoncées sort de terre, et, comme les feux du phosphore, court follement dans l’air; mais ce sont des flammes qui éclairent un moment pour égarer.
Le comte de Monte-Cristo. Dumas
19 octobre 2011
Ce sont des rationalisations monsieur Fortin, pas des
raisonnements. Il leur en faut des contorsions mentales
pour masquer le réel qui les dépasse. C'est ce que
Stefan Zweig appelait la force d'inertie des institutions
en place, force qui les entraîne catastrophiquement vers
le bas, comme la boule de neige qui dévale une montagne
et prend des proportions telles que personne ne pourra
plus l'arrêter lorsqu'elle écrasera la maison en bas.
Thinking big et voir oû ça mène...
JRMS
19 octobre 2011
Écoutez bien monsieur Fortin,
Personnellement, je ne serais pas capable de mettre les pieds dans un pays dont le gouvernement commet des attentats contre ses propres citoyens. C'est pourquoi je ne veux pas aller aux États-Unis car les attentats du 11 septembre 2001 sont selon de nombreux experts, architectes, ingénieurs etc... suspects.
Je sais qu'une majorité de Québécois projettent de voyager aux États-Unis dans l'année qui vient selon certains sondages. Mais avouons que les Québécois ne sont pas de nature portés à philosopher et à réfléchir étant plutôt un peuple pragmatique et superficiel comme l'avait noté au 19e siècle Lord Durham dans un rapport célèbre.
Les Américains eux aussi sont superficiels et pragmatiques mais un peu moins que les Québécois car eux commencent à être excédés de voir leurs élites dirigeantes prêtes à tout pour conserver pouvoir, argent et privilèges.
Il est certain que partout dans le monde, la politique est l'art de mentir à la population et cela toujours pour la même raison. C'est l'homme d'État et penseur anglais du 16e siècle Thomas More, que vous devez sûrement connaitre, qui a résumé comment fonctionnait la politique dans son célebre ouvrage "L'Utopie". Vous pouvez constater que rien n'a vraiment changé en 500 ans. Voici ce que dit Thomas More:
"Lorsque j’envisage et j’observe les républiques aujourd’hui les plus florissantes, je n’y vois, Dieu me pardonne ! qu’une certaine conspiration des riches faisant au mieux leurs affaires sous le nom et le titre fastueux de république. Les conjurés cherchent par toutes les ruses et par tous les moyens possibles à atteindre ce double but :
Premièrement, s’assurer la possession certaine et indéfinie d’une fortune plus ou moins mal acquise ; secondement, abuser de la misère des pauvres, abuser de leurs personnes, et acheter au plus bas prix possible leur industrie et leurs labeurs.
Et ces machinations décrétées par les riches au nom de l’État, et par conséquent au nom même des pauvres, sont devenues des lois."
Ils auront beau nous parler "d'espoir", il n'en demeure pas moins qu'ils feront toujours ce que Thomas More décrit dans le texte ci-haut. Et More savait de quoi il parlait puisqu'il était lui-même chancelier d'Angleterre et fréquentait les milieux décisionnels quotidiennement.
19 octobre 2011
Cette idée a certainement effleuré l’idée de beaucoup d’entre nous mais exprimée aussi clairement comme vous le faite, M. GAGNÉ, elle émerge à nos consciences comme une évidence. En suivant vos arguments pour appuyer votre hypothèse, elle en acquière que plus de crédibilité. Je suis toujours étonné de la qualité de certaines interventions sur Vigile. La vôtre, M. GAGNÉ, n’y fait pas exception.
Nous serons fixés dans quelques heures sur la nature de la commission d’enquête que le parrain nous proposera. Si le résultat est comme je le pense, il serait impardonnable que certaines figures de l’opposition passent à côté de cet événement historique. C’est tout ce que j’ai à dire. Avis aux intéressés !
19 octobre 2011
"Intégrer la mémoire de la composante fondatrice dans l'ensemble de la vision de cette culture québécoise" (Gerard Bouchard)
Il y aurait donc une culture québécoise dans laquelle la composante fondatrice ne fait pas partie et qui devrait y être "intégrée".
C'est bien le monde à l'envers de Gérard Bouchard, pour lequel c'est la nation de souche qui doit être intégrée !
Pourtant, le bon sens dicte que ce sont les immigrants qui doivent être intégrés dans cette nation québécoise pour en enrichir la culture.
Or, c'est précisément ce que les pédagogues oblitèrent des cours de l'histoire nationale et qui résulte en un récit nombrilliste de la famille québécoise tissée serrée entre les quatre murs de la province. Une histoire, donc, dont la vision "enfermée" dérange et dont les mêmes pédagogues ont décidé de graduellement effacer du curriculum.
Mais pourquoi ces pédagogues ont-ils au départ construit ce récit fermé sur le monde ? Parce que lorsqu'ils l'ont conçu, l'immigration n'était pas encore ce que nous connaissons aujourd'hui et que cette histoire "balisée" avait l'avantage d'éviter d'avoir à entrer dans des zones qui risqueraient de dévoiler le "portrait d'ensemble" de l'histoire nationale. Un portrait d'ensemble qui contredirait la politique fédérale et de l'empire.
Or, quelles sont ces zones sensibles ? Elles sont les liens de l'histoire du Québec avec le reste du monde. C'est le fait que la nation québécoise n'est pas une histoire locale avec des acteurs locaux, mais une histoire mondiale dont la pluspart des peuples qui émmigrent au Québec aujourd'hui font déjà partie avant même d'arriver. C'est à dire que les ancêtres de ces immigrants ont aussi un rôle dans l'histoire de la nation québécoise et que c'est ce rôle que l'on refuse d'intégrer dans les cours d'histoire nationale. On entretient alors la vision que les Québécois et immigrants ont des histoires distinctes.
C'est le tour de passe-passe de Gérard Bouchard ; "Intégrer la mémoire de la composante fondatrice dans l'ensemble de la vision de cette culture québécoise".
La vision québécoise étant ce communautarisme quasi-raciste nommé interculturalisme mais qui sert tout autant la politique multiculturaliste fédérale et de l'empire.
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