« Le socialisme est une philosophie de l'échec, le credo de l'ignorance, l'évangile de la jalousie, sa vertu inhérente est la répartition égalitaire de la misère. » Phrase extraite du blog Mirando a Cuba
La réalité des élections célébrées au Venezuela dimanche dernier (26-09-2010) n’est pas une ‘’victoire’’ cháviste comme veulent nous le faire croire les apologistes du néo-marxisme ―aujourd’hui appelé ‘’socialisme du XXIème siècle’’ (sic), autre manipulation pour embobiner ceux qui pourraient être intéressés à l’utopie du communisme avec un nouveau ‘’visage’’ politique destiné à produire de nouveaux faux espoirs et de la misère pour l’immense majorité soumise à ce système politique pervers de composition pyramidale inversée, de haut en bas―, sinon cette autre réalité qui se dégage des résultats officiels donnés par l’organisme étatique CNE (Consejo Electoral Nacional) qui vont provoquer une recrudescence totalitaire menant à des actions politiques, législatives, socioéconomiques et de violence contre la majorité opposée au régime communiste de Chávez. Car cette recrudescence totalitaire se produira à conséquence de la débâcle électorale subie par le régime chaviste dimanche dernier.
Avant d’exposer les résultats de ces élections et les conséquences pour le pouvoir d’Hugo Chávez ainsi que pour l’opposition démocratique formée par la coalition Mesa de la Unidad Democrática (MUD), rappelons le commentaire écrit par M. Raymond Poulin, destiné à manipuler la réalité concernant les résultats de ces élections :
« Il ne manque plus qu’un texte de M. Pérez nous expliquant laborieusement que cette victoire, c’est la faute à Ahmadinejad, aux néo-marxistes, aux gramsciens et aux islamistes radicaux. Sans oublier le chausson aux pommes. Chouette ! »
Effectivement, ce texte ‘’tant attendu’’ par mes détracteurs est écrit tout d’abord en hommage à l’opposition démocratique unifiée du Venezuela contre le communisme et pour révéler la terrible défaite que le parti du putschiste Hugo Chávez a subi dans ces élections.
Voici sommairement ces résultats : le Partido Socialista Unificado de Venezuela (PSUV) de Chávez a obtenu 48,84 % de votes lui octroyant 98 députés ―loin des 110 sièges requis à l’Asamblea Nacional pour avoir la majorité qualifiée du 2/3 requis à la promulgation de lois―. La Mesa de la Unidad Democrática (MUD) a obtenu 51,54 % de votes, remportant 67 sièges.
Comme nous le constatons, cette nouvelle réalité politique est une grande victoire pour la DÉMOCRATIE au Venezuela et un grand obstacle pour le projet communiste ‘’bolivarien’’ du marxiste Chávez. Ce sont aussi des résultats terribles pour ce messianique totalitaire qui veut à tout prix mener le peuple vénézuélien à une dérive marxiste comme le régime tyrannique des frères Castro imposé au peuple cubain.
La déroute électorale du parti « oficialista » (PSUV) va irrémédiablement provoquer une spirale de violence telle que les régimes dictatoriaux sont habitués d’effectuer lorsqu’ils n’ont pas le monopole du pouvoir. Hugo Chávez sait que l’immense majorité des Vénézuéliens est contre son projet socialo-communiste, comme le démontre le rejet des électeurs dans les deux états frontaliers à la Colombie (Táchira y El Zulia), lesquels ont voté massivement pour la Mesa de la Unidad Democrática (MUD), constituée par les partis démocratiques opposés au projet marxiste de Chávez.
À partir de maintenant le grand défit et objectif pour les démocrates vénézuéliens consiste à confirmer une solide unité politique sans faille ―l’achat de volontés sera une constante de la part de ce régime― qui puisse se convertir en un éclatant triomphe aux élections présidentielles de 2012. Il faut rappeler qu’en 2005 l'opposition avait boycotté les élections législatives. Cette décision avait donné carte blanche à Chávez, et aujourd’hui ses adversaires le regrettent amèrement, puisque défaire les barbaries commises par le pouvoir totalitaire chaviste sera une tâche difficile et ardue.
Cette fois-ci l'opposition au chavisme n'a pas commis l'erreur des dernières élections législatives de 2005, se présentant aux élections du 26 septembre dernier avec une liste d’unité nationale. Une liste de concentration des partis démocratiques (MUD) dans laquelle ses candidats ont opté d’un front commun pour freiner dans la mesure du possible tout ce que le régime chaviste a l’intention de faire concernant l'imposition d'une dictature socialiste à la cubaine au Venezuela. Une sage décision d’unité des adversaires au communisme de Chavez et celle de l'électorat qui s'est massivement consacré à voter pour la Mesa de la Unidad Democrática (MUD), lui octroyant 52 % des votes qui, par les ruses légales de Chávez, n’ont donné que 67 députés, quand le PSUV de Chávez a obtenu 98 députés, n’ayant eu que 48, 84 % des votes.
Le chavisme sera vaincu en 2012, mais entre temps il mourra politiquement en massacrant
Dans un tel contexte politique, c’est ainsi qu’une ferme adversaire du régime communiste chaviste décrit la nouvelle situation après ces résultats électoraux : [« L'histoire d'amour entre Chávez et le peuple est terminée. Nous sommes de retour », veut croire Berta Morales, une des principales figures de l'opposition.
L'Unité démocratique évoque un mécontentement croissant à l'égard de la gouvernance autoritaire du président et de la criminalité dans le pays - il y aurait eu entre 13 000 et 16 000 homicides l'an dernier ―devenant le pays le plus dangereux au monde―, sur une population de 27 millions d'habitants; le New York Times a laissé entendre que le Venezuela était plus dangereux que l'Irak ―avec 4 500 morts―.
L'opposition pourrait aussi bénéficier des difficultés économiques du pays, qui traverse sa deuxième année de récession avec une inflation frôlant les 30 % et des exportations en recul. ](2)
Contrairement à cette réalité d’anarchie politique, économique et de violence, Ignacio Ramonet, l’apologiste du communisme internationaliste, veut nous faire croire, par ses informations rétrospectives insensées prises dans un contexte d’il y a onze (11) ans, afin de justifier que depuis que le marxiste Hugo Chávez est au pouvoir la violence, la misère, la violation de la Constitution, la contrainte imposée par les commissaires politiques à la société civile et aux Forces armées, l’islamisation, le népotisme et la corruption en système faisant partie intégrante de l’actuelle Venezuela, que ces faits ne relèvent pas de la responsabilité de Chávez sinon du passé d’anarchie institutionnalisée. Cette manière démagogique de manipuler les faits est la justification perverse que les « intellectuels organiques »(3) étant au service d’une idéologie anachronique, comme s’est avéré être le communisme, ne peut être justifiée que s’il y a des intérêts particuliers réciproques(4). Ce que l’Histoire du communisme nous a révélé depuis la chute du Mur de Berlin(5).
Mais la conclusion principale qu'il faut tirer des résultats des législatives de dimanche dernier (26-09-2010) n'est pas tant d'arithmétique parlementaire, qui continue inclinée du côté de Chávez, comme la force populaire qui a gagné dans dernières années la cause de l’opposition. Si la Mesa de la Unidad Democrática (MUD) se maintient ferme dans son objectif d'éradiquer le marxiste Chávez de la scène politique du Venezuela, il a, avec ces 67 députés, une haute probabilité de l'obtenir dans les prochaines élections présidentielles qui se célébreront en 2012. C’est lors de ces élections présidentielles où Chávez et son régime liberticide vont être mis face à la réalité de leur projet communiste ‘’bolivarien’’. L'opposition a maintenant l'obligation de persévérer dans les principes et les valeurs démocratiques qui l'ont faite créancière de la dernière victoire électorale et de les projeter dans ce futur immédiat de deux ans, procurant ainsi une « Politique de Consolidation de la Sécurité Démocratique » afin de faire du Venezuela un pays démocratique, prospère et libre.
Cependant, le panorama sorti de ces dernières élections est terrifiant. En effet, avec Chávez et son PSUV privés de l'alibi parlementaire, le Venezuela fait face à un nouveau tour de force bolivarien comme cela s’est passé il y 10 ans. Chávez aura à gouverner contre la volonté de l'Assemblée Nationale et non avec le propulseur moral et politique de cette Assemblée comme il a fait jusqu'à présent. Alors, il y a une grande possibilité qu’augmente la violence politique dans les rues des villes, ou encore que le dictateur ignore l'Assemblée Nationale et continue à gouverner de l’unique manière qu’il sait le faire. Tout probablement, les Vénézuéliens vont souffrir dans l'avenir immédiat une situation pénible issue de ces deux effets pervers : violence et violation des lois, dont le régime chaviste est un expert accompli.
D’autre part, hier (28-09-2010) Hugo Chávez, avec les ruses qui le caractérisent comme étant un grand manipulateur, a lancé un nouveau défi-piège au maire de Caracas, Antonio Ledezma, consistant en ce que l’opposition (MUD), sortie des dernières élections, demande un référendum « revocatorio » (de destitution) contre lui, ce dont le maire de cette ville avait rejeté, répondant à Chávez que ce qu’il doit faire est de se « mettre au travail » pour le pays.
Jean-Louis Pérez
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1. Commentaire écrit suite à l’article d’Oscar Fortin, VENEZUELA. Une démocratie bien vivante. Un coup dur pour les dénonciateurs
2. Passages extraits de l’article intitulé Législatives en forme de test pour Chávez, publié par Le Devoir. Pour plus d’information, consulter :
http://www.ledevoir.com/international/amerique-latine/296971/legislatives-en-forme-de-test-pour-chavez
3. Dans l’article Des « intellectuels organiques » je décris la manière d’agir que prennent ces apologistes du communisme :
http://www.vigile.net/Des-intellectuels-organiques
4. Toujours ces apologistes du communisme ont, par des liens contractuels idéologiques et financiers, des moyens de publier dans les grands réseaux de mass médias, assurant de bonnes relations avec les dictateurs de tout acabit. Par exemple, ce que rapporte cette information concernant Ignacio Ramonet, l’ex directeur du journal mensuel le ‘’Monde diplomatique’’ : « Une controverse, alimentée notamment par Reporters sans frontières, existe quant à sa proximité avec Fidel Castro; allégations qu’il a démenties8. En mai 2004, Ignacio Ramonet apporte son soutien à Fidel Castro en direct à la télévision alors que ce dernier proteste contre le classement que Forbes vient de publier : celui des fortunes des chefs d'État, où Fidel Castro apparaît en 7e position9. Il a publié en septembre 2006 : Fidel Castro : Biografía a dos voces » (information extraite de Wikipédia).
5. Un exemple de ces intérêts particuliers qui furent constitués par l’un des membres de la nomenklatura russe et parmi tant de milliers d’autres, consulter La femme du maire de Moscou assure ses arrières... en Autriche
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/la-femme-du-maire-de-moscou-assure-ses-arrieres-en-autriche_921554.html
Une première étape est franchie pour déloger Hugo Chávez en 2012
Venezuela : la majorité contre le communisme
52 % des électeurs ont voté contre le projet socialiste ‘’bolivarien’’
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15 commentaires
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
30 août 2017La dictature socialo-communiste de la mafia chaviste face à la réalité de son totalitarisme :
Un rapport de l’ONU sur le Venezuela accable le régime de Maduro
http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/08/30/au-venezuela-un-rapport-de-l-onu-accable-le-regime-de-maduro_5178603_3222.html#yIhsFKHqO9dfBcBu.99
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
26 août 2017Pourquoi la dictature socialo-communiste chaviste conduira le Venezuela vers l'anarchie nationale :
Un total de 49 médias ont été fermés par le gouvernement vénézuélien en 2017, a dénoncé samedi le principal syndicat de journalistes du pays, lors d'une manifestation organisée après la censure de deux radios locales très connues.
Pour en savoir davantage, lire Venezuela: 49 medias fermés par le gouvernement en 2017
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201708/26/01-5127899-venezuela-49-medias-fermes-par-le-gouvernement-en-2017.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
23 août 2017Pour en savoir davantage sur le Pouvoir mafieux chaviste, veuillez consulter Venezuela: l'ex-procureure, en fuite, accuse Maduro de corruption
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201708/23/01-5126922-venezuela-lex-procureure-en-fuite-accuse-maduro-de-corruption.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
1 août 2017Complément d'information sur le dictateur Maduro
Le président américain Donald Trump a tenu «personnellement responsable» son homologue vénézuélien Nicolas Maduro du bien-être des deux figures de l'opposition arrêtées mardi, ainsi que de toutes les personnes ayant été capturées.
«Les États-Unis condamnent les actions de la dictature Maduro», a indiqué mardi soir M. Trump dans un communiqué, estimant que Leopoldo Lopez et Antonio Ledezma étaient des «prisonniers politiques détenus illégalement par le régime».
En savoir davantage : Venezuela: Maduro tenu «responsable» du bien-être des opposants arrêtés
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201708/01/01-5121249-venezuela-maduro-tenu-responsable-du-bien-etre-des-opposants-arretes.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
31 juillet 2017La suite de ce que j'annonçais dans le précédent commentaire :
Les États-Unis qualifient le président vénézuélien Nicolas Maduro de «dictateur» en le comparant aux dirigeants syrien Bachar al-Assad et nord-coréen Kim Jong-Un, et lui ont imposé des sanctions sans précédent en riposte à l'élection dans le sang d'une Assemblée constituante.
Pour plus de détails concernant le dictateur Maduro et ses complices de la nomenklatura chaviste qui tiennent la majorité du peuple vénézuélien dans la misère et le chaos démocratique afin de pouvoir le subjuguer davantage, veuillez consulter Venezuela: les États-Unis sanctionnent le «dictateur» Maduro
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201707/31/01-5120836-venezuela-les-etats-unis-sanctionnent-le-dictateur-maduro.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
30 juillet 2017Complément d'information sur le régime totalitaire chaviste :
Les antichavistes détiennent la majorité au Parlement et voient dans cette Constituante un moyen pour le président Maduro de se cramponner au pouvoir, contourner l'Assemblée nationale élue et éviter la présidentielle prévue fin 2018. Ils dénoncent une dérive vers un «régime à la cubaine».
Pour en savoir davantage, veuillez lire Violence extrême au Venezuela, qui vote pour la Constituante
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201707/30/01-5120489-violence-extreme-au-venezuela-qui-vote-pour-la-constituante.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
28 juillet 2017Pourquoi l'immense majorité des Vénézuéliens est contre le totalitarisme de la nomenklatura chaviste ? :
L'élection de l'Assemblée constituante est le dernier rebondissement de la violente crise politico-économique qui secoue le Venezuela depuis la victoire des antichavistes fin 2015 aux législatives. Quelque 70% des Vénézuéliens sont opposés à la Constituante et 80% rejettent la gestion de Nicolas Maduro, selon l'institut de sondage Datanalisis.
En savoir davantage, veuillez consulter Peu de Vénézuéliens défient l'interdiction de manifester
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201707/28/01-5120175-peu-de-venezueliens-defient-linterdiction-de-manifester.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
20 juillet 2017Complément d'information sur le totalitarisme de la mafia chaviste qui continue à vouloir provoquer une guerre fratricide afin d'appliquer l'état de siège, lui donnant ainsi le monopole du Pouvoir et l'utilisation de l'armée à des fins répressifs et terroristes contre l’immense majorité du peuple vénézuélien :
Venezuela: deux autres personnes tuées lors des manifestations
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201707/20/01-5118000-venezuela-deux-autres-personnes-tuees-lors-des-manifestations.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
18 juillet 2017Pourquoi Donald J. Trump attendra jusq'au 01 août prochain pour agir contre le Pouvoir mafieux de la caste chaviste décidée à imposer au peuple vénézulien le totalitarisme socialo-communiste : Maduro maintient sa Constituante contre les menaces de Trump
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201707/18/01-5117196-maduro-maintient-sa-constituante-contre-les-menaces-de-trump.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
17 juillet 2017Complément d'information sur le socialo-communisme régnant au Venezuela étant contre la majorité du peuple afin de pouvoir préserver ses privilèges de caste totalitaire :
La Maison-Blanche salue le vote symbolique anti-Maduro
http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201707/17/01-5116923-la-maison-blanche-salue-le-vote-symbolique-anti-maduro.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
7 juillet 2017Le 29 septembre 2010 j'écrivais cet article dénonçant le socialo-communisme régnant au Venezuela étant contre la majorité du peuple. Aujourd'hui, la mafia constituant la nomenklatura chaviste essaie de provoquer un affrontement fratricide (guerre civile). Ayant la force des armes et le Pouvoir mafieux du président Maduro, ladite nomenklatura veut provoquer une profonde crise constitutionnelle et sociale destinée à renverser l’actuel cadre constitutionnel imposant ainsi une dictature organique fasciste et totalitaire, tel qu’il s’est avéré partout où le socialo-communisme s’est établi.
Cet extrait de l’article joint plus bas explicite ce fait antérieurement décrit :
[ Le pays sud-américain est déchiré par sa pire crise politique et économique depuis des décennies et depuis trois mois, les opposants au président Maduro manifestent presque chaque jour pour exiger son départ. Les violences autour de ces rassemblements ont fait 91 morts jusqu'à présent.
«Cette assemblée prévue pour fin juillet sera imposée par la force et le résultat sera l'inscription dans la Constitution d'une dictature militaire, socialiste, marxiste et communiste», a mis en garde vendredi monseigneur Padron, qui s'exprimait à l'ouverture de l'assemblée annuelle des évêques vénézuéliens. ]
Pour plus de détails sur cette crise nationale provoquée par le Pouvoir mafieux chaviste, consulter L'Église catholique dénonce une «dictature» au Venezuela
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201707/07/01-5114107-leglise-catholique-denonce-une-dictature-au-venezuela.php
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JLPM
Archives de Vigile Répondre
1 octobre 2010Et si M.Pérez était un exploité de ce pays.....
Venezuela : de l’argent US pour déstabiliser Chavez
http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=2515
Raymond Poulin Répondre
30 septembre 2010«Avant d’exposer les résultats de ces élections et les conséquences pour le pouvoir d’Hugo Chávez ainsi que pour l’opposition démocratique formée par la coalition Mesa de la Unidad Democrática (MUD), rappelons le commentaire écrit par M. Raymond Poulin, destiné à manipuler la réalité concernant les résultats de ces élections :»
Dans ce propos tenu plus haut, M Pérez m’accusait de m’être gentiment moqué de lui pour masquer ce qu’il appelle la réalité des résultats des élections, alors que les chiffres qu’il avance quant aux pourcentages de votes du gouvernement sortant et de l’opposition sont faux. Qui, ici, manipule qui? M. Chavez a-t-il été induit en erreur par des sources mal intentionnées? C’est sans doute l’hypothèse la plus charitable qu’on puisse émettre, et je m’en tiendrai à celle-là. Cependant, en affirmant, sans l’ombre d’une preuve, que mon geste était destiné à manipuler la réalité, M. Pérez, lui, ne s’en tient pas à une hypothèse : il m’accuse carrément de manipulation, comme il a déjà affirmé auparavant que je suis un néo-marxiste et autres amabilités de la même eau. Je ne crois pas que ce monsieur soit de mauvaise foi mais plutôt qu’il se contente de croire ce qui l’arrange sur le plan idéologique, ce qui ne vaut guère mieux.
Archives de Vigile Répondre
30 septembre 2010L'ineffable M. Perez doit certainement avoir de bonnes conditions pour reproduire ce que les centres spécialisés en désinformation préparent pour leurs médias satellites. Il nous parle de communisme alors que le Gouvernement de Chavez ne s'est jamais identifié au communisme. Dans le contexte nord américain l'utilisation du mot pruduit un bon effet dans l'esprit des gens. Pour lui c'est ce qui est important.
Quant aux résultats disons tout simplement que le PSUV a obtenu 60 % des sièges à l'Assemblée nationale, qu'il a obtenu 60 % des votes de l'électorat et qu'il a dominé dans 17 des 24 États.
Chavez a mis l'opposition au défi de convoquer un référendum révocatoire si elle est si convaincue des chiffres qu'elle avance. L'occasion est bonne pour elle, dit-il, si elle est à ce point convaincue d'avoir l'appui de plus de 52% de la population. Qu'elle aille donc à un référendum révocatoire qui lui permettra de déloger en toute démocratie le Président Chavez.
Je terminerai en appelant M. Perez à reconnaître, pour une fois, qu'au Venezuela, la démocratie est bien vivante, contrairement à ce qu'il pouvait penser et clamer sur tous les toits. Je laisse les lecteurs et lectrices avec un texte qui garde toute son actualité même s'il a été écrit il y a quelques années. Je le conseille évidemment à M. Perez.
http://www.cairn.info/revue-mouvements-2006-2-page-131.htm
Archives de Vigile Répondre
30 septembre 2010L'extrème- droite individualiste capitaliste tue l'humanité comme faisait l'extrème gauche communiste.
Vive le socialisme au centre et le bon équilibre entre les individus les nations et l'humanité entière