Suite de l’article intitulé Comment McKinsey & Company est devenu le Pouvoir géo-cleptocrate mondial* (2 de 5)

Pour la partie (1 de 5) veillez consulter, https://vigile.quebec/articles/comment-mckinsey-company-est-devenu-le-pouvoir-geo-cleptocrate-mondial

Tribune libre

Pour la partie (1 de 5) veillez consulter, https://vigile.quebec/articles/comment-mckinsey-company-est-devenu-le-pouvoir-geo-cleptocrate-mondial


McKinsey & Company et ses complices faisant partie du gouvernement de l’imposteur premier ministre Mark Carney


Un contrat en informatique du gouvernement fédéral a été octroyé en 2019 à la compagnie McKinsey pour une durée de 81 ans, soit jusqu’en 2100, a-t-on appris lundi lors d'une audience d'un comité parlementaire qui amorce son enquête sur des contrats d'une valeur de plus de 100 millions de dollars accordés par Ottawa à cette firme de consultants.


À la question de la députée bloquiste Julie Vignola qui se demandait ce qui justifie un contrat ouvert pendant les 81 prochaines années, Amanda Clarke, professeure associée à l'École de politiques publiques et d'administration de l'Université Carleton, a répondu que l'idée d'un pareil contrat lui semblait scandaleuse.


Mme Clarke pense que le recours à des sociétés de conseil en gestion au sein de la fonction publique trahit les principes d'une administration publique responsable.


(…).


Un contrat fédéral pour McKinsey jusqu’en 2100


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1952222/contrats-consultants-experte-resultat-sous-financement-fonction-publique


10 ministères et/ou agences ont été passés au crible par le Bureau de l’ombud de l’approvisionnement (BOA), une organisation du gouvernement canadien qui contribue à la résolution de différends contractuels entre les entreprises et le gouvernement fédéral. Saisi par le Premier ministre Justin Trudeau à la suite d’une enquête de Radio-Canada, cet organisme s’est intéressé aux contrats attribués à McKinsey par le gouvernement d’avril 2011 à mars 2023.


L’augmentation considérable des montants versés à la firme depuis l’arrivée au pouvoir en 2015 du Parti libéral du Canada (dirigé par Justin Trudeau) est à l’origine de ces investigations.


(…).


Le gouvernement fédéral canadien soupçonné de favoritisme envers McKinsey


Selon le rapport d'un organisme gouvernemental canadien indépendant, la majorité des contrats fédéraux attribués à McKinsey par le gouvernement canadien depuis 2021 l’ont été sans appel d’offres.


https://www.consultor.fr/articles/le-gouvernement-federal-canadien-soupconne-de-favoritisme-envers-mckinsey


La Loi C-5 du gouvernement Carney comme la loi Q-5 du gouvernement Legault (projet de loi Q-5 – surnommé ainsi en référence à la loi C-5 du gouvernement Carney) ont été << inspirées >> par celle créant la Banque de l’infrastructure du Canada en 2017 sous les responsables de McKinsey & Company en flagrant conflit d’intérêts comme exposé à continuation :


Idée de McKinsey, créée avec des consultants de McKinsey, la Banque de l'infrastructure du Canada (BIC) est aussi dirigée par des anciens de McKinsey.


Le PDG de la BIC, Ehren Cory, a témoigné lundi soir devant le comité parlementaire chargé d'étudier les contrats octroyés par le gouvernement fédéral à ce cabinet-conseil basé à New York.


Lui-même un ancien employé de McKinsey, le PDG a révélé aux députés que la BIC avait octroyé trois contrats à cette firme de consultants, pour un total de 1,4 million de dollars. Ces ententes ont été signées entre 2017 et 2020, soit avant son arrivée à la tête de l'agence, en novembre 2020.


Deux de ces contrats ont été conclus dans le cadre des activités de démarrage de la BIC, a expliqué Ehren Cory. La BIC a été créée en 2017 dans le but d'attirer des capitaux privés pour financer le développement des infrastructures canadiennes.


Le travail pour ces contrats comprenait les conseils donnés pour éclairer l'élaboration des critères de la BIC en matière d'investissements, de gouvernance ainsi que de politique de gestion des risques et des occasions stratégiques.


(…).


Des liens étroits entre McKinsey et la Banque de l’infrastructure du Canada


Dirigée par des anciens de la multinationale McKinsey, la Banque de l'infrastructure du Canada a octroyé des contrats à la firme qui avait recommandé sa création.


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1954304/liens-mckinsey-banque-infrastructure-canada


Ces flagrants conflits d’intérêts ne se circonscrivent seulement à la Banque l’infrastructure du Canada, sinon à plusieurs autres ministères du gouvernement de la mafia politique du PLC de Justin Trudeau :


Mélanie Joly a été associée à l'affaire McKinsey par des reportages sur les contrats gouvernementaux avec cette firme de conseil, alors qu'elle était ministre des Affaires étrangères. La controverse porte sur le fait que McKinsey a travaillé pour le gouvernement canadien et pour des États étrangers hostiles, suscitant des inquiétudes concernant la confidentialité et les conflits d'intérêts. Le gouvernement Trudeau a demandé une enquête sur ces contrats. (aperçu généré par IA)


Le ministre des Finances du Canada, François-Philippe Champagne, a été lié à la firme de consultation McKinsey dans le cadre d'enquêtes sur les contrats fédéraux attribués à cette entreprise, notamment en ce qui concerne des irrégularités dans l'attribution et le suivi des contrats. Ces enquêtes ont mis en évidence des préoccupations concernant la valeur des contrats, l'absence de documentation adéquate et des flous dans le processus de passation de marché. Par ailleurs, la collaboration de divers ministères fédéraux avec McKinsey, dont celui de François-Philippe Champagne, a été soumise à une surveillance accrue et à des demandes d'explications. 


Le gouvernement ferme le fonds de technologie propre entaché de scandales après un rapport accablant de l’auditeur.


Le procureur général a constaté qu’un projet sur six financé par le fonds de technologie verte du gouvernement était inéligible.


https://nationalpost.com/news/canada/ottawa-ignored-rules-hiring-mckinsey-auditor-general


L’influence de McKinsey explose sous Trudeau, surtout à l’immigration


Dans ce contexte de corruption, collusion et totalitarisme démocratique, l’imposteur Justin Trudeau est remplacé par le mercenaire politico-écolo-financier Mark Carney, devenu premier ministre sans avoir été élu à la Chambre des Communes (14 mars 2025). Par la suite il déclenche des élections générales 28 avril 2025 et la mafia politique du PLC forme un gouvernement minoritaire. Devant ce scénario politico-financier, cet ex-gouverneur de la Banque du Canada, de la Banque d’Angleterre et étroit collaborateur de McKinsey & Company depuis des années, veut avoir à tout prix en connivence avec des transfuges traîtres carriéristes du PCC(7) que son Budget 2025-2026 soit approuvé le 17 novembre prochain, tout possiblement, en complicité avec les << indépendantistes à temps partiel >> du Bloc Québécois d’Yves-François Blanchet et celle des socialo-communistes du NPD :


Steven Guilbeault, autre des grands mercenaires politiques du PLC de l’<< arnaque >> du réchauffement climatique et voyageur omniprésent dès COP2016 au COP2030, même si aujourd’hui il n’est pas ministre de l’Environnement, comme cité dans l’article publié par Radio-Canada à continuation de celui ici-bas faisant référence aux subventions reçues venant d’un << fond-vert >> du fédéral :


Le ministre fédéral de l’Environnement, Steven Guilbeault, détient des intérêts dans une firme d’investissement montréalaise qui a bénéficié indirectement d’un soutien financier d’Ottawa.


• À lire aussi: Un fonds vert public du Canada teinté de «défaillances importantes»


• À lire aussi: «Mauvaise gestion»: le financement d'un fond fédéral de 1 milliard $ suspendu


Avant de faire le saut en politique, en 2019, M. Guilbeault a travaillé pendant neuf ans comme conseiller spécial chez Cycle Capital, un gestionnaire de fonds qui investit dans de jeunes entreprises.


En avril 2022, le ministre a déclaré au commissariat à l’éthique qu’il détenait, depuis décembre 2021, des «intérêts passifs» dans trois fonds gérés par Cycle Capital.


Le cabinet de Steven Guilbeault a refusé de préciser au Journal ce que sont ces intérêts, se bornant à dire que le ministre «respecte toutes les règles». Selon Andrée-Lise Méthot, fondatrice de Cycle Capital, il s’agit d’une forme de «boni» de performance.


De 2020 à 2021, Ottawa a versé 10,4 millions $ à quatre entreprises qui font partie du portefeuille de Cycle Capital, par l’entremise de Technologies du développement durable du Canada (TDDC), un fonds vert fédéral récemment aboli en raison d’un scandale de conflits d’intérêts.


Mme Méthot a siégé au conseil d’administration de TDDC de 2016 à 2021, ce qui a amené des députés conservateurs à lui attribuer des conflits d’intérêts.


TDDC n’était pas sous la responsabilité de M. Guilbeault, mais sous celle du ministre de l’Innovation, François-Philippe Champagne. Un autre fonds fédéral relevant de ce dernier, l’Initiative de catalyse du capital de risque, a par ailleurs investi 20 millions $ dans un fonds de Cycle Capital en juin 2019.


(…).


Le ministre Guilbeault détient des intérêts financiers dans une firme liée à un controversé fonds fédéral


Son cabinet refuse catégoriquement de donner des détails à ce sujet


https://www.journaldemontreal.com/2024/11/05/le-ministre-guilbeault-detient-des-interets-mysterieux-dans-des-fonds-prives


Alors que la délégation canadienne sera à Belém, au Brésil, du 10 au 21 novembre, pour les pourparlers annuels sur le climat des Nations unies (la COP30), le premier ministre du Canada, Mark Carney, ne sera pas présent sur place.


Du côté du Cabinet du premier ministre, on indique que la ministre de l'Environnement et du Changement climatique, Julie Dabrusin, ainsi que le ministre de l'Identité canadienne et de la Culture, Steven Guilbeault, qui seront sur place pour << faire progresser l'engagement du Canada à réduire les émissions, à renforcer notre économie grâce à des industries plus compétitives et à lutter contre la crise climatique mondiale. >>


Le premier ministre Carney n’a pas annoncé son intention d’aller à la COP dans un contexte où son gouvernement fait face à des votes de confiance sur le budget fédéral.


(…).


Le Canada est au Brésil pour la COP30 sur le climat, mais sans Carney


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2206525/climat-canada-bresil-cop-mark-carney


Les recettes de la Taxe Carbone au Canada-Québec pour financer les subventions aux mercenaires de la << supercherie >> du réchauffement climatique :


Dans son rapport du 25 avril 2019, le directeur parlementaire du budget du Canada estimait que le gouvernement fédéral « générerait 2,63 milliards de dollars canadiens de recettes provenant de la tarification du carbone en 2019-2020 ». Le rapport précisait que « la grande majorité des recettes (2,43 milliards de dollars canadiens) proviendrait de la redevance sur les carburants; le reste, soit environ 197 milliards de dollars canadiens…


Le premier ministre Mark Carney a quasiment annoncé vendredi qu'il allait garantir la construction d'un nouvel oléoduc pour l'Alberta, apportant ainsi son soutien le plus ferme jusqu'à présent à ce projet.


En outre, l’imposture en politique est hautement appréciée :


Lors d'une allocution prononcée vendredi après-midi au Club canadien de Toronto, Mark Carney a rassuré l'auditoire en lui disant de ne pas s'inquiéter. << Nous travaillons sur le projet d'oléoduc >>, a-t-il ajouté, sans toutefois donner plus de détails.


Il s'est ensuite interrompu avant d'ajouter : << Il va arriver quelque chose va arriver, disons-le ainsi. >>


(…).


Mark Carney déclare qu’un projet d’oléoduc « va voir le jour » au Canada


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2206264/projet-oleoduc-mark-carney


Aperçu généré par IA


McKinsey et la Banque d'Angleterre 


Ils ont collaboré sur des revues stratégiques. En 2013, McKinsey a été engagée pour examiner la stratégie de la banque, ses méthodes de travail et l'allocation de ses ressources, dans le cadre d'une collaboration avec Deloitte pour évaluer l'efficacité opérationnelle. L'ancienne employée de McKinsey, Charlotte Hogg, a dirigé la revue stratégique en tant que directrice des opérations de la Banque d'Angleterre. 


Mark Carney calls in McKinsey to review Bank of England strategy


This article is more than 12 years old


Management consultants will examine working methods while accountants Deloitte will conduct value for money review


https://www.theguardian.com/business/2013/oct/22/mark-carney-mckinsey-review-bank-england#:~:text=In%202013%2C%20the%20Bank%20of%20England%20called,An%20examination%20of%20the%20Bank's%20working%20methods


Afin de saisir la dérive économico-financière et géopolitique du gouvernement Mark Carney concernant le Nouvel Ordre Mondial anti-impérialiste sino-russe-indien :

Anita Anand affirme que le Canada entretient un « partenariat stratégique » avec la Chine


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2201622/canada-chine-partenariat-strategique


D’autre part, les liens entre le gouvernement du PLC de Mark Carney, comme ceux de ses prédécesseurs, et le régime communiste chinois vont s’intensifier pour faire face aux tarifs douaniers imposés par le Président Trump en raison des politiques anti-USA prises par ces gouvernements procommunistes depuis celui de l’anti-Canadiens français Pierre Elliot Trudeau en 1968(4) :


Rencontre avec Xi Jinping


Toujours dans cette optique, le premier ministre a annoncé qu'il compte rencontrer le président chinois Xi Jinping lors des réunions de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC) qui se tiendront plus tard cette semaine en Corée du Sud.


Depuis son arrivée au pouvoir, Mark Carney travaille à rétablir des liens commerciaux viables avec la Chine après des années de vives tensions entre Ottawa et Pékin.


Je prévois effectivement de rencontrer le président Xi Jinping. Nous poursuivrons les discussions que j'ai eues avec le premier ministre Li Qiang à New York, il y a quelques semaines, a expliqué Mark Carney en ajoutant : Je me réjouis de rencontrer le président [Xi].


(…).


Trump prévient qu’il n’a pas l’intention de rencontrer Carney avant un bon moment


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2202386/trump-rencontre-carney-canada-etats-unis-negociations


McKinsey & Company, l’ex-ambassadeur du Canada en Chine et la << consultocratie >>


Les consultants sont partout. Dominic Barton, l’ancien dirigeant de la firme McKinsey sur la sellette à Ottawa récemment, admettait lui-même, lors de son témoignage en comité parlementaire, que la demande avait « explosé » ces dernières années. M. Barton l’expliquait par les défis complexes que représentent la numérisation et la gestion de la « bombe nucléaire » qu’a été la COVID.


L’appel croissant aux cabinets de consultants remonte pourtant à plus loin que la pandémie, comme pourraient l’attester bien des gens qui les voient à l’œuvre dans le secteur privé depuis la décennie 1990.


Dès 2011, le Centre canadien de politiques alternatives (CCPA), un institut de recherche indépendant, publiait un rapport à ce sujet : La fonction publique fantôme. Il révélait que le coût des consultants avait augmenté de 79 % en cinq ans, atteignant plus d’un milliard de dollars pour l’année financière 2009-2010. De plus, la nature du travail avait changé. Il n’était plus question de répondre à un besoin urgent ou d’apporter une expertise, mais de signer dans certains cas des contrats aux clauses générales s’étendant sur des mois. Déjà en 2010, un contrat sur cinq avec ces cabinets avait une durée de plus d’un an, soulignait le rapport.


Il relevait aussi que les consultants s’étaient mis à travailler dans les mêmes bureaux que le personnel gouvernemental. Ils formaient de fait une fonction publique parallèle échappant au regard public — car les lois d’accès à l’information ne s’appliquaient pas (et ne s’appliquent toujours pas) à leurs services.


Tout cela pour dire que cette manière de faire était déjà bien établie sous le gouvernement conservateur de Stephen Harper, alors au pouvoir. Le rapport prévoyait d’ailleurs que le recours à des consultants extérieurs continuerait d’augmenter. Il ne s’est pas trompé. Selon de récentes estimations, Ottawa leur a versé 11,8 milliards de dollars pour l’année financière 2021-2022 !


(…).


Comment McKinsey et les autres sociétés de consultants rendent les gouvernements dépendants de leurs services


Quelle est l’utilité des cabinets de consultants ? L’opacité des ententes les liant aux gouvernements exige de la part des citoyens de douter fortement de la qualité des services rendus.


https://lactualite.com/politique/comment-mckinsey-et-les-autres-societes-de-consultants-rendent-les-gouvernements-dependants-de-leurs-services/


McKinsey a lancé ou amplifié les pires pratiques en optimisant la cupidité des entreprises.


McKinsey, le cabinet du capitalisme toxique


https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/779151/chronique-le-cabinet-du-capitalisme-toxique


Sean Fraser est ministre de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté


Prenez note que cet article publié en 2023 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.


Le ministre fédéral de l'Immigration, Sean Fraser, s'est défendu à plusieurs reprises, mercredi, de la possibilité que McKinsey ait pu déterminer certaines orientations de son ministère, lors de son témoignage devant le comité parlementaire chargé d'enquêter sur l'octroi de contrats fédéraux à cette firme de consultants privée.


Les membres du Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires ont abondamment questionné le ministre Fraser sur le possible rôle de McKinsey dans la détermination des seuils d'immigration dévoilés à l'automne par le gouvernement Trudeau.


L’allégation selon laquelle McKinsey prend des décisions quant aux seuils d’immigration est fausse. En tant que personne qui décide de ces politiques, je peux vous dire que je n’ai pas été conseillé par le travail de McKinsey en la matière.


Une citation deSean Fraser, ministre fédéral de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté


Je ne les ai pas rencontrés. Et mon développement du plan dévoilé au cours de l’année passée concernant les seuils d’immigration est motivé par le besoin des entreprises de trouver des travailleurs.


(…).


Le ministre Sean Fraser nie que McKinsey ait pu influencer les seuils d’immigration


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1956752/mckinsey-contrats-federaux-seuils-immigrants-influence#:~:text=Il%20avait%20m%C3%AAme%20dit%20:%20Ce,Fraser.


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1945915/mckinsey-influence-canada-trudeau-immigration-conseils


McKinsey & Company aux États-Unis d’Amérique (durant les gouvernements du Président-imposteur-apostat et traître Barack Hussein Obama, 2009-2017) et celui de sa marionnette-président Joe Biden, 2021-2025) :


L'USAID (Agence des États-Unis pour le développement international) est l'un des nombreux organismes de financement de McKinsey & Company. La firme de conseil travaille avec des organisations gouvernementales comme l'USAID dans le cadre de projets visant à améliorer les conditions de vie et à stimuler la croissance dans les pays en développement, en apportant des solutions à des problèmes tels que l'accès aux médicaments. 



  • Rôle de l'USAID : L'USAID finance des projets de développement international.

  • Rôle de McKinsey : McKinsey, en tant que cabinet de conseil, reçoit des financements de l'USAID pour mettre en œuvre des projets de conseil.

  • Exemple concret : L'USAID a soutenu un projet, géré par McKinsey, qui a utilisé des méthodologies de conception pour résoudre des problèmes de chaîne d'approvisionnement dans le domaine de la santé et améliorer l'accès aux produits essentiels dans certains États, comme l'explique un article de McKinsey & Company


McKinsey & Company dans l’Union Européenne


 (impliquant le prédateur financier George Soros, l’Organisation Mondiale de la Santé et Emmanuel Macron, le mercenaire-président-corrompu complice du groupe banquier Rothschild) :


Aperçu généré par IA


Les liens entre George Soros, le lobbyiste Sean Hinton et McKinsey & Company


Le scandale McKinsey ne s’arrête pas au quinquennat Macron, ni à nos frontières. L’OMS a, elle aussi, versé des sommes très importantes à la multinationale américaine, pour se voir dispenser des conseils d’un intérêt discutable. Michèle Rivasi, députée européenne EELV, alerte sur les conséquences que pourrait avoir cette influence, notamment sur les réponses futures aux pandémies mondiales.


L’influence de McKinsey n’en finit plus d’être exhumée. Après les sommes folles déboursées par l’appareil d’État français depuis plusieurs années, ce sont les dépenses de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) accordées à ce cabinet de conseil qui interrogent.


Depuis 2015, l’OMS a versé près de 17,7 millions de dollars au cabinet de conseil en stratégie, McKinsey & Company. Comment expliquer de tels montants? Sans doute en partie pour mettre en œuvre la vaste réorganisation de l’OMS, engagée en 2017, ainsi que pour formuler des recommandations de santé publique. La question de l’influence réelle de la multinationale américaine McKinsey sur la santé mondiale mérite d’être posée.


La grande transformation


En 2017, la décision est prise de réformer en profondeur l’OMS en vue d’atteindre en 2030 les objectifs de développement durable liés à la santé. Ce nouveau modèle de fonctionnement revient à transformer l’institution en « une ONG flexible, mobile, modulable, innovante » en « faisant appel à des consultants extérieurs dans des domaines tels que la gestion du changement, la refonte des processus et les outils d’analyse du modèle de fonctionnement », développe son directeur général, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus en 2019. Les conseils de McKinsey au sein de l’OMS ont toutefois débuté bien avant. « La Firme », telle qu’on la surnomme, première dans son secteur et présente dans plus de 60 pays, a reçu de l’OMS près de 17,7 millions de dollars entre 2015 et 2021. 


Lopacité domine


En effet, nous ne savons pas précisément quelles ont été les missions des consultants engagés. Ces contrats sont-ils liés au programme de transformation de l’OMS amorcé en 2017 ? A d’autres conseils de gestion ? Ou, véritablement, à l’influence d’intérêts privés sous couvert de recommandations de santé publique ? Nous ne connaissons pas davantage la nature des missions menées avant 2015, de même que le contenu des contrats totalement ou partiellement pris en charge par de grands donateurs comme la Fondation Gates. L’influence de McKinsey ne transparaît pas seulement dans les bilans financiers de l’OMS. Elle prend aussi la forme de prestations « pro bono », une stratégie commerciale qui consiste à offrir ses services bénévolement, gracieusement, au nom de l’intérêt général. 


(…).


« Que fait McKinsey à l’OMS? » par Michèle Rivasi


https://qg.media/2022/04/09/que-fait-mckinsey-a-loms-par-michele-rivasi/


McKinsey & Company en France de l’imposteur Emmanuel Macron


McKinsey trop impliqué auprès du candidat Macron ?


Ce dernier, comme deux autres salariés de McKinsey, aurait entre autres travaillé gracieusement à lancer une plateforme devant permettre aux citoyens de se mobiliser pour la campagne présidentielle. « Dès 2015 et 2016, des membres de McKinsey ont préparé la campagne », appuie le témoin précédemment cité.


L’enquête de Cash Investigation, qui fait aussi écho à plusieurs articles de Mediapart, souligne documents internes à l’appui plusieurs interrogations sur la place qu’a eue McKinsey, et dans quel cadre, dans la première campagne du président. En la matière, la loi est particulièrement regardante puisque les dons des entreprises sont strictement interdits, de quelque nature que ce soit.


Ni Karim Tadjeddine, ni McKinsey n’ont accepté de répondre aux questions de Cash Investigation. Le premier assure s’être engagé « à titre personnel », quand la firme rappelle le droit de ses salariés à prendre part à des activités politiques « dans le respect de la légalité et à titre personnel ».


Pendant le premier quinquennat d’Emmanuel Macron, McKinsey, qui n’a pas payé d’impôts en France pendant 10 ans selon une enquête sénatoriale, a bénéficié de plus de 70 millions d’euros de contrats publics. En novembre 2022, le parquet national financier a confirmé l’ouverture de deux informations judiciaires sur le rôle des cabinets de conseils dans les campagnes présidentielles de 2017 et 2022.


(…).


McKinsey : « Cash Investigation » pointe le « Chicxulub » autour de Macron en 2017, de quoi s’agit-il ?


Le numéro de ce mardi 17 septembre de « Cash Investigation », l’émission présentée par Élise Lucet sur France 2, se penche sur la campagne présidentielle de 2017.


https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/mckinsey-cash-investigation-pointe-le-chicxulub-autour-de-macron-en-2017-de-quoi-s-agit-il_239742.html


McKinsey et Rothschild : scandales d’État !


https://www.youtube.com/watch?v=EnYDWVojgjg


McKinsey & Company : l’épidémie d’opioïdes au Canada, sur la France des complices procommunistes chinois et les manipulations de l’OMS


(cette section révèle la désinformation concernant l’arme bactériologique chinoise Covid-19, du laboratoire P4 de Wuhan) et des procédés criminels véridiques impliquant la Big Pharma.


Des publications partagées plusieurs milliers de fois sur Facebook depuis mi-novembre prétendent mettre en lumière les connexions entre le laboratoire P4 de Wuhan, d'où serait sorti le Covid, le laboratoire Pfizer, l’industriel GlaxoSmithKline, les milliardaires Bill Gates et George Soros et des sociétés d'assurances. Mais elles contiennent plusieurs fausses informations: l'Institut de virologie de Wuhan, que rien ne permet de relier à l’origine de l’épidémie, n'a rien à voir avec GSK, entreprise qui ne possède pas l'Américain Pfizer.


"Le laboratoire biologique chinois de Wuhan appartient en fait à Glaxo, qui par coïncidence possède Pfizer (vaccin Covid-19), qui par coïncidence est lié aux finances de Black Rock (Larry Flynt), qui par coïncidence gère les finances de la Open Foundation Society (Soros)"... Cette publication ironique, partagée près de 1.000 fois depuis le 24 novembre sur Facebook, relie le laboratoire de Wuhan à des entreprises pharmaceutiques, aux milliardaires George Soros et Bill Gates et vise à prouver que la pandémie de coronavirus était planifiée.



Capture d'écran réalisée le 10/12/2020 sur Facebook


Cette publication est accompagnée d'une photo de la visite de l'ancien Premier ministre français Bernard Cazeneuve au laboratoire de Wuhan le 23 février 2017. Le laboratoire de Wuhan a été conçu avec l'aide de sociétés françaises dans le cadre d'un accord franco-chinois, comme l'expliquait Bernard Cazeneuve dans son discours tenu à l'occasion de cette visite.


Cette publication circule également en néerlandais, en allemand, en slovaque ou encore en espagnol. La première publication sur Facebook retrouvée par l'AFP date du 12 novembre et a été partagée en italien. Elle attribue ce texte à un certain "Giuseppe Renda".


Une recherche sur Google avec ce nom mène au profil Linkedin d'un employé de Pfizer en Italie. L'AFP a cherché à contacter Giuseppe Renda mais n'avait pas reçu de réponse à la date de publication de cet article. 


Aucun lien entre le laboratoire de Wuhan et Glaxo


Cette publication évoque "le laboratoire biologique" de Wuhan qui appartiendrait au géant de l'industrie pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK). 


De nombreuses théories affirment que le Sars-Cov-2 a été créé dans le laboratoire P4 de Wuhan et s'en serait échappé. Donald Trump lui-même a déclaré en avril qu'il "avait la preuve" que la pandémie était originaire dudit institut, mais n'a jamais présenté cette preuve. Or rien ne prouve cette allégation, comme l'a déjà expliqué l'AFP.


L'AFP n'a trouvé aucun lien entre l'Institut de virologie de Wuhan (WIV), où se trouve ce laboratoire, et la société GlaxoSmithKline. Selon cet article de la revue scientifique Nature de 2017, qui présente les activités du laboratoire P4 du WIV, sa création a été approuvée en 2003 par l'Académie chinoise des sciences (CAS) et construit avec l'aide de la France dans le cadre d'un accord de coopération sur la prévention et le contrôle des nouvelles maladies infectieuses. 


Ce communiqué de presse de la CAS indique également que le WIV P4 a été inauguré en 2015 par la Commission nationale de la santé et du planning familial de la République populaire de Chine et l'Académie chinoise des sciences. Il a été financé par la Commission nationale pour la réforme et le développement (NDRC) et "conçu par la France et la Chine". Le communiqué ne mentionne pas l'entreprise GSK. 


Image



Capture d'écran réalisée le 09/12/2020 sur le site de l'Institut de virologie de Wuhan


Le site web du WIV ne contient aucune mention d'une quelconque participation d'une entreprise étrangère. Il dépend de la CAS, qui dépend du gouvernement chinoisLe site de GSK en Chine ne mentionne pas non plus une quelconque participation à la WIV. Il indique que GSK est implanté en Chine dans les villes de Shanghai, Pékin et Tianjin. 


L'AFP a contacté l'Académie chinoise des sciences, mais n'avait pas reçu de réponse au moment de la publication de cet article


Image



Une vue aérienne du laboratoire P4 de Wuhan, en Chine, le 27 mai 2020 (AFP / Hector Retamal)


Glaxo ne possède pas Pfizer 


"Glaxo, qui par coïncidence possède Pfizer (vaccin Covid-19)", poursuit la publication. Le groupe pharmaceutique américain Pfizer a développé le vaccin contre le Covid-19 actuellement utilisé au Royaume-Uni. 


Selon CNN Business, Pfizer est majoritairement contrôlé par The Vanguard Group, qui possède une participation de 7,67% dans le laboratoire américain. La multinationale américaine BlackRock, mentionnée dans cette publication, fait également partie de ses actionnaires. 


Mais la société Glaxo ne figure pas dans la liste des actionnaires de Pfizer. 


Contacté par l'AFP, un porte-parole de Pfizer a confirmé que l'affirmation selon laquelle GSK est propriétaire de la société pharmaceutique n'est "pas correcte". "Pfizer n'appartient PAS à Glaxo! Pfizer est une société cotée à la bourse de New-York", a déclaré la porte-parole Dervila Keane à l'AFP dans un mail reçu le 7 décembre 2020.


En décembre 2018, GSK et Pfizer ont annoncé la fusion de leurs activités de médicament sans ordonnance au sein d'une entreprise commune ("joint-venture"), créant ainsi en 2019 GSK Consumer Healthcare, une alliance pour la commercialisation de produits tels que le Voltaren, le Panadol et l'Advil. Il ne s'agissait toutefois pas d'une opération de rachat d’une entreprise par une autre. Dans le secteur pharmaceutique, les deux entreprises restent concurrentes. 


Confusions dans les liens entre BlackRock, AXA, Winterthur et Allianz


Les publications Facebook affirment ensuite que le laboratoire Pfizer "est lié aux finances de BlackRock", qui "par coïncidence gère les finances" du réseau de fondations Open Society Foundations créé par l'Américain George Soros, qui "est par coïncidence proche" de la société d'assurances française AXA et de la société suisse Winterthur "qui a construit ce laboratoire". 


L'homme d'affaires et philanthrope George Soros, il fait régulièrement l'objet de fausses informations, vérifiées par l'AFP. Entre autres, il a été faussement présenté comme ayant été arrêté en Suisse puis plus tard à Philadelphie pour ingérence électorale après la présidentielle américaine et il aurait déclaré vouloir "faire tomber les Etats-Unis en finançant des groupes de haine noirs"


Certaines publications mentionnent par ailleurs "Larry Flynt",  le désignant comme le propriétaire du gestionnaire d'actifs BlackRock. Elles confondent Larry Flynt, fondateur et patron du magazine pornographique américain Hustler, et Larry Fink, ancien trader et PDG de BlackRock. 


BlackRock est le premier gestionnaire d'actifs au monde, et à ce titre possède des participations dans des milliers d'entreprises, dont Pfizer. Il compte également des milliers d'investisseurs, dont le magnat George Soros, parmi ses nombreux portefeuilles. 


Le site des Open Society Foundations ne fait cependant aucune mention de la compagnie d'assurances française Axa, à l'exception d'un document dans lequel sont évoquées, à titre d'exemple, des poursuites engagées par Axa contre des particuliers coupables de fausses déclarations d'assurance. 


Quant à Winterthur, la compagnie d'assurances suisse a été rachetée par Axa en 2006. L'AFP n'a trouvé aucune trace d'une construction d'un laboratoire à Wuhan par le groupe. 


Selon ces publications, le laboratoire P4 de Wuhan aurait également été "acheté accidentellement" par l'assureur Allianz. Ce qui n'a pas de sens puisque, plus haut, les mêmes publications affirment que le laboratoire appartient à Glaxo. Allianz indique sur son site qu'elle possède des bureaux à Pékin, à Shanghai et à Guangzhou, mais pas à Wuhan. L'entreprise ne mentionne pas non plus la présence d'un laboratoire en Chine. 


Bill Gates n'est pas un grand actionnaire de Pfizer


Le message relie également BlackRock à Bill Gates, qui n'est pas nommé mais désigné comme "un actionnaire de Pfizer", "un grand actionnaire de Microsoft et Gates", "actuellement le premier parrain de l'OMS". Comme George Soros, Bill Gates est la cible de nombreuses fausses informations depuis le début de la pandémie de Covid-19. 


Le laboratoire Pfizer a en effet reçu de l'argent du Fonds d'investissement stratégique de la Fondation Bill et Melinda Gates. La fondation a investi dans la société pharmaceutique pour élargir l'accès à Sayana, un contraceptif injectable, aux pays en développement, explique-t-elle sur son site. Elle a également annoncé en septembre 2020 qu'elle collaborerait avec plusieurs des entreprises travaillant au développement d'un vaccin Covid-19. Cependant, la Fondation Bill et Melinda Gates ne compte pas parmi les principaux actionnaires de Pfizer. 


Image



Principaux actionnaires de Pfizer. Capture d'écran réalisée sur le site marketscreener.com, le 8 décembre 2020


La Fondation Bill & Melinda Gates est bien l'un des plus grands contributeurs de l'OMS, contribuant à hauteur de 11,65% du budget de l'Organisation Mondiale de la Santé. Elle se situe juste derrière le gouvernement allemand, qui fournit 12,18% du budget. 


En conclusion, rien ne prouve que Wuhan WIV soit la propriété de la société GlaxoSmithKline, et il n'est pas vrai non plus que la société possède Pfizer. Il n'y a pas non plus de trace de l'implication des compagnies d'assurances Winterthur et AXA dans le WIV. En revanche, le gestionnaire de fonds BlackRock, qui détient une partie des actions de Pfizer, a George Soros comme investisseur, ainsi que de nombreuses autres fortunes mondiales. En outre, Bill et Melinda Gates ont investi dans Pfizer pour le développement de projets spécifiques mais ne sont pas des actionnaires importants.



Publié le 15/07/2025 à 10:22


Non, une nouvelle étude ne prouve pas un lien entre vaccination contre le Covid-19 et infertilité


 



Publié le 19/05/2025 à 11:12


L'ivermectine, un traitement miraculeux ? Attention à cette fausse liste d'usages du médicament


Le ministre belge de la Santé pas vacciné contre le Covid ? Cet article de presse est un faux


Non, Robert Kennedy Jr n'a pas gagné un procès reconnaissant que les vaccins contre le Covid-19 "ne sont pas des vaccins"


Cette cascade de liens supposés entre le laboratoire de Wuhan et des géants pharmaceutiques, Gates ou Soros est incorrecte


https://factuel.afp.com/cette-cascade-de-liens-supposes-entre-le-laboratoire-de-wuhan-et-des-geants-pharmaceutiques-gates-ou


Fondation


L'Institut de virologie de Wuhan n'est pas le premier, en Chine, à posséder une plate-forme de recherche avancée en virologie. L'Institut de recherche vétérinaire de Harbin en possède déjà un depuis de nombreuses années , qui acquiert le label P4 en 2018. Officiellement, en 2015, l'institut ouvre le premier laboratoire P4 de Chine, pour un coût de 300 millions de yuans (44 millions de dollars). Sa conception, démarrée en 2003, s'est faite en collaboration avec la France. Une partie du personnel s'est notamment formée au laboratoire P4 Jean Mérieux à Lyon[3],[4],[5],[6],[7]. Selon Le Figaro, les relations entre la France et la Chine ont connu des problèmes sur ce projet à partir de 2014. En 2014, lors d'une visite officielle, le président chinois au lieu d'atterrir à Paris pour rencontrer son homologue atterrit à Lyon pour rendre visite à la société BioMerieux[8]. Les entreprises chinoises ont tenu, d’abord, à assurer l’essentiel de la construction du P4 alors qu'elles n'en avaient a priori pas les compétences. En 2015, déçu que la coopération franco-chinoise ne se concrétise pas, Alain Mérieux quitte la présidence de la commission bilatérale[Quoi ?]. Les 50 chercheurs français qui devaient travailler au P4 de Wuhan pendant 5 ans ne sont jamais partis[9]. La société Technip a refusé de certifier le laboratoire[10].


En février 2017, le Premier ministre français Bernard Cazeneuve, accompagné de la ministre française des Affaires sociales et de la Santé Marisol Touraine, ainsi que d'Yves Lévy, président de l'INSERM, participe à la cérémonie d'accréditation du laboratoire[11],[12]. L'ambassade de France en Chine rappelle alors que ce projet doit permettre « à la Chine, en partenariat pionnier avec la France, de mieux comprendre et prévenir les épidémies et les pandémies y compris les plus dangereuses comme la grippe aviaire, pour protéger la population chinoise et la santé mondiale »[13].


Une spécialité du laboratoire P4 de l'établissement est la recherche sur les coronavirus transmis par les chauves-souris[14],[15]. En 2017, il est accrédité pour étudier le virus Ebola et l’Henipavirus[13]. Le laboratoire entretient par ailleurs des liens étroits avec le Laboratoire national de Galveston (en) de l'université du Texas[14].


Selon l'anthropologue Frédéric Keck, ce laboratoire « permet de repérer précocement de nouvelles pandémies passant des animaux aux humains », et « joue ainsi pour le SRAS le rôle qu’a joué Hong Kong pour la grippe aviaire »[6]. Selon le biologiste moléculaire américain Richard H. Ebright (en), « l'Institut de virologie de Wuhan est un institut de recherche de classe mondiale qui effectue des recherches de renommée mondiale en virologie et en immunologie »[14].


Antoine Izambard, journaliste de Challenges, s'interroge sur le délai de réalisation du projet, lancé au lendemain de l'épidémie du syndrome respiratoire aigu sévère de 2003, ce qu'il explique par les soupçons des services de renseignement français et américains à l'égard du manque de transparence de la Chine et de leur crainte que la Chine ne vise à créer des armes biologiques[13]. Il est notamment établi que la Chine a caché la construction d'autres laboratoires P4 sur son territoire, notamment un laboratoire spécialisé dans l'étude des virus qui se transmettent au sein du règne animal, à Harbin, alors qu'elle s'était engagée à ne construire que celui de Wuhan[13].


Spéculations et investigations autour de la Covid-19


Cette section est liée à un événement en cours.


Les informations peuvent manquer de recul ou changer suivant l'évolution des événements et de l'actualité.


Article détaillé : Origine du SARS-CoV-2.


Le vendredi 20 novembre 2015, soit, quatre ans avant le début de la pandémie du Covid-19, paraît un article dans la revue Nature impliquant une équipe internationale de virologues parmi lesquels Shi Zhengli, spécialiste des coronavirus, qui a activement lutté contre l'épidémie du SRAS en 2002-2004. En utilisant le système de génétique inverse SARS-CoV2[Quoi ?][Information douteuse], l'équipe annonce avoir généré un virus chimérique (virus hybride conçu artificiellement) en utilisant un coronavirus de chauve-souris SHC014 et un SARS-CoV. Ce virus chimérique aurait été expérimenté sur une souris. Les résultats indiquent que ce type de virus peut se répliquer efficacement dans les cellules des voies respiratoires humaines primaires. Des expériences in vivo démontrent la réplication de ce virus dans le poumon de souris avec une pathogenèse notable[16]. C'est dans un laboratoire de l'université de Caroline du Nord aux États-Unis que cette équipe a opéré, même si Shi Zhengli (considérée comme une héroïne du SRAS-2002[17]) exerce aujourd'hui son activité de virologue dans la capitale du Hubei.


Fin janvier 2020, des théories commencent à circuler sur Facebook et Twitter, selon lesquelles le SARS-CoV-2 se serait échappé accidentellement du laboratoire, voire y aurait été conçu pour nuire[18],[13],[19]. Le journaliste Antoine Izambard souligne qu'« au vu des éléments dont on dispose, les théories qui circulent sur l’émergence du coronavirus dans le laboratoire P4 à Wuhan sont complotistes », en l'absence d’« éléments concrets à ce stade qui iraient en ce sens »[13]. La direction générale de la Santé française déclare qu'« aucun élément ne permet d’accréditer les allégations liant la crise sanitaire en cours à l’existence à Wuhan d’un laboratoire P4 »[13].


Une étude en pré-publication de chercheurs de l’Indian Institute of Technology de New Delhi relève, le 31 janvier 2020, sur le site bioRxiv « une similarité étrange », « qui a peu de chances d’être fortuite », entre certaines séquences de l’ARN du SARS Covid-2 et celui du VIH[20]. Cette étude en prépublication, très contestée par les spécialistes notamment parce que nombreux virus partagent cette courte séquence, est par la suite retirée par ses auteurs[21]. Le professeur Luc Montagnier s'appuie toutefois sur elle pour arguer d'une possible manipulation humaine[20].


Deux articles publiés en février 2020 dans The Lancet[22] et en mars 2020 dans Nature Medicine[23] privilégient l'hypothèse d'une origine animale et rejettent l'idée d'une manipulation, hypothèse admise lors d’une conférence de presse, organisée le 21 avril 2020 par Fadéla Chaib, la porte-parole de l'Organisation mondiale de la santé[24].


En 2020, la biologiste moléculaire Alina Chan, principalement active sur les médias sociaux, figure parmi les rares voix scientifiques à remettre publiquement en question le consensus dominant sur les origines du virus[25]. Elle affirme que l'hypothèse d'un accident de laboratoire doit être examinée avec plus de sérieux.


Le 13 mai 2021, dix-huit scientifiques dont Ralph S. Baric publient, dans la revue Science, un article appelant à examiner plus sérieusement l’hypothèse d’un accident de laboratoire comme origine de la pandémie[26].


La Chine affirme que le virus a été importé sur le marché de Wuhan par de la viande et des fruits de mer surgelés en provenance de l'étranger. L'OMS estime cette hypothèse peu plausible, sans étude préalable sur la transmission du virus sur des produits congelées[27].


Allégations de négligence


Plusieurs mois auparavant, le quotidien américain Washington Post rapporte que « l’ambassade des États-Unis à Pékin, après plusieurs visites à l’institut, avait alerté en 2018 les autorités américaines sur des mesures de sécurité apparemment insuffisantes dans un laboratoire qui étudiait les coronavirus issus de chauves-souris »[28].


(…).


Laboratoire P4 de Wuhan https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_de_virologie_de_Wuhan


NEW YORK. June 3, 2015 — The Open Society Foundations today announced Sean Hinton as the director of the new Economic Advancement Program and chief executive officer of the Soros Economic Development Fund. From September 2015, Hinton will lead the Foundations’ economic advancement agenda, which aims to encourage sound economic policies and wise financial investment that drive shared, equitable growth. Hinton will start in Open Society’s New York office and will be based in the London office from the second quarter of 2016.


“Sean Hinton’s leadership will help my foundations create opportunities for people and businesses where the need for socially sound investment is greatest,” said George Soros, founder and chair of the Open Society Foundations. “The countries we work in need not only aid but also investment.”


Hinton joins Open Society from Terbish Partners, a strategic and investment advisory firm that he founded in 2007. His focus has been on the energy and minerals sector in China, Mongolia, and Africa. Hinton has 26 years of experience in Asia, particularly in Mongolia, where he has been deeply involved in economic development, working with the government, local communities, and global and national companies. He has been a longterm senior advisor to Goldman Sachs Asia and the Rio Tinto group, and was formerly a consultant with McKinsey & Company.


Chris Stone, president of the Open Society Foundations, said: “Sean will lead an all-sectors strategy for economic advancement, working with government, business, and civil society worldwide. The Economic Advancement Program will have the widest array of tools at its disposal, giving Sean the ability to make equity and debt investments alongside more traditional grants, the ability to sponsor research, advise governments, and advocate for sensible economic policies.


(…).


The Open Society Foundations Name Head of Economic Advancement Program


Director will oversee innovative approach to the challenges of economic inequality


https://www.opensocietyfoundations.org/newsroom/open-society-foundations-name-head-economic-advancement-program


Participation à des campagnes de financement internationale, rencontres avec des cadres de l'industrie pharmaceutique, avec des chefs de gouvernement : telles sont quelques-unes des démarches entreprises par le fondateur de Microsoft, qui estime avoir un rôle clé à jouer dans le développement des vaccins à l'échelle planétaire, a-t-il indiqué au New York Times (voir l'article du quotidien de novembre 2020). Ces démarches l'ont aussi amené à avoir recours aux services du cabinet McKinsey en 2020, et ce pour plusieurs millions de dollars.


C'est l'une des très nombreuses missions, pro bono et rémunérées, assumées par le cabinet en réponse à la gestion de la pandémie de coronavirus. Le cabinet est par exemple intervenu auprès de plusieurs États fédéraux américains (relire notre article), mais aussi de pays européens, à l'instar de la France (où le cabinet est devenu un temps un point d'actualité générale, relire notre dernier article sur le sujet) ou plus récemment de l'Italie (relire notre article).


Vaccin covid : l'activisme de Bill Gates passe par la case McKinsey


Bill Gates, le milliardaire américain bien connu, ne ménage pas ses efforts philanthropiques en faveur de l'accès au plus grand nombre au vaccin contre la covid-19. 


https://www.consultor.fr/articles/vaccin-covid-l-activisme-de-bill-gates-passe-par-la-case-mckinsey


Lorsque le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus a pris la direction de l'Organisation mondiale de la Santé en juillet 2017, son premier discours au siège de Genève a été accueilli par un auditoire plein d'espoir. Le personnel de l'OMS avait vu se succéder plusieurs dirigeants, chacun porteur d'un plan pour redynamiser et transformer l'organisation. Les réformes entreprises par ces dirigeants impliquaient souvent le recours à des cabinets de conseil en management, tels que McKinsey, l'un des cabinets les plus influents et les plus discrets au monde. Mais toutes ces tentatives avaient finalement échoué à résoudre les problèmes les plus épineux – et anciens – de l'OMS , comme sa structure de financement problématique et les déficits de financement chroniques qui en découlent .


Tedros, comme on le surnomme, a laissé entendre que les choses seraient différentes cette fois-ci. Il semblait percevoir la lassitude du personnel face aux réformes et sa méfiance envers les consultants externes, et a rassuré ses collaborateurs : « Tout changement durable à l’OMS viendra du personnel lui-même. Je ne crois pas aux réformes perpétuelles, et je pense que le personnel de l’OMS est déjà saturé de réformes. »


(…).


Comment McKinsey a infiltré le monde de la santé publique mondiale


La Fondation Gates a injecté des milliards de dollars dans le secteur — et une éthique favorable aux entreprises que les consultants ont pu exploiter.


https://www.vox.com/science-and-health/2019/12/13/21004456/bill-gates-mckinsey-global-public-health-bcg


L'argent servira à financer les traitements et la convalescence afin de sauver des vies.


Ottawa (Ontario) —  L’honorable Pierre Poilievre, chef du Parti conservateur du Canada et de l’Opposition officielle, a publié la déclaration suivante annonçant qu’un gouvernement Poilievre poursuivra les grandes entreprises pharmaceutiques et leurs consultants pour leur rôle dans l’épidémie d’opioïdes :


Après huit ans de gouvernement de Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Depuis 2016, 32 000 Canadiens sont décédés des suites d’une surdose d’opioïdes et 33 000 autres ont été hospitalisés. L’approche néo-démocrate-libérale a échoué. Elle a inondé nos rues de drogues, engendrant davantage de dépendances, de décès et de désespoir.


« Alors même que le Canada est en proie à une crise des opioïdes, Trudeau refuse de s'opposer aux compagnies pharmaceutiques avides qui ont cyniquement commercialisé des médicaments créant une forte dépendance comme analgésiques. La crise des opioïdes trouve son origine dans l'invention de l'Oxycontin par Purdue Pharma en 1995. L'Oxycontin a fait l'objet d'une promotion agressive et a été surprescrit, entraînant une augmentation massive de la dépendance aux opioïdes. Les ordonnances d'opioïdes étaient distribuées à tort et à travers, sans aucune considération pour les risques. En tant que cabinet de conseil en gestion, McKinsey a conseillé aux grands groupes pharmaceutiques de rendre leurs clients dépendants, notamment en leur suggérant d'offrir des primes et des rabais aux vendeurs en fonction du nombre de surdoses dans leur région. Tout cela se déroulait alors que Dominic Barton, un ami de Justin Trudeau, était leur associé directeur. »


La Colombie-Britannique a intenté un recours collectif contre les fabricants et distributeurs d'opioïdes en raison des coûts engendrés pour le système de santé canadien. Le gouvernement fédéral n'a pas encore annoncé s'il se joindra à ces poursuites. Un gouvernement Poilievre se joindrait à la procédure en tant que demandeur.


« Mais cela ne suffit pas. L’épidémie d’opioïdes a ravagé nos communautés, détruit des vies et dévasté des familles. Nous devons exiger justice pour les victimes de la dépendance. Aujourd’hui, j’annonce qu’un gouvernement Poilievre ira plus loin dans la recherche de la justice pour notre peuple. »



  • Un gouvernement Poilievre se joindra activement et publiquement à la poursuite intentée par la Colombie-Britannique contre les grandes entreprises pharmaceutiques et leurs consultants pour couvrir les coûts des soins de santé.

  • Un gouvernement Poilievre intentera une poursuite fédérale massive contre les grandes entreprises pharmaceutiques et leurs consultants afin de couvrir les coûts de l'épidémie liés à la sécurité de nos frontières, aux tribunaux, au système de justice pénale, aux programmes autochtones, aux pertes de recettes fiscales fédérales et à l'expansion massive des programmes de traitement.

  • Le montant total réclamé dans le cadre des deux poursuites s'élève à 44 milliards de dollars. Ce montant comprend la part fédérale des coûts estimés des soins de santé (3,9 milliards de dollars), les fonds fédéraux dépensés pour lutter contre la crise des opioïdes (3 milliards de dollars), les coûts du système de justice pénale fédéral (10,2 milliards de dollars) et le manque à gagner fiscal (27 milliards de dollars).

  • Les fonds obtenus grâce à cette importante poursuite serviront à financer des programmes de traitement et de rétablissement pour les personnes aux prises avec une dépendance. Nous veillerons à ce que tous les Canadiens aient accès à ces programmes. 


« Nous transformerons la douleur en espoir et nous rendrons justice aux Canadiens. »


Le gouvernement Poilievre va intenter une action en justice de 44 milliards de dollars pour obliger les grandes entreprises pharmaceutiques à payer pour avoir causé l'épidémie d'opioïdes.


https://www.conservative.ca/a-poilievre-government-will-launch-44-billion-lawsuit-to-make-big-pharma-pay-for-causing-opioid-epidemic/


***


JeanLouis Pérez-Martel



Laissez un commentaire



Aucun commentaire trouvé