4 août 2012
À la demande de l'auteur, les échanges concernant les faits et l'interprétation de la Shoa, de part et d'autres, se terminent ici, pour la bonne raison qu'ils débordent le sujet du texte original.
bf
11 mars 2012
L'Armada de Blainville-Boisbriand est un club de hockey sur glace de Blainville et Boisbriand dans la province du Québec au Canada. Depuis 2011, le club évolue dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec, ligue de hockey junior faisant partie de la Ligue canadienne de hockey.
Historique[modifier]
La franchise voit le jour quand la province de Terre-Neuve-et-Labrador se voit accorder une équipe dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec. Les Fog Devils de St. John's sont alors créés en 2005 mais en 2008, la franchise est relocalisée à Montréal et devient le Club de hockey junior de Montréal.
Après trois nouvelles saisons, le club est acheté par des associés menées par Joël Bouchard. Au nombre de ses associés se trouve des joueurs de la Ligue nationale de hockey tel que Daniel Brière, Jean-Sébastien Giguère ou encore Ian Laperrière. À eux quatre, ils détiennent 30 % du club alors que la compagnie québécoise Quebecor détient les 70 % restant1.
Le 12 juillet 2011, Joël Bouchard annonce que l'équipe se nommera l'Armada et dévoile les couleurs et le logotype de la nouvelle équipe2.
Références[modifier]
↑ (fr) LHJMQ à Boisbriand : éviter les erreurs [archive] sur www.rds.ca. Mis en ligne le 22 juin 2011, consulté le 17 juillet 2011.
↑ (fr) Rog Laplante, « Blainville-Boisbriand dévoile ses couleurs [archive] » sur Ligue de hockey junior majeur du Québec. Mis en ligne le 12 juillet 2011, consulté le 17 juillet 2011.
source WIKIPEDIA
17 février 2012
Un peu navrant, ces petites montées de lait à chaque fois que Vigile mentionne P. Marois... surtout quand le lien mène vers une défense de PM...
bf
25 septembre 2011
Si tel est le cas, Monsieur Marcoux, je vous invite à le rendre un peu plus clair - si votre texte avait été publié dans La Presse, personne n'aurait vu autre chose qu'une critique méprisante du nationalisme québécois. - BF
2 septembre 2011
Voilà une idée très intéressante qu i mérite d'être explorée. De prime abord, j'y vois deux problèmes majeurs - le financement et la confiance pour la suite des choses.
1° Financement du "Comité RÉSILIENCE", chargé d'actualiser et publiciser les études, en préparation d'une consultation populaire sur l'indépendance.
Comme hypothèse, imaginons que ce financement sera produit par le gouvernement québécois, donc péquiste.
Cela suppose que le PQ est élu aux prochaines élections - le projet RÉSILIENCE vise précisément ce but.
Cela suppose que le gouvernement a trouvé une réponse aux inévitables lamentations des fédéralistes : "pas de fonds publics pour la promotion de la souveraineté".
Une réponse possible : si le gouvernement péquiste créait 2 comités (Souveraineté - Fédéraliste)avec un budget réaliste (1 million par année pendant 4 ans pour chacun des comités), cela créerait quatre effets évidents :
a) l'option fédéraliste ne pourrait plus invoquer un détournement de fonds publics à des fins idéologiques
b) la finalité visée étant l'achèvement de la démarche souverainiste entreprise depuis 1968... démarche légitime donc, soutenue par près de 50% des électeurs
c) la mise sur pied de ce "comité Résilience" (et son jumeau fédéraliste "Comité Subordination"...) serait un coup d'envoi historique, officiel, ultime de la question nationale.
d) ce simple événement serait un gage sérieux et reconnu d'une intention résolue d'en finir avec le problème du statut politique du peuple québécois. Et par conséquent, ce projet aurait toutes les chances de recréer l'unité du camp du OUI.
2° la confiance pour la suite des choses
Une deuxième difficulté n'échappera à personne - comment s'assurer que le gouvernement péquiste donnera suite (référendum ou autre chose) une fois réalisé le travail des études?
a) Cette question surgit en raison de la perte de confiance des militants envers le PQ. Elle doit trouver sa solution au départ du projet, au principe ("in principio", au commencement)de cette action.
b) on pourrait convenir d'un repère comme la moitié d'un 2e mandat, pointée comme le moment choisi pour déclencher le processus de consultation.
c) encore mieux, on pourrait créer un comité paritaire gouvernement-comité ("Comité des Sages") qui élaborerait les critères établissant le moment opportun pour déclencher le processus de consultation, auquel le gouvernement péquiste aurait consenti dès le commencement sa collaboration stricte.
10 août 2011
Bonjour
Je comprends votre réaction. Mais il faut savoir que ces sélections sont des automatismes liées au logiciel SPIP.
Il faut donc écarter l'idée de censure ou de préférences éditoriales.
Bernard Frappier, éditeur de Vigile.net
15 juillet 2011
Accéder au commentaire d'une page ne signifie pas lire le contenu de cette page.
15 juillet 2011
Comme le compteur enregistre 0 lecteur, même après votre commentaire, je conclus que vous n'avez pas lu le texte, vous contenant des sous-titres.
Ça commence mal, pour un premier commentaire, de la part d'un auteur que par ailleurs j'apprécie.
Dommage!
7 avril 2011
Une crise nationale
Réflexions d'avant-congrès
YVES MICHAUD
À Montréal, en cette vigile
du congrès plénier du Parti québécois
LeDevoir 5.5.00
http://archives.vigile.net/ds-michaud/docs/00-5-5-michaud.html
26 mars 2011
Monsieur Luc Drouin
Vous écrivez avec la sophistique d'un bon avocat... Vous pouvez m'expliquer la différence entre le traitement de Jean-Louis Roux par le CJC et le traitement de Del Negro par vous-même, pardonnant à celui-ci qui aurait "évolué" et déniant la même possibilité au premier... que vous ne défendez pas?
SVP n'invoquez pas la différence professionnelle (un salarié d'un lobby vs un lieutenant-gouverneur), cela vous enfoncerait encore davantage dans la défense de l'indéfendable.
BF
25 mars 2011
Monsieur Drouin
Inutile de bomber du torse. Le volet Tribune libre de Vigile est explicitement ordonné à échanger des infos, des opinions et à débattre des questions soulevées, exactement comme votre commentaire le fait - il apporte une critique du texte en rubrique. Ce qui fait avancer l'opinion publique, dans le sens de votre commentaire ou son contraire.
Ce que je veux vous dire, c'est qu'il existe autre chose que le contrôle de l'opinion publique par des censures ou des menaces de rétorsion. Ne rendez pas votre cause antipathique.
Les gens viennent sur Vigile pour s'informer et s'informent en échangeant points de vue et connaissances sur les faits ou sur les idées.
Nous ne sommes pas en France; ici, au Québec, il n'y a pas de police des idées... La loi sur la diffamation ou sur les propos haineux suffit.
Quant `la "modification", j'ai ajouté ce lien pour informer de la provenance de certaines de ces citations.
Comme vous pouvez le constater, le but est atteint, les échanges se poursuivent; chacun est assez adulte pour trancher le vrai du faux; tout ce qu'on peut faire pour y contribuer c'est d'échanger nos points de vue.
Si vous voulez jouer au censeur, en prétendant disposer d'une vérité transcendante, allez jouer ailleurs.
Autrement dit, rangez votre matraque bien-pensante ou dégagez!
Bernard Frappier
18 février 2011
Vous n'avez pas pensé que, peut-être, le texte en question a été reçu SANS signature?
Si vous en êtes l'auteur, dites-le, simplement, au lieu de vipèrer...
bf
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