Le P.Q. peut gagner
21 juin 2010
Avant tout le pouvoir, après sa raison d’être en politique
Si un indépendantiste n’est pas pragmatique, étant une des premières conditions politiques pour exercer son devoir de militant engagé —ce que votre article expose de manière concise et réaliste— alors le pouvoir, qui est indispensable pour gouverner l’État afin de promouvoir et défendre les intérêts collectifs, ne sera qu’un obstacle pour le parti qui l’a obtenu en recourant à des manœuvres insensées et hors du contexte socioéconomique tel qu’imposé par d’autres instances et pouvoirs supérieurs.
Voici un extrait de l’un de mes articles qui va dans le même sens que le vôtre :
En définitive, afin de réaliser l’indépendance du Québec il faut agir en suivant tout simplement le conseil du philosophe Montesquieu, l’un des plus grands penseurs de l’organisation politique et sociale de l’Histoire : « Pour faire de grandes choses, il ne faut pas être un si grand génie ; il ne faut pas être au-dessus des hommes ; il faut être avec eux »(1).
JLP
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1. Dernier paragraphe extrait de l’article Le PQ-BQ assumera patriotiquement de faire l’indépendance du Québec (publié à Vigile.net).