Les batailles futiles
11 mars 2021
La monarchie n’est pas seulement symbolique. Elle est centrale au pouvoir canadien et sa contestation est une démarche très utile. Pour citer Matthew Ehret :
« Le premier facteur qu’une (...) personne doit reconnaître est la nature de l’Empire britannique en tant que structure de pouvoir efficace dominant le monde, même aujourd’hui . La reconnaissance de cette structure intégrée par le biais des institutions des gouvernements occidentaux est apparue depuis l’élection de Donald Trump en 2016 et porte désormais le terme «État profond».
Sous ce système impérial, le Canada est le deuxième plus grand territoire du monde avec l’une des densités de population les plus faibles. L’Empire britannique a gardé le Canada sous contrôle au fil des ans en raison de sa situation stratégique, entre deux grandes nations (la Russie et les États-Unis) qui ont été enclines à unir leurs intérêts face à l’Empire britannique sur plusieurs l’histoire.(sic) »
Le Canada est au coeur de la cabale de l’État profond contrôlé par la City de Londres sous couvert de la monarchie.
Mais cette cabale est fortement ébranlée. D’abord parce que le règne de la famille royale est illégal. Ensuite la gouverneure générale Julie Payette a démissionné supposément pour couvrir un rapport accablant sur la trahison de Justin Trudeau et Chrystia Freland au profit de gouvernements étrangers.
Un grand ménage s’impose même au niveau constitutionnel.