Le wokisme et la liberté d’expression
10 août 2022
Sophie Durocher en remet...
https://www.journaldequebec.com/2022/08/10/le-mandat-woke-de-radio-canada
Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplô...
Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com
Témoignage
20ième anniversaire du décès de Sylvain Lelièvre (1943-2002)
Une Québécoise en or
Article refusé!
L’article n’a pas de lien avec le combat politique ou les intérêts fondamentaux du peuple québécois.
Un palmarès élogieux
Le Parti conservateur du Québec
Société québécoise
Société québécoise
Candidat à la direction du Parti conservateur du Canada
Politique fédérale
Anglicisation galopante
Le spectre d’une mort tragique du fait français en Amérique du Nord
Réaction à Riffat Jahan