Démondialiser, et vite ! Ça urge !
9 janvier 2013
M. Le Hir, merci pour cet article et bienvenu dans l'univers du complot.
Souvent, ici même sur Vigile, j'ai confessé ma "complotite aigüe". Souvent aussi, j'ai redis que tous ceux qui en souffrent ne peuvent avoir toujours tort.
À cet effet, j'aimerais soumettre le texte d'un des maîtres à penser de la théorie de la conspiration, à savoir Pierre Hillard. On peut le retrouver sur le site Voltaire de Thierry Meyssan, un autre atteint, à: http://www.voltairenet.org/article164176.html
Vous écrivez: "L’agenda de la mondialisation est donc téléguidé depuis le milieu des années 1950 par un groupe de gens très riches qui ont entrepris de conquérir le monde pour satisfaire leur appétit d’enrichissement personnel et leur soif de pouvoir".
Vous savez comme moi, j’en suis sûr, que la « génération spontanée » n’existe pas. Merci Pasteur.
Hillard, dans son texte où il nous présente entre autres Cecil Rhodes, fait remonter cet agenda beaucoup plus loin dans le temps.
Je le cite: "Pour mieux comprendre la situation désastreuse dans laquelle les défenseurs de la cause nationale se trouvent en ce début de XXIè siècle, il est nécessaire de rappeler dans ses grands traits le rôle éminemment important de la puissance financière et aristocratique anglo-saxonne. Celle-ci a toujours constitué un Etat dans l’Etat. On peut situer sa prise du pouvoir suite à l’instauration de la « Grande Charte » du 15 juin 1215. Après la défaite du roi Jean Sans Terre d’Angleterre, le 27 juillet 1214 à Bouvines face au roi Philippe Auguste, les barons anglais ont arraché des privilèges politiques et financiers. Désormais, la couronne britannique est obligée de composer et de collaborer avec une caste qui allie force, puissance financière et ambitions commerciales. Dès cette époque, une élite avide, revendicatrice et orgueilleuse est née. Elle est à l’origine de l’existence de ces groupes de pressions (ou lobbies) qui, par des voies aussi diverses que la finance, le renseignement ou les médias, exercent des pressions sur le pouvoir politique". C'est dire.
Une lecture, à mon humble avis, plus qu'enrichissante pour chacun ayant à coeur une suite des chose "pour et par le peuple" comme se plaît à le répéter votre ami Pierre Cloutier.
Car là réside le noeud du problème à mon sens. L'appropriation du bien commun par les dotés de trois mains.
Comment, en effet, ne pas craindre qu'un éventuel "réveil" de notre peuple ne suscitera pas , de leur part, une réponse à la lybienne, ou encore à la syrienne. Nous ne sommes pas le Mali tout de même.
Parlez-en avec Harper, participant de Bilderberg en 2006.
Ainsi rentrent dans le rang les récalcitrants. "Je te démonise et te détruis, ou tu t'écrase"!
Certains avaient prévu que Gesca démoniserait Pauline. Pourtant, la tâche est réalisée de façon plutôt soft. Ne trouvez-vous pas? Serait-ce que sa gouvernance, somme toute, sert les intérêts de mon'onc? Poser la question...
André Lemay