Le « prix Nobel d’économie » se montre assez pessimiste, comparant la situation actuelle à celle de l’Europe d’avant 1914…
Bref, les dirigeants européens ont repoussé le moment où ils finiront par devoir démanteler cette construction baroque et artificielle qu’est l’euro. L’intelligence de l’Allemagne est d’éviter les mécanismes qui compliqueraient une telle issue.